Pour rien pour tout, pour l'IMAGE sur TOUT. Ce que l'on ne voit pas à voir. Penser en acte-lier. ... .a-blanc c'est des croquis, des esquisses à pensée levée, en virevolte...ex: tout porte à croire...les on-dit...les non-dits...regard sur l'ART... . Autrement comme avoir un blanc, carré blanc de K. M. ou d'une feuille de papier. Blanc de Ryman ou d' A. Martin, encore etc. Après la fin, ce que je tenterai de faire voir... .imageant.
9 févr. 2013
La Veille
Qu'un mot
et le mur
s'érige
entre la Chose
et le chemin vers...
Qu'un signe même
geste ou...
C'est sans GPS
que rose des vents
que boussole
Un entêtement
à ne pas...
à jouer un tour
et mieux Rien
Obéir désobéissant
l'inverse
En allant dénuer
en tombant
de soi vous
ou la Chose
la Réalité
Seul en crie
des morts
d'agonies
de fleuves
des larmes
du sel des pareils
tristesse
si mais pas là
plus que disponible
'Cependant c'est la veille...' *
...des fruits
de goûts d'odeurs
perdus
sans esclavages
à l'arbre au jeu
des feuilles
Seul en joie
des morts
d'extases
transes
transpercés
des prières
éternelles
aux vérités d'échos
'Cependant c'est la veille...' *
et le temps passé
englouti
sous la vague
des mots
libertés
dans le Camp
quand Terminer
quoi?
La Veille
Mozart les douches
atomiques
2-4 boum boum
de tout...
L'homme
ce disparu
ce lâcher prise
nihil déliant
fait pour le Dieu
mort...
du tout est permis
gazé du Tout
technique
nique niquant
la lumière des étoiles
disparue en des têtes
crevées
une noire nuit
des milles
Il était une fois
et pour toujours
l'ignorance
qui se donnait
la mort
bénie ou pas
à la vraie Vie
qui Est Ici
Tenir le peu de Réel
par la peau de l'esprit
Rien encor Là...
Épiphanie du visible
mutation du quotidien
mortel des embaumements
d'offrandes aux dieux
du sang le vôtre le leur
en...petits pas de Rien
du Tout...vers vous
l'ouvert désespérant
des Abandons
Sans chemin distrait
concentré
sur ce qui n'est pas
qui manque à l'appel
justement...
Commun cache
cache comme Un
dehors noir
d'artifices
de petits enfers
anthropophages
pour un sauve
farceur face au mur
à mur...froid d'effroi
pour la joie
des paradis
du petit chaudron
rouge...
Alors...qu'un souffle
qu'un cri sourd
un râle
une panique finale
scelle ce rien
de solitude
...tandis
que c'est la veille
Rimbaud *