Le Né de L'Oeil
(Ou Le Gros Nez
(Ou Le Gros Nez
Pour Les Intimes)
Tout le tour
des mains à chat
et de ci delà
en la matière
des amours
au four
du feu
la mort
petite et grande
en compagnie
d'histoires marquées
des marbres
de sacrifices
à profusions
au carré
à la géométrie
des organes à cellules
crevant de payer
l'au-delà de l'insensé
sens à trappes
les peaux chair et os
Clous par milliards
pas à manger
à entrer en esprit
des dispatchés
des lieux-dits
du d'où verrous
histoire pas rire
pas pleurer
pas stoïque
existentialiste
maoiquecapital
oboudhique
encor zenitalo
papottant...
chiffonnant
les lumières
ou bien ou RIEN
en proue de No Way
pour Luigi nono
et Guernica
en des vents mauvais
des ne tirez pas
misérables
Quand même
en petits pans pans pans
de mémoires
formant un tralalalà
tableau résistant
aux yeux des barbaques
en vain ces mots
la fin d'un livre
ayant livré la marchandise
au début comme à la fin
le verbe goûte chair
'Le plus coupable,
c'est très simple
c'est que je me branle
en vous parlant' *
et d'éjaculation précoce
en vertes prairies
C'est sans fin...le dernier
Petit tout petit dessin
toujours pareil
jamais pareil
rien ne se perd
rien rien RIEN
TOUT...
cela en cri
dans le désert
en mirage
aux alouettes
en jeu de scène
en prix Nobel
de guitare
en dynamites bonbons
de pourquoi pas
de pourquoi
d'en de....en de
Qu'est-ce qu'ils croient
ficelés mordus avalés
disparus dedans ma rue
pour finalement
le Grand abandon
saut dans le vide
porte étroite
peu d'élues
LÀ jusqu'au
dernier mot
bien connu
d'une couche
à l'autre...
marde ou oignon
Artlors
et bien sublimer
artlors
métamorphoser
artlors
et des maux en mots
des formes couleurs
dans la lumière en jeu
artlors?
Et bien ah là va vite
au petit panpanpan
de mort jaune
En Fin
nom de dieu
lâche pas
le notre père
en copie conforme
une guédille
sua Maine
pour le dé compte
du dernier cancer
des fils de Poune
au théâtre des rabougris
en céline louis dion
ferdinand
des touches-pas
à ma dent t-elle
mangeant mangée
avec une fritte
bombe atomique
en fricassée et poutine
servie de mort aux rats
et du vertige aux miroirs
des disparus
pour un crisse
de bout de temps
Si on le veut ainsi
ou N.Y. ou Paris Venise
ou Saint-Pie
ouvrir la sortie
en fermant la porte
en sortant...sort en
deuil pour oeil
et vive l'esprit
de la fin du monde
spatial pictural
et de bien autres choses...
En sommes fragiles
épais dans le plus mince
du plume-art de Justine
de M.Le Marquis
en chinois...
de bondieuseries
le même Un
par milliards
de biles et arts
de tinos rôties
de mots les mêmes
pour la même affraire
de vos entrailles
et péris reput contents
heureux les creux
car le royaume
des cieux est à eux
Oh lalala
c'est magnifique
Cent dessins desseins
sur le conte des ors visuels
ÉNOOOOOOOORME!
Bataille *