
Chez les arts de la joie "la part maudite" qui s'y terre,comme une tare cachée dans les profondeurs sans fond du monde. La pratique de l'art cette transposition des pires horreurs en geste qui matérialisées dans les chairs ou dans le quotidien ne serait qu'une mer rouge de toutes les eaux de la terre. Ainsi ces horreurs transposées en oeuvres échappent à cette mort du sang de la terre,communiquent par conséquent la part cachée, bonne et heureuse des oasis,des moments fleuris rares instants de répit des terribles à venir.
Chez ces "maîtres de la joie" la possession des moyens,dépasse celle de tous les lyrismes par exemple de Delacroix jusqu'à Picasso en passant par Van Gogh.
Il ya chez Ingres Matisse et (?...)plus d'horreurs de perversités parce qu'insidieuses en sourdine,que la franche vérité des coups de traits portés directement au regard par les Émotifs en Actes. L'art de la joie porte froidement un calcul chirurgical et sans pardon.
Ce sont des "serial painters".
Une joie du massacre,un bonheur du sang,un luxe d'assassinat.
Ceux de 'la part maudite' eux sont hésitants,tremblants,mal domptés encore humains.
La froideur la distance,l'indifférence aux massacres ce on "ne peut rien pour eux" répond,justifie la liberté qu'ils ont envisagé celle des maîtres du monde.
Celle de ceux qui bien assis devant un tableau spéculent. Ces peintres de la grande indifférence,ont changé la vie pour un bout de "morphiné à pique pinceaux".
Quant aux autres impuissants de même,plongés en pleine horreur du sujet portent encore la vraie vie dans un qui sait,qu'il y a plus grand que lui,qui donne non de l'espoir de la joie ou du bonheur mais la mémoire de la suite du monde.Les concessions de Bonnard à ces deux parts du peindre, font que cette peinture à bien y regarder,est d'un immense nihilisme, une déception..Ces manières de création sont maintenant caduques devant l'extrême perdition que nous vivons là tout un chacun.
Tout ce qui aujourd'hui nous vient de ces constats, est mort depuis le tout début dans la caverne.
Alors et comme toujours devant le pire l'art devra "répondre aux angoisses de son époque". Comment?