13 sept. 2010

CAMPOST



"FA FA RÉ SOL ÉCRIVENT LES OISEAUX SUR LEUR TRIPLE PORTÉE"*

Compact
des lumières
rabattues
d'en-dessous
des verra
les pierres
légères
rebâtiront
La Cités
tant d'échappées
glorieuses
au crime
dans l'orgie
d'une apocalypse
depuis le début
des premières
cellules...
d'enfermement.

...ça c'est
quelque chose
le sang versé
par les camarades
"...échec au roi
échec et mat
que je passe la nuit
où j'engrange...**
Les morçeaux
de viandes
de Bacon à l'étalage
de la terre à sang
Et du surf
de la danse à suif
sur la dérive
qu'égraine Artenbilastre
Nature à taureaux
des gens cacavulves
le tremblement
de l'équatantine
l'oubli ravajos
de zéro ni mot

Mène la troupartie
draffe à mort
mange-clous rouillés
d'éclipse caniculaire
d'un rireplouk à fricasse
à boue de marmitage
de la ventouse
drastique
de l'ange abusant
de tatabarnacle
d'ajenous mains de purées
la cagne la basta triche
copule à la rebond
politiquement
totalitaire
Zéro le gel dit
Langevin...

Rezoomer Ça...
Du Montéverdi
d'hommoiseaux
replûmer et fa ré
sur le Sol...
Cherchant se trouvant
trou-vert Oasis?
Ça s'entrouve
est-ce un Oeuf?
"Mais la Mort
n'aura pas
d'empire"***
Les pierres
se soulèveront
un rewind...
la Sainte-Victoire
le mont du Janicule
la Morija...
le saint Sens...
chacun a sa pierre
a sa roche
a son cailloux
à ciseler
à refaire montagne
Musique à fleurir...
pour Rien.

Pound*
Baulieu**
Thomas***