26 mars 2024

Alors Art



El les illusions
esthétiques
pour ne pas... .
mourir
Illusion.. .
alluvions
d'ART
en retenues
et tenant lieu
de la persévérance
de la 
VÉRITÉ
d'essentiel
Est-ce en 
CIEL
Sans doute
LA JOIE 
QUE D'ÊTRE
allusion
à la part
du merveilleux
ICI
MÊME
s'éloignant
de ce qui 
du
TOUT
EST
BIEN
autre chose
que ce que l'on crois
ce 
ôté 
en 
SEUL
Uvu
et vers +
étant été
de ce qui fut
seras
au royaume
bleu
du jeu sérieux
de nos
AMOURS


On y était
et encor
on s'étreint
de nos lambeaux
de fortunes
qui par le petit dessin
retient
nos coeurs
en vigies
On ouvre
la faille
céleste
en don contre don
'' On se donne 
en donnant '' *
d'embellie
contre création
alors... .


et... pour le quoi
du pour qui
là... .
faut revoir
le siècle à capitulé
devant le prix
de la prise
partagé
Et dire écrire
pour le recul
et penser
la vie la vrai
celle devant la
MORT
et les faits 
au derniers
instants 
VOIR
ce que
 l'ART
en dedans dehors
il à dépiégé
et rendu caduque
pendant ce temps
de la lumière
Ce libre se libérant
du terrible
de l'autre dont avait 
en méfiance
les guerriers
de la
BEAUTÉ
Car la peur 
la désobéissance
à donner 
au courage ignare
ce qu'il fallait
pour tenir
éloigner
l'invisible inattendu
sous couvert
de justifications
de la
MORT
et ses déguisements
en et hors
le
SOI
 

Attendre
vers et éternellement
la correction
du terrible
et des morts
d'innocences
entourloupées
du devoir
ou de la belle vie
au bout de 
l'Épée
des épelés
pas appeler
Il y a ceux-là
et tous les autres
se croyant
à l'abris 
de la rose des vents
dont nul ne sait
d'où
il vient
Le courage n'est pas
l'ignorance
Alors
LA MORT
est le terrible abysse
d'abattoir
Ou encor
le se désenvoûter
de l'autre en la gang
à bon dos
partageant
le déjeuner
sur la
NATURE
natures
Aile était
seule
nous étions seul(e)
A SEULe
lié par la 
MAIN
à l'oeuvrage
qui 
SEULe
nous sauva 
du miroitement
ensorcelé 
d'éternité



Mauss *

Pas


... . de la
MORT
dont personne
ne veut  dire
l'ignorance
et par manque de tendres
amours
Alors
la vie 
par la
NATURE
avec et en symbiose
donnant donnant
sans savoir
extirpé(es)
du
TOUT
antre
cet joie
fragile
de la création
immédiate
de
 l'AMOUR
( qu'importe
la manière la façon
d'ÊTRE )
Aile 
EST
chez elle
et 
l'ART
chez lui
en
CONTE
hors l'imbécilité
du mourir
ensemble
à la grande roue
(rouerie)
du parc d'amusement
qui de 100
sang mensonge
ne font pas
une vérité
sur le bbq
de la festivité
fuyant
le drame sous le couteau
de pas lui l'autre
dont ce qui se nomme
la vie
et bien c'
EST L'AUTRE
MORT
sous les pieds nickelés
de la 
MORT
qui n'à pas
besoin 
d'ÉTRE
elle est partout
Alors



Sculpture
sur croix
et son pieux
présage
d'avant pendant et après
QUOI?
Le Verbe
et 
Wittgenstein
et le cercle
religieux
du pouvoir
sur le sang chaud
d'envoûtement
ou de la
disgrâce
d'AIMER
malgré
TOUT
( L'amour et la peur
ne connaissent
pas d'issue )
Mandelstam
'' ...Il est vain
d'agiter des ailes
sans force.
Tant pis,
je suis avec vous
jusqu'au bout... '' *
et c'est bien de ça
qu'il s'agit
et du passage
en Agonie
TOUT
le reste
c'est de la
MORT
qui s'agite



Alors on y 
EST
nous serons
jusqu'à
notre
OUBLI
rempli 
de larmes
et certain 
que c'est les nôtres
Dire
ICI MÊME
D'AILLEURS
en chuchotant
tendrement
à nos oreilles
NOUS



Akhmatova *
 

25 mars 2024

D'Où L'Art


Tenir
exactement
non pas
dans le combat
sinon
contre 
LA MORT
 devenir
lucide
conscient
du hasard
de l'histoire
tentant
d'établir
le petit dessin en
CONTE
qui hors la somme
devrait 
De vrai

ICI
MÊME
D'AILLEURS
dans le grabuge
de ce qu'ils
nomment
la vie
et déjà
Boileau 
Lorrain
à la 
Grande-Ourse
et les Saints
nouveaux
Sade
Nietzsche
Bataille
Artaud
Debord
et les pas nommés
ouvrant le front
de l'ignorance
infernale
Hors
'' Le dernier acte est sanglant '' 
Alors
l'ART
qu'est-ce que
cet abris
à l'Anse-Pleureuse
où nous étions
outré(es)
et passions d'améliorer
Est-ce que l'ange
fait le diable
en son enfer
et par quel destructeur... .
Enfin
et de la misère
du souffle
de la vrai vie
AMOUIR



Temps goyesque
et des priorités
dignes
de Ti-Zoune 
au théâtre des variétés
sur le radeau de la mésuse
d'Adolph
déguisé
en lui le même
UN
des uns
d'où ça sent la merde
compostant
son apocalypse
de ruses et de prétentions
calculant
le nombre
de coup
pour faire jouir
la
MORT
morte
en feuilles mortes
compostant
l'humaine et trop
 d'imbéciles
gens foutres
aux destructions
pavant l'enfer
de bonnes intentions
 histoires
d'écrivailleurs
au métier codé
à père pet 
de la cacadémie 
et ses ponctions
du verbe
à la courte paille
et au dire
scellé
de ronronnement
en la loi 
des cents morceaux
MONDE
Alors
les males aimé(es)
de la vrai vie
visible
rendu
VISIBLE
et pas les en avant
sauvons nous
et collabos
les mêmes
( Les écrivains
qui font de l'écriture
permise...)
Ossip
et pour finir
et bien alors
des tas de morts
nous disions
que posthumes
et du mal
du vide des maux
que laissent
les chéri(es)



De l'ICI
MÊME
par les têtes
étêtées
du verbe
et de la
NATURE
natures
dolorosa 
en pleine
métamorphose
et la
MORT
la rappelant
au bercail
innommable
infini
d'à jamais plus
alors
les petits dessins
d'après
TOUT


HORS
... . de cela
il faut répéter
jusqu'à l'écœurement
s'IL Y A
encor

Pascal *

Sur Le Bille-Art


De l'Art
au passage
hors du
TOUT
du trou
des absences
de sens
depuis
les dés pipés
de l'arrivée
en Cacanie
monde bombardé
( Ici c'était une ville
prospère
et aujourd'hui
un champ de ruines )
Ukraine
et par les ordures
 les déchets
dès la création
d'au début
était le vent
collaborant
par les mêmes
créés de la disquette
feuilles et bombes
c'est pareil
dit 
James
en cul-de-sac
des murs 
à murmures
histoire
de la multiplication
de... .
Alors 
dadawinnages 
 de mots encerclés
d'Hegel 
et qu'est-ce que
L'ART
en visage
auréolé
d'atomes
et de 100 milles dessins
festifs
après
TOUT
La question
se pose
car la main 
de caresses
et de tendres
pitiés
se fait froides 
et bibliques
Pas lui l'autre
la vie est un combat
se débâtant
d'arrangé
avant que d'être
où attend
la Poune
et le théâtre 
des marionnettes
Ceronetti 
et la débandade
des ficelles
d'insignifiances
porte ses fruits
passés aux sciences
biochimiques
des aliments
pour apprentis apothicaires
aux urgences
de la maladie
d'AMOUR
Fond de dire
fond de cire 
Rosso
ce qui se trouve
au bout des mots
du
TOUT
de la parole
 élucubrant 
ses faits d'hivers
en l'état défait
par ses abandonnés
mêmes
au goût du livre
dictant
la marche à suivre
vers
Jonestown
et ses abris
fils-co
nucléarisés
des bénis fils
de la 
MORT
de 
L'ÔMMmmme
Et bien
écrire
proématiquement
en chantant
pour le
CONTE
de la
JOIE
d'AIMER
et enfin
sortir de l'enfaire
des farces et des attrapes
à
 TRAPPE
 la famille
des milles et une phases
terminales
de la pacotilles
du
TOUT
est foutu
soyons heureux
c'est à dire
l'instinct suicidaire
comblé
de l'ensemble
en somme
 d'aussitôt né
qu'apprêter
aux services
de la
MORT
Qu'est-ce que
L'ART
et ses amusés
murés
éloignés
de la sortie
du style
des formes
et de l'approche
de la connaissance
tenant tête
à la
MORT
Oui l'ART
en tant du fourre
TOUT
de la digestion
programmée
du pogrom
Mais
 L'ART

ICI 
MÊME
en ce constat
d'attente
la VRAI VIE
en
tendre
AMOUR


reTenir 
en sapience
antre-nous
encor
hors le bagne
du fil narratif
et de l'infinito
Proématique
de là
enfin
avec le sauve le chat
où brûle 
les derniers vestiges
de l'esprit
et de la barque
à 
Noway
vers les îles
d'outre-tombe
 d'épris
de ses gangrénages
en ses forceps
de mises en plis
philosophiques
 baroques
fripées
d'exceptions
Alors
LA MORT
règne
dedans dehors
en ses abdiquant
du piège
que décrit 
bien Bachmann
vu 
d'Art-Ô
et le gros lot
de la planète
bleu comme une orage
S'en tenir
au point d'appuis
lentement
le
TRI
se fait 
TOUT
seul
et la proématique
de
 l'OUBLI
de la
NATURE
natures
aspire
la beauté vers le gouffre
trou noir
infini
LÀ OÙ
 l'ART
chancelle 
de vertige
stop arrête
fixe main tient
le passage
ouvert
à la lumière
vénère
entretient
au-delà
du concept
ce quelque chose
de mystérieux
en symbiotique
magie
élective
d'être au monde
ICI
MÊME
D'AILLEURS


Art 
tenant tête
au saut du diable
et à ses fins
dernières
déguisé
en follow the guide
vers 
Noway