Barre au mât a la racine
des hécatombes
sans sentinelles
des grandes maisons
des places futiles
et vides
bien plus vaillantes
et régnantes
que ces senseurs a idole
plus éternelle aussi son don de Vie
clé du monde décombré
d'imbécilités velléitaires
des règnes fugaces
et prétentieux d'histoires patentées
la Vivance
Mieux vaut un pâté
de sable
un remède de cheval
parler pour ne rien dire
que de ne rien dire
Se racrapotter
en poussière
temps espace
pot a fleur
s'ennivrer
sachant que les mots
sont taxés des gestapos
d'insuffisances
Trempé
en d'impossibles
acides
dehors sans libellules
en face alors
de fuites ratées
en Rien la poésie
a toutes les allures
de la bruine
d'invisibles affects
contre un fleuve
d'Oeil
pour des gorges
rougies d's.o.s
un clou ni long
ni langue
une souffrance
pour sentir l'inattendue
perfusion
d'Amour
a tout rompre
avant la mort
des derniers bourgeons