L'INABORDABLE
Et parfaitement cela
Là...en Réalité
passant passe
le désert...
On revient chez soi
au moment...
au moment!
Sans commencement
ni fin
ce qui s'est laisser voir.
Finalement.
D'abandon l'Amour
vers l'obéissance
aux premiers palmiers
d'hiver...
En sourdine
l'arrière
la fin n'a pas
les moyens.
Tard la nuit
c'est l'Effroi
les grands froids
Splendeur
de la Lumère
Un Rêve...
Le Jour de la Mort
signe le pourquoi
de la terre...
un Tout Translucide.
Initiatique
brillance de l'Un
à l'Autre.
Y Être
Le Sens
et la montée
du prix des sardines
dans mes poches crevées
la mort de l'homme la Mort
la mort d'Hégel...la disparition
du soleil des planètes des galaxies
le pain béni Dieu mort pas sûr du Tout?
Et tout est permis allons...l'abolition du capital?
L'abîme le nôtre les morts nos morts les cris nos cris
et ce qui pour la suite du monde...petit fil menu...
au plus profond des noirs Obéir disait Matisse
à la lumière en l'effondrement du tout perdu
lacher la prise l'emprise l'entreprise
de l'ingérence innommable dit Char
que de chemins aux mille
illusions croire
naturelement
si Naturel
enfin...
être
où...
Vendeur de hauteurs 2012 chantage gougouroucoucou des vandanges du ciel et de la terre...les temps son difficiles...pas si vite ogres de sens...de chairs fraîches...est-ce de la lévitation ou coma réel...non..Y Être.