'Autour de sa fin
règnent l'obscurité
et le saint isolement' *
À la merci
du hasard
ce seul nuage
tenant lieu
d'appui
d'un monde
par le toit
formé
défini
et fragile
imaginant
rêvant
un grain
de lexicologie
du temps
de l'air
au gré des vents
usant falaises
monts valons
villes et villages
d'ouragans
en cyclones
tornades
arasant
toutes idées
sur la teneur
des choses
là où des enfants
matures âgés
séniles débiles
et apeurés
en fin de systèmes
orgueilleux d'ismes
et déclassés
à tout bout de champ
entonnant encor
camarades
frères confrères
consoeurs
monsieurs madames
anonymes
aux mangeoires
du retour
en droites lignes
vers l'extermination
par le monétaire même
créateur du nombre
et du dénombre
au bon gré
d'un fourre tout
des parvenus
sous le compost
entrent eux
Enfin art sur
néant air dalle
passant de scories
en mardemalades
auprès du ciel
et de l'enfer
soufflé en esprit
rendant visible
sans savoir
le visible
amoureux
réel dominateur
comme Un
Art seul à seul
avec Tout qui est
Seul au sommet
de poussière
de Rien en erre
d'aller descendant
des tombes
en bas du bas
de l'arbre de vie
en poudres
de bonheurs
et va nuit
par toutes
les rumeurs
du visible
d'ici de là
et de partout
ailleurs
Et puis quoi ?
Art semblant
du Rien
menant mimant
la sociabilité
minée des minets
minant des mines
écrits en idéologies
dernières
de Daubigné
agrippant les mots
celui-ci
mieux celui-là
et on y arrive
à crier l'encrier
lever l'ancre
vers la colonne
sans casseurs
de dires
par silence
en somme
courbant
les vertèbres
d'être né
de lui l'elle
brisée des os
de poudres
vagis et enterrer
Oui la Vie
donnée LÀ
OUI oasis
faut pas dire
pas celle-là
la toute autre la
plein dans le mille
en rupture
de tranchées
des stocks
de granites
barbelés
de fleurs
attendues
des masses
d'atroces ennuis
en perditions
du retour
christique
des chrétiens
atomiques
sous le sommeil
du jour en pleine nuit
Vivre vivant
devant quoi
de le devoir
en pourquoi
d'être le dut
à Dieu Diable
ou bien ou bien
du Silence
en coup de vent
pour Là MORT
au bout du mot
abandon
par habitude
justifiant tout
du pire
empirant au lieu
d'enmieuter
parce que très grand
les tyrans du Tyran
de la chasse à compost
au désoeuvrement
des enfants crevant
d'adultes sans outrances
d'un sauve qui pue
où tout le monde
...Allons au bois
la cour est pleine
et du fisc et du sein
des prix des chairs
en pièces détachées
mangeant mangées
sans larmes
d'outrances...
Oubli dit le silence
mais silence
qui dit SILENCE ?
OUBLI ?
Et sa fin la sienne
la leur ?
Là leurre
L'Heure...
d'anesthésie
pour tous...
en hyper-religion
du Un pour deux
des parfaits
du capital saignant
Art de quoi que
qui que ce soit
en vain Seul
ou en masse
la Mort vient vite !
Zweig *
tenant lieu
d'appui
d'un monde
par le toit
formé
défini
et fragile
imaginant
rêvant
un grain
de lexicologie
du temps
de l'air
au gré des vents
usant falaises
monts valons
villes et villages
d'ouragans
en cyclones
tornades
arasant
toutes idées
sur la teneur
des choses
là où des enfants
matures âgés
séniles débiles
et apeurés
en fin de systèmes
orgueilleux d'ismes
et déclassés
à tout bout de champ
entonnant encor
camarades
frères confrères
consoeurs
monsieurs madames
anonymes
aux mangeoires
du retour
en droites lignes
vers l'extermination
par le monétaire même
créateur du nombre
et du dénombre
au bon gré
d'un fourre tout
des parvenus
sous le compost
entrent eux
Enfin art sur
néant air dalle
passant de scories
en mardemalades
auprès du ciel
et de l'enfer
soufflé en esprit
rendant visible
sans savoir
le visible
amoureux
réel dominateur
comme Un
Art seul à seul
avec Tout qui est
Seul au sommet
de poussière
de Rien en erre
d'aller descendant
des tombes
en bas du bas
de l'arbre de vie
en poudres
de bonheurs
et va nuit
par toutes
les rumeurs
du visible
d'ici de là
et de partout
ailleurs
Et puis quoi ?
Art semblant
du Rien
menant mimant
la sociabilité
minée des minets
minant des mines
écrits en idéologies
dernières
de Daubigné
agrippant les mots
celui-ci
mieux celui-là
et on y arrive
à crier l'encrier
lever l'ancre
vers la colonne
sans casseurs
de dires
par silence
en somme
courbant
les vertèbres
d'être né
de lui l'elle
brisée des os
de poudres
vagis et enterrer
Oui la Vie
donnée LÀ
OUI oasis
faut pas dire
pas celle-là
la toute autre la
plein dans le mille
en rupture
de tranchées
des stocks
de granites
barbelés
de fleurs
attendues
des masses
d'atroces ennuis
en perditions
du retour
christique
des chrétiens
atomiques
sous le sommeil
du jour en pleine nuit
Vivre vivant
devant quoi
de le devoir
en pourquoi
d'être le dut
à Dieu Diable
ou bien ou bien
du Silence
en coup de vent
pour Là MORT
au bout du mot
abandon
par habitude
justifiant tout
du pire
empirant au lieu
d'enmieuter
parce que très grand
les tyrans du Tyran
de la chasse à compost
au désoeuvrement
des enfants crevant
d'adultes sans outrances
d'un sauve qui pue
où tout le monde
...Allons au bois
la cour est pleine
et du fisc et du sein
des prix des chairs
en pièces détachées
mangeant mangées
sans larmes
d'outrances...
Oubli dit le silence
mais silence
qui dit SILENCE ?
OUBLI ?
Et sa fin la sienne
la leur ?
Là leurre
L'Heure...
d'anesthésie
pour tous...
en hyper-religion
du Un pour deux
des parfaits
du capital saignant
Art de quoi que
qui que ce soit
en vain Seul
ou en masse
la Mort vient vite !
Zweig *