Le dernier jour de Pompéi
et aux bonnes
places
pour les ficelles
du Gilles de Watteau
ou Gaspard
à la présidence
des maîtres
où Dieu béni
tout ce qui bouge
de multipliez-vous
comme roule
le capelan
pour le vol
des charognards
écomomiques
en son nom
percepteurs
lobbyistes
funéraires
promoteurs
de catastrophes
des fins
dernières
Doux baillons
money taire
militerre
aire air erre
ère...
des mots
morts
creux
en redite
de perd diction
bon à Rien
des silences
visuels
en but et
de larmes
en guerre
depuis le début
des pépins
d'hommes
en bruines
d'atomes
et gravats
de tartes
aux pommes
depuis la vérité
de la fin des temps
Dé espérance
Le hasard
c'est certain
pénètre le Tout
ce que les dés
faits de mains
d'homme
ne peuvent
comprendre
Le petit pas
du grand Pierre
au ciel
effrayant
de la Mort
porte en vain
toutes les ouvertures
en vin devin
de vain
en veine art
La raison
aura eu vent
aux grandes oreilles
de la folie des masses
qu'en vase communicant
et de mots en maux
enlacés disparurent
dans un conte
à découvert
...
Fixé au quotidien
du spectraque
qu'est-ce encor
que la liberté
disciplinaire
d'un tableau
d'une fleur
d'un enfant
par le chemin
du Oui
à l'extase d'un moment
sur la plage
du rien pour Rien
C'est de l'aube
en son attente
nourrie d'entêtement
et de doute
L'incertitude
ouverte
rendue disponible
à être cueillie
par l'oasis
de son univers
au dernier jour
sans pépin
d'avoir bien compris
qu'à l'instant
de la mort
à part quelques
tyrans
c'est sans sourire
qu'on entreprend
l'éternité