La suite sans voir
l'effacement monde
à jamais sans prise
sans issue au coeur
d'étranges visions
Des géométries
informes du désarroi
des terreurs signant
les marécages d'atroces
capacités réductrices
des dévorations Mortelles
d'être là.
En plein coeur du bon
du beau les blessures
noires d'invisibles
festins broyant chair
et Amour dissipant
par les avenirs le sang
de tes fidélités
responsables.
Juste des larmes aimés
notre petite barque
à rien à pierre tombe
Ici comme dans tout
fléché par d'assassins
tous semblables à nous.
Des rires tristes
au moment véridique
ou comprendre ta mise
à mort un impardonnable
échec d'avoir été
En un ignoble paradis
cage au goût des
fureurs sur toutes
vivances.Mourir
broyé par la folie
Entretenu par la
torture par vous toute
ailée.Plus rien alors.
S'arracher la mémoire
mais de quoi?Du sel
des océans des pleurs
fragiles de tes vérités?
Ce qui là s'éloigne
le seul vivable encor
par la monstruosité
des menteurs savants
et scolaires scalpels
à rien étouffant
le souffle splendide
du simple fait
de ton nom.
Rien.