7 janv. 2023

Terre À Taire


Art
quelque chose
de moins
qu'au-delà
du bien-être
d'accumulations
pour un état
suivant
leurre
qu'il seras
suite à la fin 
de la lumière
sur le pourquoi
du monde
'' Toute théorie
est sèche,
et l'arbre précieux 
de la vie
est fleuri '' *
Et pourquoi insister
devant les faits
heideggériens
du politique
ayant de
Nature
natures
autant d'adeptes
multipliés
par le
UN
des uns
apprêtés
pour le sang dont
la terre à besoin
pour demeurer
BLEU
pas du tout
comme une orange
mais pour
l'Oeil
au
s'Oeil
antre
d'Oeil
sur le cercl'Oeil
de l'Amouir
dessinant
des tropiques
un peu moins tristes
que les
 serfs 
aux milliards
 créés
pour la monnaies 
d'en
SOMME
représentés
par lui le même
UN
des uns
disparaissant
à vue
 d'Oeil


Répits
d'instants
funestes
dramaticules
délestages
synapsiens
des corps
aux décors
sous la terreur
idiote
des meneurs
menés
par la bite
aux spermes
 de guerre
Tribale
incandescence
des arrivages
pour mourir
'' Un nom n'est que bruit
et fumée... '' *
Le reste
est de
 l'Amour
fortifié
main tenant
le désir
amoureux
enluminé
des beautés
effrayantes ou pas
de ce qui 
EST
resteras
après
TOUT
la condition
que 
d'Être



Art
cet chose
Antre
 toutes
et imperceptiblement
+ que
 secrétant
sans cesse
la Vérité
du passage
sur la terre
des vivances
essaimant
la lumière
accrochant
l'abîme
au moment
du désastre
au jour
du
Naître
ICI MÊME
secrètement
et sans savoir
main tenue
tel... .



Goethe *

 

Au Temps


L'Art
n'est pas une bonne
nouvelle
la Beauté
éternelle
n'étant que pour
les yeux
de la conscience
demain
à l'Oeuvrage
Sachant
les dieux 
sévères 
et la géométrie
limitant
les folies
suicidaires
de la matière
des faits
défaisant sans fin
la
 JOIE
de la part
musicale
sur la portée
du temps
de la fin
d'un monde
Enfin
quoi... .
'' La beauté
se meurt
et c'est comme ça
qu'on sait
 que ça existe '' *
et de la peau aussi
au tant 
dire 
l'urgence
que de perdre
l'Amour
c'est déjà
la
MORT
recouvrant
la vie
et sa création
éphémère
éternelle
d'avoir été
à la mesure
du meilleur
'' La politique
s'oppose
à la morale,
comme la philosophie 
à la naïveté '' *
Demeure
le manque de tendre
toujours
d'où la douleur
de résistance
à la misère
de ce que l'on aime!
Temps moments
d'atroce
solitude
sachant bien
que
SEUL



Au vieil âge
quand la théorie
trouve sa vérité
trouve sa juste
conséquence
...'' avec l'âge
une vision
plus complète
des choses ...'' **
Certain citant 
ce messieurs 
mais pas
 pour le chemin
unique
de l'Art
LÀ 
c'EST
plus
Globale 
universelle
et plus mystérieux
la
VIE
que de l'âge
la distraction 
est plus insidieuse
mais plus réel
qu'avant
quand la jeunesse
ne sais pas 
qu'elle ne sait pas
la vieillesse
elle croit le savoir?
En fait de quoi s'agit-il...
et bien 
RIEN
Dans quelques temps
le temps
seras moins que moins
que brumes
et que
TOUT
en lui 
le MÊME
UN
de
RIEN
le nom les traits
du corps
RIEN
et 100milliards 
d'étoiles
brilleront
et quoi???
RIEN



Dans la période
couillarde
de Cézanne
le pinceau
ayant passé
au-delà
des reproductions
d'énergies
stables
va se mettre
en quête
des géométries
de créations
de l'Homme
( notre père
à tous)
et de la victoire
du peintre
sur la montagne
éruptant
la force
d'en sortir
la Beauté
se donnant à voir
à l'appelé
qu'il est devenu
en sa terre
 promise
L'Art de Malevitch
entre bien d'autres 
blanc sur blanc
noir noir
et la ligne
vers le désir
de béatitude
accompli
au bout
du chemin
de l'union
du ciel et de la terre
tout en grâce
devenu
pour 
le russe ukrainien
n'ayant été
que peintre
lui aussi
vers le 
NOIR
de toutes
les couleurs


Levinas *
Cioran **

3 janv. 2023

Bogue


Des corpuscules
en fait
madame chose
et du pas sage
l'envolée
des mouches noires
au dédale
du monde
guerrier
des morts
crées d'idées
de lui le même
UN
des uns
Boom
en tous
exaucés
du malheur
posthistoire
après
TOUT
en fin
inutile
le mot
qu'un 
Verbe
main tenant
pour une autre
fois
alors... .
en grief
 d'amour
reconnaissant
l'ampleur
de la catastrophe
du jour
et ses nuits
pareilles
aux milles milliards
noircis
des chairs roussies
du
Camp 
des uns
du
UN
en 
qu'est-ce que
 l'Art
en temps
 de Disparition
du
 MÊME
'' L'essence de l'art
est de faire advenir
la vérité de ce qui
est '' *
Du tragique
 échoit
de faire dire
que le 
Lieu
couvre
la voie
restante
lorsque
ivre
elle sonnera
 de joie
 le bleu du ciel
s'ouvrant
devant
la part
déçue
des ensevelis
de Nature
natures
comblé 
de la beauté
d'Effroi
en l'aube nouvelle
au sol
par ses promesses
amoureuses
Mais... . 
enfin quoi?
Mortvie
la mort vie
elle vie
instant de lumière
fragile
et trop-tard
Tantôt la mort
en auras fait
de la raison
justifiant
 la Guerre
d'idées 
déraisonnables
toutes folles
car la seul idée qui vaille
est celle 
de la 
MORT
(Mourir ou mentir)
dit l f Céline
et puis les bols de riz
changé en roublards
pour quelques 
piastres
 de rock and drôles
pawpaw t'est mort
et vieilli
de la banque route
capitonnée
de spermes de guerres
pas poétique
 pour 5 sous
Allons
Nulpart
ne pas savoir
le
UN
des uns?



ART
des disparitions
d'en 
Somme
apocalyptique
EFFROI
la laideur de ce 
MONDE
immonde
immondices
et en toute
conscience
Pas certain
du nombre
undeuxtrois
4
et la 
RESTANTE
signature
du divin
SEUL


De l'incompréhensible
à 
VOIR
d'en avançant
vers l'abîme
ART
sous le boisseau
d'HORREUR
la flèche
du canard
passant outre
aux dantesques
présages
savant de l'air
irrespirable
de la violence
Nature
natures
suicidaires
et comateuse
des fins dernières
Le nombre
est effarent
en rafales
de choses mortes
insipides
mortelles
infamies
sans résistances
devant la
MORT
Une montée de fureur
réel
et de noire fumée
de désastres
préparés
du
UN
des uns
mais
de 
Nature
natures
en vain
car le chantier
est 
tout
poétique
Vivre
et mourir
de vivre
après 
TOUT
de la grande soupe
mythique
dédoublant
à volonté
les meurtres
de guerres
qu' aussitôt
et qu'importe
la commande
elle 
VIENT
toujours
du plus
Grand
que 
TOUT
alors... .


Pas... . 
Que de l'impossible
antre-nous
posthumes
laissant 
et pas d'autre
(préfère ne pas)
Temps
fou
éconduit
de raison
vers le destin
en rafales
de terreurs
ayant congédié
la
BEAUTÉ
dostoïevskienne
du sauver
Enfin
qu'est-ce que 
l'ART
par tant
de faux espoirs
et d'accrochages
à l'indifférence
d'AIMER


Moments... .
pas un... .
SILENCE

d'OÙ
vers

Sous peu
sans
mot
qu'un
VERBE
qui 
VA
et s'éteint
mais 
à été
ne peut avoir
été
ce petit 
dessin
a la limite
d'être ou pas
''( Lhomme)...l'impossible
est sa sa seule 
mesure ,,,'' **
Et... .
bogue l'éternel
...'' mais l'absence
n'est pas le repos... **
Le vent
devant
le levant
de la fin
sans horloge
pour en marquer
la trace
de
RIEN



Heidegger *
Bataille **

Attente


...de ce qui
 embrasse
le souffle
éphémère
luciole
et 
'' Il arrive des choses
que l'on comprend
qu'ensuite
petit à petit,
avec le temps '' *
Et qu'importe
la fratrie
monétarisée
de la faim
de la fin
et des mensonges
connexes
aux érections
de spermes de guerres
en prière 
d'insérer
l'incinération
et qu'on en parle plus
Et le reste
et bien
dire 
RIEN
cela devrait
suffire
Attendre
le nouveau 
mensonge
d'en 
Somme
et son gros lot
quotidien
de faire semblant
qu'être ou pas
est politique
social... .
Alors 
se défixé
le parti
pris 
s'attacher
au poteau
d'Ulysse
par la margoulette
refaite 
recomposée
d'infini
torturé
du
PRÉSENT
par le
MÊME
passage
avec le parti pris
des choses
communes
en masses
d'insignifiances
de tortures
schopenhaueriennes 
et de la
MORT
en rafale
fatale
de la 
FIN
de l'histoire
sur le clavier
d'ATTENTE
de la décomposition
en 
CsO 
pour une autre fois
'' Les dictatures
fomentent
l'oppression,
la servilité 
et la cruauté;
mais le plus abominable
est qu'elles fomentent
l'idiotie '' *
Ce qui advient
des enfants
des fleurs
des bêtes
c'est du 
TOUT
qu'il s'agit
des craches en l'air
en font des martyres
pour en fin
le
UN
des uns
rendant le
MÊME



Sous la marmite
du nombre
déborde
la chaude pluie
des résurrections
éternelles
et vers les hauteurs
la mise à table
de ce qui seras
le festin des dieux
  Cruauté
infini
Mais 
ce qui vient
ressemble
au 
TRI
de la
 FIN
imperceptiblement
DISPARUE


Art
seul
des ancêtres
au point
d'OUBLI
attente
cela arrive
en forme
de retrouvailles
devant 
l'Astre
éclatant
 de distance
vertigineuse
présage
du 
Saint-Vide
SILENCE
et sa sapience


Borges*