16 oct. 2013

Apple Paul



...bouffie bouffie
Adolf
in the tree
a peu
de trop
d'un trait pur
une feuille
fruit sec
replié en barque
au sable
des portes
closes
Anne en fous
de bassans
breton borduas
en grand meaulnes
des verts affolés
la peinture
aussi
en élection
arrangée
comme un bouquet
résurrection
à l'huile des vannes
eyck
cordialement
pas une affaire
confettis
sans oxygène
et froid extrême
ramassis
biogalactique
de peurs extrêmes
cubique
à géométrie
de saint-père
priez pour les couilles
Attendre
écouter le coeur
qui bat

Faire le mort
comme la noce
sang pitance
à ramer cracher
peindre par les mains
Se baigner dans la mer
gras gros maigre
par la vague
...Et puis?
Où est le sens
de tout ça?
Ensor s'en fout
la couleur
pour le reste
comme le chow chow
de Sigmund
servi depuis longtemps
dans les party raves
du christ entrant
dans la pomme
pour un monde riant
sachant bien que
sans bouées
quand ça tombe
Alors Guston
de Montréal
à New York
qui vient dîner
et pourquoi
naître vivre mourir
seul?

Riz jaune
blanc noir
sauvage
passible
de peine
de mort
en l'état
philosophique
en mange mots
tout de go
Perdre
ricane
aux dires
des râles
d'ici et d'ailleurs
Boîte noire
au fond du tombeau
de Dieu Staline
Hitler...et les ptits
nouveaux
l 'Un de Tous
miraculés
il en reste
toujours
quelque chose
de war world
Oui petits
dessins
alchimie du Là
exactement
infecte
inutilement
inutile
soumis à la beauté
du jour
antre en nous

Chemin faisant
où lippe le pot
en ciel
créa le pas
de sioux
scalpé d'iros
quoi blancs
et quelques bisons
érectiles de bataille
au boucher
d'Irak au tableau
noir du bon dieu
armé de sévères
un chacun
de sentiers
qui mènent
au one way
de la troupe
disparue
jugeant le dernier
jugement