6 mars 2010

Blanc Chaud Fakir



La Nuit des clous
où rêve la marche
du vent chance
de Rien surtout
pas d'issue
il n'y en a pas
que de la raideur
dans le sommeil
malgré les jours
les nuits la mort
pas à pas Rien.
La certitude du mal

Sans le rire cette part bouée de la niche dedans dehors
alors cette part terrible la réalité quotidienne vous
change en soubresaut d'une violence inouïe que donnent
les derniers moments de la fin.Phase terminale.

Partout les coliques
du non sens et tenir
par ce temps de vertige
du beau de l'air
Écoute voir oui Voir
Ariane comprend va
Note en sismographe
malgré le risque
Non en acharnement
scientifique pervers
aveuglant la misère
Pas de coupable
Toute forme d'assasins
n'est que la forme
elle-même de la mort.
Sa pharmacopée sa chimie
de l'univers de la terre


L'Embourbement des têtes intelligentes à projet totalitaire
Exrémisme du pur suicidaire forme religieuse ou politique,
économique,épuration apocalyptique humaine trop humaine
multipliant en autant de particules que d'humains la totalité
du penser pour la mort.Contamination du genre par anasthésie
de la synthèse des trois dernieres guerres.Génotype étêté
de son antithèse.

Clous du dieu ou du cercueil
exactement cela Caïn les guerres
le sanguinaire le débalancement
de la terre du monde sa Folie
Un tableau une sculpture gouttes
de ce sang (suicidés de la société)
Ritournelle,le chant du Gouffre.

La Fin Blanchot
tapis volant
d'Ayatolah
folie de nuit
fou du jour
Fakir.