20 févr. 2010

La Gnose De La Pellicule



Que de choses tranquilles choses qui ne passent pas,un temps allongé jusqu'à l'avalé du monde.On pense au beau de l'air quand l'ange vint par l'effleurement de l'aile au blanche résurrection des neiges après les noyés des émeutes.Longs moments avant les premiers oiseaux des airs du ciel où encor la Poésie remue l'éveil,porte à hauteur du dieu sa grâce,l'admiration grandiose
épiphanique mise en marche des maîtres morts par millier un Chant.Évaporation du désir inspiré par "luxe calme et volupté"* par L'Amour Éternité. En fait du léger hors l'effroyable et risible histoire nature humaine.
Un Champ des Actes-liers
du bruit rhytmé
Et silencieux des joies
Nous voluptueux
Nous hors la horde
mortelle des vaines saignées
Poèmes sans papiers
Si loin encor d'attendre
De vieilles semences
cognent avec les pieds
qui brûlent face
à la descente des vaisseaux
faussaires méprisants
L'Absout conjugué
du déboussolement
de l'état des souffrants
Ils s'en crissent s'en câlissent.
Alors comprendre.

Au fond cadavérique
des choses,pas nous
à l'abri de Rien
Vos pourquoi rusés
pilleurs non non
pas là,la relève
tremblante des glaces
millénaires savantes
immortelles outre-vie
finalement un règne
de gratitudes oui savant
des dons à siffler
quand on a peur
Évidemment que les jeux
sont faits une vie
iniatique bien
comprise.

Le froid brûlant
le dernier souffle
Et l'inverse
Savant Tarkovski
du début vers ta Faim.
car tu croiras encor
Voyant déshérité
par ton outil
pelliculaire
Oui à ta trame infinie.
À nous nos neiges
chaudes et les rayures
des palmiers
sur la peau du ciel...Terre!!!
Sans dieu d'or que de l'air
où s'envolent les Gréco.

De pauvres orchidées
pillant pillées
et à la fin l'air
insensé au béton
des mortes racines
Évidement des fleurs
du mal ..."Ô satan prends
pitié de ma longue
misère"*...Mille
Images une de vous.
Don des liens par
bruines de vos vraies
semailles.

Baudelaire*