MERDEVER
en hommage
à Morandi
Au succube
qui épousa
les couilles
d'Artaud
Et à l'effroi
de la nuit
qui vient
pas pour tous
De Rien
de quoi que ce soit
société du crime
rang des assassins
art de service oubliant
souffle
soufflet
sifflements
du bon vent
dedans le massacre
et peaux délicatisées
tordus
meurtris
sur surveillés
du temps écomomique
banque de chairs
allons oyez
écrits armés
pas prostrés
inutiles
à l'envers
du bon sens
Ho !
Dés pipés
de terre inaccueillante
t'emporte aussi
poètes tout croches
crottés
trahis
toujours seuls
bons à Rien
Pas envoûtés
tenant la voûte
pas nés
pas d'ici
Si mais pas là
Art sans liberté
la farce !!!!!!
Têtes
coeurs
corps !
Farcis de peurs
et de mensonges
Incarnés en pire
en mal infini
crache Tahiti
argents crevant
comptant
A-Blanc
Abscons
Dispatchés
clairés out
of la voie lactée
Poussières
et encor
Peur
pas peureux
avalé
recraché par la bouche
moisie des os
des mères
et perd
pour never more
Soleil de foire
de fêtes écrapouties
truquées
Tombe haut
oiseau si peu
si Rien
et surtout si près
Qu'est-ce qu'ils s'en foutent !
l'espace
le temps
l'air et
les mensonges
qu'est-ce qu'ils s'en foutent !
Limite sur l'aile
chérie des appelées
alchimie d'un festin
en bas du haut
de la plus haute tour
en mémoire D'Abyssinie
Là coeur vide
l'envole
à la pluie
à l'odeur du Rien
chat de moi
en cage Magritte
Albatros Bretagne
Breton et Baudelaire
et Lamarche en bouddhiste
et les oiseaux
d'Hiroshige
sur la barque idiote
d'Hölderlin
après (Quand le changement
s'est fait, il reste
beaucoup de vrai...)
Enfin
bref
oui revenir là
justement
mais pas ici
le sans immémorial
chez nous antre tout
plus d'éphémère
et mieux que marbre
LÀ où le vent dévoile
un solipsisme
le vent d'un j'ai bleu
signe et colore
le multiple
de Saint-François
qui débarque et frappe
l'esprit de sa présence
Ici pas besoin
de donner sa langue
au chat !
En réalité
la déferlante
a eu lieu
l'illusion
du soi l'autre
était le même
la détresse
le désespoir
n'était qu'Un
l'effroi
était l'oeil ouvert
sur la mort
lumineuse
de l'Art
Maintenant
attendre
...
à Morandi
Au succube
qui épousa
les couilles
d'Artaud
Et à l'effroi
de la nuit
qui vient
pas pour tous
De Rien
de quoi que ce soit
société du crime
rang des assassins
art de service oubliant
souffle
soufflet
sifflements
du bon vent
dedans le massacre
et peaux délicatisées
tordus
meurtris
sur surveillés
du temps écomomique
banque de chairs
allons oyez
écrits armés
pas prostrés
inutiles
à l'envers
du bon sens
Ho !
Dés pipés
de terre inaccueillante
t'emporte aussi
poètes tout croches
crottés
trahis
toujours seuls
bons à Rien
Pas envoûtés
tenant la voûte
pas nés
pas d'ici
Si mais pas là
Art sans liberté
la farce !!!!!!
Têtes
coeurs
corps !
Farcis de peurs
et de mensonges
Incarnés en pire
en mal infini
crache Tahiti
argents crevant
comptant
A-Blanc
Abscons
Dispatchés
clairés out
of la voie lactée
Poussières
et encor
Peur
pas peureux
avalé
recraché par la bouche
moisie des os
des mères
et perd
pour never more
Soleil de foire
de fêtes écrapouties
truquées
Tombe haut
oiseau si peu
si Rien
et surtout si près
Qu'est-ce qu'ils s'en foutent !
l'espace
le temps
l'air et
les mensonges
qu'est-ce qu'ils s'en foutent !
Limite sur l'aile
chérie des appelées
alchimie d'un festin
en bas du haut
de la plus haute tour
en mémoire D'Abyssinie
Là coeur vide
l'envole
à la pluie
à l'odeur du Rien
chat de moi
en cage Magritte
Albatros Bretagne
Breton et Baudelaire
et Lamarche en bouddhiste
et les oiseaux
d'Hiroshige
sur la barque idiote
d'Hölderlin
après (Quand le changement
s'est fait, il reste
beaucoup de vrai...)
Enfin
bref
oui revenir là
justement
mais pas ici
le sans immémorial
chez nous antre tout
plus d'éphémère
et mieux que marbre
LÀ où le vent dévoile
un solipsisme
le vent d'un j'ai bleu
signe et colore
le multiple
de Saint-François
qui débarque et frappe
l'esprit de sa présence
Ici pas besoin
de donner sa langue
au chat !
En réalité
la déferlante
a eu lieu
l'illusion
du soi l'autre
était le même
la détresse
le désespoir
n'était qu'Un
l'effroi
était l'oeil ouvert
sur la mort
lumineuse
de l'Art
Maintenant
attendre
...