14 avr. 2024

Dedans Dehors


Par delà 
le dire
et pourquoi pas
semblable
à la couleur
du temps
Proust
Bonnard
ou encor
relatif
à la donnée
de l'affect
ou de la perception
des expériences
vécues 
Court long
ou très ou peu
Alors
image
pareil au stimuli
de l'enfance
et du principe
de plaisir
à être
ou 
pas 
le motif
à couper
court
à la marchandise
et à la fabrique
du temps
à le perdre
de le gagner
Petit dessin
et écrit sur les cries
au passage
d'à contre
MORT



Mais la 
mort moins on y pense
plus
elle fait de ravages
TROP
TARD
le conditionnement
à fait sa destruction
guerre
dedans dehors
et en somme
emportant
TOUT
sur la distraction
de vivre
sur la plage
en chemin
et sur l'état
des routes 
un soir divers
Animer
le réel
celui de 
du
RÉEL
IL Y A
Quoi... .
TOUT
et dedans dehors
et plus 
LA MORT
CONCERNE
la mise errante
de Saïs
celle de 
Novalis
chez la
LUMIÈRE
en retour
et au bout
de la
PRÉSENCE
retrouvée
alors que la passage
se termine
et que ce qui
déterminisme
ou pas
volonté
ou pas
l'ignorance
à obéit
et 
L'ART
en
TOUT
et bien
cette résistance
deleuzienne
ou pas
en retrait des commandes
humaines ou divines
passe avec la plus
grande
des naïveté
céleste
( Cézanne
 est un bel exemple
de la quête
entreprise
pour en sortir 
du dictat
des lois de la
NATURE
natures )
Ce qui s'y passe
c'est la vrai vie
dans la perception
formes et lumière
en géométrie
qu'après 
TOUT
peut-être
variable
selon
la possibilité
de lois
insaisissables
et invisibles
VISIBLE
et visiblement
visible
en pleine
LUMIÈRE
effective
dedans dehors
Pas Zen pas Dogme 
pas 
PAS



Conte à payer
et fracture
du temps
TOUT
simple
et compliqué
mais 
ICI
MÊME
D'AILLEURS
de l'image
aux larmes
et des perdu(es)
des chéri(es)
ce qui se rapproche
de l'essence
lumineux
indiquant
le chemin
s'ouvrant vers
un je ne sais trop
et certain
quelque chose
semblable
à une tension
obligé
et toujours aux aguets
du
TERRIBLE
la possibilité
de l'arrêt
de la poursuite
du monde
par la
MORT
main tenue
aux capacités
de la tête
aux pieds
en l'esprit
d'errance
 d'antithèses
illimitées
de la demeure
de meurt
la
MORT
et les chéri(es)

 

Prés Âge


De choses et d'autres
et la loi
incontournable
du
PASSAGE
trop jeune trop vieux
encor
pas mure flétri
ou qu'importe
le
TRI
procède
et va à son épiphanique
oraison
panégyrique
à quoi que qui... .
hors et au sortir
du réel
enfermement
enfer me ment
et bien autre chose
d'ignorance
assassine
et des tremblements
de chacun sa mort
rilkéenne
ou pavésienne
(La mort aura tes yeux)
encor
TOUT
est pour elle
l'AILE
en ses filets
d'amours
et de petites morts
encor exode
d'à jamais plus
l'angoisse
du
VIVANT
des êtres
à sang chaud
sensible
à la joie
Rilke
et
 Duino
et dantesque escapade
en la vie
RÉEL
sortant de sa gangue
initiatique
vert de main
pour un petit dessin
tenant point d'appuis
le temps
qu'il y auras à obéir
hors de 
TOUT
doute



Il et rivage
des départs
aux milles
présages
sachant bien
l'or et l'air du temps
des posthumes
après
TOUT
hors d'état de nuire
au pire des monstre
et d'en vain
la force des délires
d'avoir raison
déraisonnable
Mais 
n'est pas
Les nids
des oiseaux
l'herbes
et ses leçons
encor
les bêtes géniales
et généreuses
et l'âme
des heureux
élues
Montaigne
Pascal
Pasolini
Artaud
et des tonnes
d'oublier
de
SILENCE
posé
toujours
jusqu'à la fin
des temps



La
MORT
devant 
SOI
et sous les décombres
des mécréants
ayant cernés
pour la
grande dévoreuse
son capital
d'idées
mortes
projetés
vers la cueillettes
de la folie
dernière
glorioles
et 
socles et poussières
d'IL Y A
eu 
l'à jamais
la volonté
de résistance
à la
MORT
morte
Non pas par l'envie
de détruire
mais l'envie
suicidaire
c'est à dire mené
à sa fin
par le 
nez du
BOUT
LA MORT
'' Le réel, une fois de plus,
est ce qu'on n'attend pas '' *
ou encor
posthume
ces petits dessins



A mes chéri(es)



Maldiney *

13 avr. 2024

Maldit


Il y avait
des niques
et des troudepiques
et dans cette direction
autant de tortures
qu'en veut
lui pas l'autre
et des doubles triplés
quadruplés
interminables
des guerres
massacres 
de l'habitude
sans limite
aux immondices
d'ainsi va la vie
Enfin
fumier de Job
lapidation
de Mussolini
adoration
de Francis Bacon
assassinas
des carmélites
sur une musique
de Lucian Freud
ou 
du cardinal
chez pas qui
Mais dehors dedans
la misère
(qui ne finiras jamais)
du fils pasteurisé
alors
Qu'est-ce que
cet engourdissement
de l'aide à mourir
en temps de 
NATURE
natures
sans la pensé
de lumière
Ces mots
en forme
de miroir
reflétant
TOUT
en un amas 
de choses et d'autres
en mise sur la table
du Dr Tulp
opérant à la tête
Samsa
pour y greffer
du kafka
revu par Orson
qui lui à déguerpi
avec les martiens
sur la 15ièmes
un soir divers
Ridicule
et sans rejoindre
le semblable
car machiné
et robotisé
de bas en haut
Et à jamais plus
les beautés
enivrantes
cioranesques
et deleuziennes
vers les îles
Moumouques
Alors soit
Villon
...priez Dieu
que tous
nous veille
 absoudre! 



Il y a
petit dessin
par la main tenant
contre
TOUT
l'indifférence
du ciel et de l'enfer
donné
ICI
D'AILLEURS
passant
et bien instruit
de l'EFFROI
de pas lui
mais l'autre
Jean-Paul
Paul
Saint-Paul
pris et priant
la main dans le sac
de la poche
du pauvre
enrichis
du bienfaits
pour lui
Bref de ce côté
le martyre
se père et tue
voir et revoir
la décrépitude
échomomique
et le besoin sanguinaire
d'enfants
dont la terre tait
les massacres
dans les tranchées
minces du cert veaux
des maladies
de la famine
et du sauve personne
LA MORT
à besoin de vous
petit 
tous petits et grands
à soir on fait
peur au monde
Pas vous tue
 nous vous tuent
Qu'est-ce que
L'ART
en temps
de répétitions
sans pétitions
ordonner
prêtres
militaros
d'en faire de la monnaies
mortes
et au pris du gros
qui croyait
prendre



Bombe et feuille
qui tombe
Joyce
sinthomme
2 deux m
et pour la création
de ce qui se donne
à
VOIR
par conséquent
le
TOUT
devient
en position
sur la portée
tragique
ou loufoque
encor
bloc de marbre
pour la porte
érodée
de
Rodin
et 
Lavoie
à la lueur
des mouches à feux




Le Cri


Chant de Mars
et des malfrats
peint et mis en scène
par
Poussin
et sur 
NATURE
par Cézanne
opérant une césarienne
de la
Sainte-Victoire
de la vérité
en peinture
tautologie
pictural
des frayeurs du peintre
d'exempté
du travail
guéri de
TOUT
Qu'est-ce que 
L'ART
DE LA
VÉRITÉ
VOIR
Montaigne
jumelé
à
Goya
avec un peu
de la beauté rescapée 
des malfrats
dedans dehors
de l'ange fait le diable
en tenir
CONTE
ART
d'enfance
à leurre
où commence
le rocambolesque
apocalyptique
atome sans 
tête
de la 
MORT
morte
NATURE
natures
et ses grandes connaissances
de la nature humaine
trop
et créée 
pour la cueillette
sanguinaire
et en froides
 tortures
du sensible
et de la 
VRAI VIE
d'AIMER
un petit dessin
la tête sur le billot
du boucher
de lui 
de l'enfraire
des affres et des histoires
débilitantes
de la
FIN
sans faim
d'où où vers où
et le 
SILENCE
des mers de larmes
éternelles



Regarde bien
antithèse
d'amouir
et sous le regard
(savant)
hors la bouffonnerie
des belligérants
monétarisés
du pouvoir
connaissant
le 
GRAND 
moment
du cri
ou encor
les iris sur le rivage
asperges
pommes de terres
le grain de riz
l'oignon
épluché
par Schopenhauer
et la faim
de la 
femme enceinte
et des belles musiques
de Jean-Sébastien
dans la poubelle
de
 l'ENFER
ou comment appeler
se qui ne se peut dire
LE SILENCE
DES ABANDONNÉS
le reste
et bien 
c'est la
FIN
et sa
DISPARITION
sans fin
et sans dessin
dans 
TOUT
les sens


Art
 in memoriam
bas et haut
et plus
et bien vu
de la sculpture
de 
Ô
niveau
hors de pris
et en poussières
de
plâtre
de 
Paris
spatial
et brigand 
du taire reste
de la main à l'oeuvre
de 
L'AMOUR
en
pro-vocation
à la
MORT
et sa tentative
de tuer
L'ART
dans l'œuf
et les poules
des boeufs égorgés
et 
l'ABANDON
des chéri(es)
 maîtres anciens
et la cote
des fausarts 
et ses collabos
les mêmes
cher à 
Thomas
et les plaies
sacrées
du passage
au théâtre
des terreurs
après
de la
MORT
reprenant
sa rage suicidaire
infinie