7 juil. 2012

Goya (Rondo)

GoYagoyago
yayagoya
YagoyaGoya
 gog et magog...etc
Des taureaux
noirs de peintres
où souffle
l'agonie
des vaillants
aux chaux
vive
des requiems
spectractes
de toutes les pertes
(toujours Lascaux)
d'oreilles
à l'aveuglement
des masses
de chairs
aux eaux
de sang
à l'enceinte
d'une foule
un maître
un dieu
une tauromachie
el mundo
de la solitude
et d'abandon
Applaudissements
pour le héros
qui sort les rois
d'estrades de l'ennui
que la mort dévore

Francissco
Franco
Goya
au besoin
Dieu et va
Malbrough
miremire
Deux quatre
un deux
tempo abri
des coeurs
divers
Kafka recul
au trou
exactement...
rire!
Black aveugle
et sourd
ayant vu la beauté
et la perfection
du monde
Tableaux noirs
à Bordeaux
Saint Goya...
sous peu...
dans la poche
du quand gourou.

Des solitudes
et des doigts
dans le sable
traçant des rêves
des utopies
que d'abord
avoir tenu
sans vertiges
sur le bout de
l'ongle tracer
scripter peindre
l'impossible
'chose' qu'un rapt
de l'oeil
porte hors
la mouvance
le magma
l'indifférencié
l'oubli

Sans chemins
rien...
une critique
de quelque chose
à la durée infime
d'un prix exorbitant
ruinant...
Là qu'à attendre
la fin d'un noir
constat
pour un autre
une Maya dénudée
en vérité
de matières
et d'esprit
que V.V.G
reprendra
en st-esprit
et saint d'esprit
parce qu'égarement
dedans dehors
Du politique
à la religion
Ça remue
dans les brancards
l'Europe étouffe
l'Amérique
est au pillage
La terre est ronde

Porte voir
du roi
du Ça
des arènes
à bon dieu
pour les lions
le toreros
le président
du bon peuple
de fourmis
charpentières
qui ne manque
pas sa part
du règne
de Saint-Hubert
tirant les ficelles
de la réussite
suicidaires
porte tout Ça
comme coquille
pour sortir incognito
du cercle de la mort
le temps éternel
d'un tableau.