29 déc. 2009

Passer!



L'Art étant toujours d'une longueur en arrière de l'agiter y restant oeuvrant l'ouvrant déterminé à l'en désabler la braise et par le souffle du sang rétablir les connexions du dieu enfoui, caché oeuvrant sans cesse à ce qui donne suite à une mince strate de ce que l'on appelle notre monde.
Autant dire que ce désensablement n'est pas dynamite propice au prix bébel.
L'Art n'est jamais où l'on croit.
L'Art est sacrilège,mal venu mal né jamais né!
C'est à Voir...ou à renaître.Ce métier socialement désavoué toujours dont les captifs se servent de temps en temps,au besoin de renouvellement de la garde chiourne,couvert sur les forces rebelles du désir de tous les gens,fixant alors par le pouvoir de la carotte et du bâton le mode de vie qui s'impose dicte les chaînes.
Cet état de fait, fausse représentation s'appropriant la Vivance du bien du mal en décapitant le bel équilibre, l'harmonie,les couleurs justes,la forme exacte permettant de...
Cela pourrait se dire de cette manière,on ne le peut!
Ce qui se produit là l'Apeaucâlisse est affaire de blanchiment des corps donnant suite aux âmes mortes de Gogol si l'on veut, à ce qui est.
L'Art ici est bouteille à la Mer Rouge,au père mort,une tragique erreur de souffrance de désespérante quête de la beauté en la désâmerie...en quelque part ici!
C'est de sable d'ensablement qu'il s'agit...qui agit.
Et puis que ce soit une forme de prière,des mineurs à sauver dans le borinage,une démonstration monstrueuse de création,la prise de position pour du commun à l'ouvrage,de réalité sociopolitique,pour le surréel,un rizomatisme...etc
C'est de quêtes,de chemins,de sens,de vivances de tenir dans un 'ouvrage' dont on ne voit pas d'horizon.Horizon; le cul dans le réel la tête au désert décroître ce satan né désert...rabaissé les culs hauts d'apprentis Menteurs.
Tout Est Là;Braise à son Désert.