Artrien
afin de tenir
tête
en corps
en corps
Tenant lieu
venuit
en invisible
cercle
de l'oeil
pour deuil
pointant
si tant EST
au filament
t'art tare
comme une taire
se terre
et seule
d'agonie
au vain quotidien
oui monde riant
mais après
le vide oeuf
de partout
c'est la proie
le contraire
de je c'est RIEN
sans rire
sans prétention
pas sérieux
sans ses yeux
et faisant
de l'oreille un pied
bien né mal nez
Résidus
de ciel
d'enfer
rognures
de disparition
à l'ombre du papillon
tombant en montant
l'air de faire signe
sans promesse
qu'aura aube pleurée
Tout petits dessins
et que ça...
tenant l'illusion
enfin de ne pas
crever de vertige
de peur
debout dans leurre
de joie encrée
dans l'ancre
du cancre Nature
nature UN je
de milliards
de choses
toutes politiques
l'UN pour la Mort
en l'oubli des tranchées
où la technique
somme de sauter
ni vu ni connu
en trop pour la banque
de chômeurs
sacrifiés
à l'hôtel de l'univers
que croient-ils
qu'ils croassent
ces jes virtuels
cela en moins
et sans maîtres
fermées les goupilles
L'angoisse
ceci a été
la mort est certaine
du reste la fin
tu voies c'est trop tard
post mortem
les miettes sont pour l'Art
l'encor des émotions
Babel bagel bebelle
voyelle miel fiel
triade veuf et inconsolé
déguisé mordu
éreinté enrôlé
par UN dollar pesos
yen de bonyenne
de mix me up and down
etc.
dans le sens
de l'insensé
de la disquette à vents
mirages
et auberge espagnol
du cerveau
chie-mères pères
pète et répète
aux trilliards d'exemplaires
à dessein du UN
final bâton...
sans petit dessin...
Combien hô!
Prêt pour la valse
sans distinction
du mensonge
qui tienne?
Oui mais ce fil
de soi
scintillant
translucide
entre blanc et noir
d'horizon
des confrontations
entre UN et Uns
le même
contre la liberté
de penser
au-delà
de la tyrannie
du quotidien
le maintenant
au pouvoir de forces
rationnellement
imperceptibles
et contrôlantes
vibrations ondes
rayonnements
manipulants
manipulés
poupées russes
...Déjà 'cela' échappe
glisse fuis
échappe
Et qu'est-ce d'autres
qu'UN attrape nigaud
l'espace alloué
pour passé
et revenir
d'une mort à l'autre
pour voir deux fois
plutôt qu'une
que ce qui ce dit
comme réel
n'est que l'écho
de l'agonie
du cri d'extermination
la tentative bruyante
agitée gauche
des mal à droit
d'idées emmurées
bétonnées pourries
compostées
en poussières d'univers
épuisées éteintes
bonnes pour la couleur
et la géométrie
dans l'informe
organisé par le créateur
ciel et enfer
plus la beauté
de l'Amour
(en ne me touchez pas
je suis une outre)
L'invisible LÀ
visible toujours
du début
à la Fin
Cantus firmus
passé redondant
cantus firmus
redondant
redondant
rerere don dans
...Là-dessus
la tête danse
fatiguée
mais insistante
va
tu voies...
venuit
en invisible
cercle
de l'oeil
pour deuil
pointant
si tant EST
au filament
t'art tare
comme une taire
se terre
et seule
d'agonie
au vain quotidien
oui monde riant
mais après
le vide oeuf
de partout
c'est la proie
le contraire
de je c'est RIEN
sans rire
sans prétention
pas sérieux
sans ses yeux
et faisant
de l'oreille un pied
bien né mal nez
Résidus
de ciel
d'enfer
rognures
de disparition
à l'ombre du papillon
tombant en montant
l'air de faire signe
sans promesse
qu'aura aube pleurée
Tout petits dessins
et que ça...
tenant l'illusion
enfin de ne pas
crever de vertige
de peur
debout dans leurre
de joie encrée
dans l'ancre
du cancre Nature
nature UN je
de milliards
de choses
toutes politiques
l'UN pour la Mort
en l'oubli des tranchées
où la technique
somme de sauter
ni vu ni connu
en trop pour la banque
de chômeurs
sacrifiés
à l'hôtel de l'univers
que croient-ils
qu'ils croassent
ces jes virtuels
cela en moins
et sans maîtres
fermées les goupilles
L'angoisse
ceci a été
la mort est certaine
du reste la fin
tu voies c'est trop tard
post mortem
les miettes sont pour l'Art
l'encor des émotions
Babel bagel bebelle
voyelle miel fiel
triade veuf et inconsolé
déguisé mordu
éreinté enrôlé
par UN dollar pesos
yen de bonyenne
de mix me up and down
etc.
dans le sens
de l'insensé
de la disquette à vents
mirages
et auberge espagnol
du cerveau
chie-mères pères
pète et répète
aux trilliards d'exemplaires
à dessein du UN
final bâton...
sans petit dessin...
Combien hô!
Prêt pour la valse
sans distinction
du mensonge
qui tienne?
Oui mais ce fil
de soi
scintillant
translucide
entre blanc et noir
d'horizon
des confrontations
entre UN et Uns
le même
contre la liberté
de penser
au-delà
de la tyrannie
du quotidien
le maintenant
au pouvoir de forces
rationnellement
imperceptibles
et contrôlantes
vibrations ondes
rayonnements
manipulants
manipulés
poupées russes
...Déjà 'cela' échappe
glisse fuis
échappe
Et qu'est-ce d'autres
qu'UN attrape nigaud
l'espace alloué
pour passé
et revenir
d'une mort à l'autre
pour voir deux fois
plutôt qu'une
que ce qui ce dit
comme réel
n'est que l'écho
de l'agonie
du cri d'extermination
la tentative bruyante
agitée gauche
des mal à droit
d'idées emmurées
bétonnées pourries
compostées
en poussières d'univers
épuisées éteintes
bonnes pour la couleur
et la géométrie
dans l'informe
organisé par le créateur
ciel et enfer
plus la beauté
de l'Amour
(en ne me touchez pas
je suis une outre)
L'invisible LÀ
visible toujours
du début
à la Fin
Cantus firmus
passé redondant
cantus firmus
redondant
redondant
rerere don dans
...Là-dessus
la tête danse
fatiguée
mais insistante
va
tu voies...