...'être adossé au néant,
qui serait à penser comme jeu'...*
Par ailleurs
à peine bouger
distrait
des criques à truites
aux bancs de sable
des neiges ou
enfoncé sans souffle
ta main sur
le trait de ruines
c'est sans eux
les terribles
mais entre nous
dans l'angoisse profonde
des abattoirs
et des tombeaux
en crise
et en cris muets
le language ici
est l'expression
en mire à Miro
et dire en guerre
mieux de la mourante
du code de la broute
à petit feu...
Sarcophage
monney taire
et dire en guerre
mieux de la mourante
du code de la broute
à petit feu...
Sarcophage
monney taire
'...si je perdais
ma bibliothèque,
j'aurai toujours
le métro et l'autobus...'**
oui il ne s'agit pas
de cela en fin mais
des derniers maux
après un cataclysme
Une ligne tu vois
aligner là d'Ingres
où Delacroix
allongeant la dame
dans son bain
mythiquement
la tête en médusante
bref ça dit ce que ça
déroule la langue
dans sa fange
compostant
les résidus à bon Dieu
larvaires en papillons
de Bonnard
et migrantes métisses
vers la beauté
ailleurs ici-même
toujours première
et en jouvence
suite aux mises à feu
nettoyant
le compas royal
des morts
aux marbres passés
des choses cachées
en censures
de l'effrayant brigandage
des mises à mort
payables en défécations
des ocres sur la paroi
des avancées
du UN parfait
le Lui là
en tous les uns
de voir en face
ce qui arrive...LÀ
Bien léger ludique
à reprendre tendrement
entre dedans
après les morts subites
disparues en LUI
le UN d'amouir
En avançant
la mort de Dieu
début des résurrections
éternelles...
En n'oeuf
insensément
recompté
partir repartir
aller LÀ
toujours
LUI le MÊME
dans la gangue
passant LÀ
seul si do ré
au soleil
en l'état
des métamorphoses
justifiant tout
''Volonté de vérité'
-cela pourrait
être une secrète
volonté de mort' ***
Guerre...éternelle
des disparus
en Tyran tris cris
Mais pendant
ce temps-là
par l'épouvante
valse d'Amour
aux tenants
d'un quelque chose
un bourdonnement
d'émotions
un lien LÀ tranquille
pleurant de joie
sachant l'ardue rigueur
de l'avancée
du sacrart d'affection
de joie même
en tête froide
par une volcanique
vivance LÀ
avec et plus ou moins
de ce qui EST
une abracadabrante
folie d'exister
Aller vers nulle-part
à l'abandon
de l'infini et si mal
souffle en ce moi
du UN
amende ou oignon
en TOUS SANG TOUS
sanctus
Recul distance
opposition
et noyade
et traits d'attraits
à traiter
en retrait monde
abysse et sans réflexion
Fait-art...
pour un Occident
de papiers disparus
encor et en corps
disparus...
Par milliards
éparses cendrés
terrestre cosmique
et céleste
pas de balades
tranquilles mais
vigie anxieuse
nerveuse
C'était cela
mystère roussi
en bourdonnements
géophysiques
résidus de Vésuve
de cratères
fissures tectoniques
dépliées pour
certaines perceptions
du LÀ
Mais ceci
n'est pas d'ordinaire
plus lent que lent
immobile
au-dedans d'un tableau
où même une ligne
n'y tient plus
avec des points
de signes s'effaçant
dans la MORT
où tous les traits
sont blancs sur blanc
en cercle oeil
de la dernière lumière
au sans lieu
devenue éparse
et sans mémoire
dissolution
du dernier cri
en bruit de carapaces
sur le sable
Se faire
le vers de taire
la frime en rime
la poésie a depuis longtemps
perdu la jambe
par suite mal armé
la tête explosa
dans Un l'Un le mÊMe
tomber sur les mots
en nidifications
s'allongeant
d'Un pas LÀ
sonné d'échos olfactifs
dans dessous des neiges
en des langues se déroulant
la leçon d'urgence seule
brulant des cris
d'excréments
à la douleur que j'ai
que j'ai en souffle court
d'éternité retrouvé
saut LÀ d'ICI MÊME
par la lumineuse prose
futile inutile
gratuite pâture
en Mir à Miro
pour un dessin
discrétionnaire
et contre la langue
en vain de vie aigre
de babil en babel
à bagle d'errance
en murs d'emmurement
de diversions
en Disparition
figée de morts lentes
...Prenez et manger
buvez mon sang
do ré sol si mi
en langues
dans le vinaigre
Axelos *
Jouhandeau**
Nietzsche***
ma bibliothèque,
j'aurai toujours
le métro et l'autobus...'**
oui il ne s'agit pas
de cela en fin mais
des derniers maux
après un cataclysme
Une ligne tu vois
aligner là d'Ingres
où Delacroix
allongeant la dame
dans son bain
mythiquement
la tête en médusante
bref ça dit ce que ça
déroule la langue
dans sa fange
compostant
les résidus à bon Dieu
larvaires en papillons
de Bonnard
et migrantes métisses
vers la beauté
ailleurs ici-même
toujours première
et en jouvence
suite aux mises à feu
nettoyant
le compas royal
des morts
aux marbres passés
des choses cachées
en censures
de l'effrayant brigandage
des mises à mort
payables en défécations
des ocres sur la paroi
des avancées
du UN parfait
le Lui là
en tous les uns
de voir en face
ce qui arrive...LÀ
Bien léger ludique
à reprendre tendrement
entre dedans
après les morts subites
disparues en LUI
le UN d'amouir
En avançant
la mort de Dieu
début des résurrections
éternelles...
En n'oeuf
insensément
recompté
partir repartir
aller LÀ
toujours
LUI le MÊME
dans la gangue
passant LÀ
seul si do ré
au soleil
en l'état
des métamorphoses
justifiant tout
''Volonté de vérité'
-cela pourrait
être une secrète
volonté de mort' ***
Guerre...éternelle
des disparus
en Tyran tris cris
Mais pendant
ce temps-là
par l'épouvante
valse d'Amour
aux tenants
d'un quelque chose
un bourdonnement
d'émotions
un lien LÀ tranquille
pleurant de joie
sachant l'ardue rigueur
de l'avancée
du sacrart d'affection
de joie même
en tête froide
par une volcanique
vivance LÀ
avec et plus ou moins
de ce qui EST
une abracadabrante
folie d'exister
Aller vers nulle-part
à l'abandon
de l'infini et si mal
souffle en ce moi
du UN
amende ou oignon
en TOUS SANG TOUS
sanctus
Recul distance
opposition
et noyade
et traits d'attraits
à traiter
en retrait monde
abysse et sans réflexion
Fait-art...
pour un Occident
de papiers disparus
encor et en corps
disparus...
Par milliards
éparses cendrés
terrestre cosmique
et céleste
pas de balades
tranquilles mais
vigie anxieuse
nerveuse
C'était cela
mystère roussi
en bourdonnements
géophysiques
résidus de Vésuve
de cratères
fissures tectoniques
dépliées pour
certaines perceptions
du LÀ
Mais ceci
n'est pas d'ordinaire
plus lent que lent
immobile
au-dedans d'un tableau
où même une ligne
n'y tient plus
avec des points
de signes s'effaçant
dans la MORT
où tous les traits
sont blancs sur blanc
en cercle oeil
de la dernière lumière
au sans lieu
devenue éparse
et sans mémoire
dissolution
du dernier cri
en bruit de carapaces
sur le sable
Se faire
le vers de taire
la frime en rime
la poésie a depuis longtemps
perdu la jambe
par suite mal armé
la tête explosa
dans Un l'Un le mÊMe
tomber sur les mots
en nidifications
s'allongeant
d'Un pas LÀ
sonné d'échos olfactifs
dans dessous des neiges
en des langues se déroulant
la leçon d'urgence seule
brulant des cris
d'excréments
à la douleur que j'ai
que j'ai en souffle court
d'éternité retrouvé
saut LÀ d'ICI MÊME
par la lumineuse prose
futile inutile
gratuite pâture
en Mir à Miro
pour un dessin
discrétionnaire
et contre la langue
en vain de vie aigre
de babil en babel
à bagle d'errance
en murs d'emmurement
de diversions
en Disparition
figée de morts lentes
...Prenez et manger
buvez mon sang
do ré sol si mi
en langues
dans le vinaigre
Axelos *
Jouhandeau**
Nietzsche***