22 mars 2010

Grille Et Désert


Du corps romput brisé assis attaché dans la roulante qu'un cerveaux comme d'autres un corps mais sans le cerveaux mais également de bon peintres.Alors qu'es-ce que dire encore aujourd'hui au temps des peintures mortes de la survivance de quelques uns sorties de la boite crânienne juste avant de composter? Sans nécessité de tabula rasa s'étant fait d'elle même à la fin.

La résistance ou l'Attente
somptueuse au désert au
nulle part à ce qui Est
De grands vents de sable
rendent la peinture
impraticable, Masson
n'ayant surréé ses
toiles d'après à ce
qui tient lieu là depuis
déjà une forêt
et les dernières têtes à
Pinocchio dévorées
par le compte à rebours
de l'incréé l'ensablement
retour des faits du Néant

Le malheur est
l'exorbitante étendue
du désert pour
les esseulés Et
l'oasis et la tribu
encor qu'une chimère
Rien c'Est tout.
Cela n'empêche de
préparer quelques
esquisses dessins
croquis qui seront
de la pensée
contradictoire de
scories de fragments
d'un shiasme d'un magmat
...muté.

À mal Lieu
Ici l'idée d'un g.p.s
fait rire la page
blanche.
Le sable est sans
orientation et ce n'est
pas son souci Doigt
au sable trace un
signe qu'aussitôt
le vent balaie,
emporte ailleurs
nulle part à Rien.
Des choses Vraies
désencombrées font
scintiller le grain
des pierres érodées
d'outrages méprisés

Comme un sablier
qu'un imamuet kick
signant le refus
chronométré de sa
monnaie vivante
chair à Bataille
mutation des cimetières
des martèlements
du même crisis sens
insensé du tire fond
économomique pour
l'éclosion des Grandes
Nuits Noires et Froides
sans l'éclairage
ni rose des vents
Une triée de lumière
dans la Nuit.
Oui un malheur pour
les Fins Sans âges.

Catacombe
d'eau d'air de feux
Poudrerie de fines
poussières d'os
in mémorial que
vénère L'Aile des
Coeurs des Pas terrestres.
Patience dans les dunes
des azurs à Valéry
des étoiles à Maiakovski
aux nuits douces de
Leconte De Lisle
Lumière des pendus
des chimères à
mirage pour de Vrai.