23 mai 2023

D'Ailleurs


Et des caïeux
sur 
ICI
d'AILLEURS
des mots
vides
évidés
de leurs
verbes
et passe mange clous
de l'astre
éteint
pour la fuite
du
Monde
d'en finir
avec le sortir
lège
et des poussières
d'air
aux agonisants
stériles
et de tant 
de proustiens
tenant
la faille ouverte
et
mystérieuse
de 
l'Éternité
trouvé
... '' mais toujours
 en mouvement
l'un vers l'autre...'' *
infiniment
sans chemin
qu'à l'énergie
lumineuse
et simplette
sachant bien
ce qui fut
seras
À
 ÉTÉ



'' ...la nuit n'à pas
besoin d'étoiles
(...)une étoile
a bien encore de la
lumière '' *
En
 FIN
nous y voilà
Pas besoin
depuis
toujours
aneutré
du bien 
morvie
pour cette
histoire
de mortvie
 d'écrase
innocence
et de naïveté
en temps
du
CAMP
de la technique
moléculaire
Et l'autre bord
entre 
dire et pas
de bruissance
en silence
a-blanc



Pure perte de mots
en maux
seulement
main tenir
l'impossible
et y tenir
question
 de vie
ou
de
 MORT
égoïstement
abyssal
et pas pour
des remous de wawarons
cacadémies
 de la ponctuation
en temps de guerre
et des baudruches
cherchant la fâote
au son sourd
de la
MORT
et de la misère
de la plus idiote
présence
à dix par être
ou exilé
du foutoir
d'en somme
assommé
d'y voir
 la quantité
exponentielle
de la souffrance
du
VIVANT
Juste écrire
c'est
TOUT
dire
Que le 
NOIR
noirci le sombre
nombre
 Ô
MORT


Blanchot *
 

Naïveté


... .dévore
en
l'à dent
 la
MORT
TOUT
partouze
d'Apocalypse
à terme
pensant
à 
passage
ou encor
à l'insaisissable
fin du
TEMPS
GO
vers 
l'inconscient
funeste
de l'agonie
des grandeurs
Quelques
exceptions
à la chandelle
éteinte
où 100 
oiseaux
l'air est devenu
irrespirable
de la maladie
humaine
et prétentieuse
disparaissant
fantôme
en l'illusion
bien vu
une fois pour
toute



... .avant pendant
après
la splendeur
rejoignant
les deux
visible et l'invisible
sans cesse
l'effroi
du début
de toutes les fins
où pour tout dire
les chairs
d'agonies
pour le festin
de la fissure
dévorante
sang laisser passée
voir
Caraco
ou encor
par la
Nature
natures
machine à reproduire
la métamorphose
du
TOUT
en
SOMME
jusqu'à disparition
des stocks
et de la fin
de la
DISPARITION
d'après
votre enfer
me ment
et bon
pour la création
de la forme
enjeu
des résidus
passé daté
sur l'histoire
bégayée
de la soupière
en
SOMME
de composition
toute artistique
d'avec les ptits
en sommes
les grands
tarlàs
des suiveux
de la patente
à gosse
au besoin de la fuite
furieuse
au
MUR
BOOM
suicid'air
de la 
GRANDE
cosmoscibité
de l'univers
en tenant
LIEU
de
 l'ART
pour s'y faire
objet
de désir
que
D'ART
car en cela
la
VIE
s'y dévoile
en tant que
catastrophe
spatiale
picturale
dans l'interdit
de
VIVRE
où la
MORT
domine
et fait ce qu'elle veut
de la matière
à bougeotte
héraclitienne 
ou bien
mains à l'oeuvrage
posthumant
les entrailles
de la perception
intuitive
de la venue
chérie



ART
pour mourir
d'un trou l'autre
en pièces
moulues
des cendres
retournant
à la case
départ
où 
au tri du timbre
poste restante
d'ennuis
et des misères
à reprendre
depuis
le début
du
MONDE
à dessein
de la
VIVE MÉMOIRE
oublier
cela va de soi
à chacun
sa mort
ART
à l'OEUVRAGE
et c'
EST
énorme
vu les circonstance
à l'OEIL
donné
d'entrevoir
la grille
des bbq de la nuit
en plein jour




Antre-nous
le point à la ligne
visé
Sans dire
aucunement
fait de non dit
ou encor
direction
NULPART
nommons ainsi
le désir
main tenu
secret 
perçu
de toujours
laissant entendre
la perdition
et l'insensé
hors de 
TOUT
doute
qu'un 
NOUS
manque.

22 mai 2023

Traverse



Contre maîtrise
du
TOUT
cerné
et disparu
des fissures
métaphoriques
au sortir
du visuel
précisément
hors
l'emprise
de l'amante
en soi
'' Écrire c'est hurlé
sans bruit '' *
Munch
et
Vincent milles
autres
milliards
de
BOOM



De tenir
sur socle
la poussières
d'errances
pour en finir
le calcul
au cul
du culte
cultivé
de la couture
frisant la dentelle
tant aimé
de Louis
dort 
main tenant
la question
de 
William
après 
le Camp
de la femme
 en scène
prisant
le mentir
au mourir
de 
Céline
pour l'utopie
désenfourné
du four à gère
le
Monde
du fruit défendue
de la mise
bas


Et de la mer
fleuve
 se perdre
encor
en corps
 nos nuits
dévoilaient
la perdition
de ce
monde
où 
étranger
2
et quatre
OUI
c'EST
QUOI
c'était
NOUS
en pleine
lumière
séparés
la nuit
s'étain
en
 7


Cruauté
insensée
du cimetière
Saut
'' Le monde
moderne:
Une Atlantide
submergée
dans
 un dépotoir '' **
Enfin
après
TOUT
la sanctification
des farceurs
menant
l'étêtement
aux lambeaux
du silence
alors tant qu'un
dessin
point d'appuis
au final
au traits d'unions
l'histoire
jouée... .
NON!
La BEAUTÉ
s'enrageras
d'AMOUR
en
tombant
en sa
MORT




Duras *
Bloy **

Part À Dit


... .et de la mort
de Dürer
(Ici je suis un seigneur,
là-bas un parasite )
et ce qui va
attend
et de patience
en l'infini
donné
aux formes
multipliées
par la lumière
sur le coeur
attaché
à voir et comprendre
la mort
des sensations
de la
Nature
natures
s'évanouissant
disparaissant
à la
FIN
ne laissant
qu'un nid
accroché
au mur des murmures
d'ayant
eu lieu
d'un saccage
métamorphosant
l'ART
en esprit
trépassant
la sortie
au triage 
uni-vers
éternisant
la
BEAUTÉ
en 
PARADIS
de souffrances



Oui
tenant
la patte
ou le pied
du vivant
qu'en l'émotion
quadrillée
du compte
enfin
histoire
pour un conte
spéculant
sur l'infime
possibilité
dévoilant
 l'autre
en phase
terrifiante
l'AMOUR
Saïs
était
l'AMOUR
même
dévoilé



Et cette poursuite
infinie
de ce qui sait
 l'Attente
'' L'Attente n'attend rien '' *
et de la main
sang l'an de mains
que de veines
bleues
invisible chérie
et
encor
pour se 
VOIR
mourir
de
nos jeux
complices
Ô 
temps qu'on veut
PAS
à pas
pour
TOUS


Dedans
la
MORT
ou vif
dehors
ces visions
attroupées
au choix
des émotions
trillées
en plein
insaisissable
infini
TU
EST
ICI 
MÊME
d'AILLEURS
Antre-Nous