5 mars 2010

OcreRiant







Pour un psaume
tout en bas
au-dessus du plus
grand des rires.
Sans que personne
n'y voit croyant
découvrir un port
où il n'était
qu'enseveli
dans du plomb

Et vinrent ceux
avertis du plus
grand que soi
prirent le lieu
alors Athènes
devint une ruelle
d'Haiti ainsi
Nerbucas se retrouva
dans les bruines
chaudes d'Islande

Oui un brassage
de matières
devenues fusionnelles
Tous se retrouvèrent
sous une même effigie
Rien du Nul-part.
Les populations
désuettes prirent
les trous dans
un offrande pour
croire encore à
quelqu'apparaître
disparaissant à
tout jamais de la
figure du monde

Miroir fait fuir
exactement dans
la gueule acide
du tombeau à duperie
La grande inconscience
sans savoir les tue
pour une mise
en pli de leurs
jubilations emmerdant
les vaches sacrées
de l'Inde et de St-Clos
L'ensommeillé
se vengeant crache
les chameaux sanglés
de bédoins
de leurs villes bidons
et pragmatiques.

Voilà des cochons
xiamots en plus
des perles,tant
temps tant pis!
De l'air hors
la horde poches
allégées de partout
ici comme au ciel
plastifient notre
spatialité des grands
saucés dans les bruns
des boues des crachats
médicamentés d'aliments.

Gardez vos christes
de guerres pour
disparaître partez
Vos tabarnacles bougonneux
Trop de venues mes maîtres
à sous à grande bouche
Maîtres à salon funéraire
suivis des croque-morts
toujours vos papiers
truqués à l'or des poudres
blanches salons des charcutés
d'universités sans soldes
rien rien sans rire.
Oui Partez!