comme
de la poule
aux oeufs
monnaies
jaunes
à cercle
qu'une main
pondeuse
au ciel
d'une coupole
anime
du plus grand
que lui
Pas là
mieux Ici Même
en forme
et en couleurs
Rien par où
est le jeu
du monde
Une obéissance
à ce qui Est
en plus en moins
à pas Là
mais Plus
exactement
Pas Là Plus
On ferme
vide
on baisse
les lumières
du cloaque
en bateau
les gens
Les entrées
sorties
bétonnées
tout s'éteint
Des gens
tous oui
apprêtés
d'Hiroshima
d'autres là
et d'échos
en échos
de cris
en hurlements
sur fond de terre
en terrain de jeu
d'apprentis sorciers
...Mots Morts
Entendez-vous
les vents
les neiges
et les forêts
dit l'éveillé
menu menant
carbone 14
d'A.D.N
biogénétique
...farfelus
murmures
mur à mur mûre
pour camisole
mortuaire
...Rien en fait
mots clos
comme en sortir
du Paradis
d'Enfer
Coup de silex
en rafale
proématique
et tout...
Pommes
de Cézanne
Giacometti
etc...
De la beauté
sauvant
le monde
à la beauté
amère
aux beautés
de Bacon
au ne pas mourir
en avançant
la langue
en l'eschatologie
des jours ennuis
en nuit déjours
mixant la scorie
insensée
du temps d'horreur
passé présent
et à venir
en une fin
de nature
métabolisant
l'univers
en Dieu sait quoi
de feuilles bibittes
Yéti ou molécules
poussières d'étoiles
disparues en religions
de bisques d'hommes
morts pour le palais
des Doges Toges
et des tables
saintes auréolées
des banques
routes décorées
d'une histoire
d'or mir de boue
et de qui perd
gagne sa vie
à la compter
...et la peinture
pour aveugles
à Rien
aux dires des yeux
collés à la brûlure
de la lumière
pareil au début
comme à la fin
en quête encor
d'une ordonnance
de laisser-passer
hors un conte
aphasique
et où l'agent
fut couronné
par son R ance
d'agonie
à sa suffocation
localisée nature
Nature
sans univers
universel
d'une image
qui libère
le délice
d'améliorer