3 janv. 2023

Bogue


Des corpuscules
en fait
madame chose
et du pas sage
l'envolée
des mouches noires
au dédale
du monde
guerrier
des morts
crées d'idées
de lui le même
UN
des uns
Boom
en tous
exaucés
du malheur
posthistoire
après
TOUT
en fin
inutile
le mot
qu'un 
Verbe
main tenant
pour une autre
fois
alors... .
en grief
 d'amour
reconnaissant
l'ampleur
de la catastrophe
du jour
et ses nuits
pareilles
aux milles milliards
noircis
des chairs roussies
du
Camp 
des uns
du
UN
en 
qu'est-ce que
 l'Art
en temps
 de Disparition
du
 MÊME
'' L'essence de l'art
est de faire advenir
la vérité de ce qui
est '' *
Du tragique
 échoit
de faire dire
que le 
Lieu
couvre
la voie
restante
lorsque
ivre
elle sonnera
 de joie
 le bleu du ciel
s'ouvrant
devant
la part
déçue
des ensevelis
de Nature
natures
comblé 
de la beauté
d'Effroi
en l'aube nouvelle
au sol
par ses promesses
amoureuses
Mais... . 
enfin quoi?
Mortvie
la mort vie
elle vie
instant de lumière
fragile
et trop-tard
Tantôt la mort
en auras fait
de la raison
justifiant
 la Guerre
d'idées 
déraisonnables
toutes folles
car la seul idée qui vaille
est celle 
de la 
MORT
(Mourir ou mentir)
dit l f Céline
et puis les bols de riz
changé en roublards
pour quelques 
piastres
 de rock and drôles
pawpaw t'est mort
et vieilli
de la banque route
capitonnée
de spermes de guerres
pas poétique
 pour 5 sous
Allons
Nulpart
ne pas savoir
le
UN
des uns?



ART
des disparitions
d'en 
Somme
apocalyptique
EFFROI
la laideur de ce 
MONDE
immonde
immondices
et en toute
conscience
Pas certain
du nombre
undeuxtrois
4
et la 
RESTANTE
signature
du divin
SEUL


De l'incompréhensible
à 
VOIR
d'en avançant
vers l'abîme
ART
sous le boisseau
d'HORREUR
la flèche
du canard
passant outre
aux dantesques
présages
savant de l'air
irrespirable
de la violence
Nature
natures
suicidaires
et comateuse
des fins dernières
Le nombre
est effarent
en rafales
de choses mortes
insipides
mortelles
infamies
sans résistances
devant la
MORT
Une montée de fureur
réel
et de noire fumée
de désastres
préparés
du
UN
des uns
mais
de 
Nature
natures
en vain
car le chantier
est 
tout
poétique
Vivre
et mourir
de vivre
après 
TOUT
de la grande soupe
mythique
dédoublant
à volonté
les meurtres
de guerres
qu' aussitôt
et qu'importe
la commande
elle 
VIENT
toujours
du plus
Grand
que 
TOUT
alors... .


Pas... . 
Que de l'impossible
antre-nous
posthumes
laissant 
et pas d'autre
(préfère ne pas)
Temps
fou
éconduit
de raison
vers le destin
en rafales
de terreurs
ayant congédié
la
BEAUTÉ
dostoïevskienne
du sauver
Enfin
qu'est-ce que 
l'ART
par tant
de faux espoirs
et d'accrochages
à l'indifférence
d'AIMER


Moments... .
pas un... .
SILENCE

d'OÙ
vers

Sous peu
sans
mot
qu'un
VERBE
qui 
VA
et s'éteint
mais 
à été
ne peut avoir
été
ce petit 
dessin
a la limite
d'être ou pas
''( Lhomme)...l'impossible
est sa sa seule 
mesure ,,,'' **
Et... .
bogue l'éternel
...'' mais l'absence
n'est pas le repos... **
Le vent
devant
le levant
de la fin
sans horloge
pour en marquer
la trace
de
RIEN



Heidegger *
Bataille **

Attente


...de ce qui
 embrasse
le souffle
éphémère
luciole
et 
'' Il arrive des choses
que l'on comprend
qu'ensuite
petit à petit,
avec le temps '' *
Et qu'importe
la fratrie
monétarisée
de la faim
de la fin
et des mensonges
connexes
aux érections
de spermes de guerres
en prière 
d'insérer
l'incinération
et qu'on en parle plus
Et le reste
et bien
dire 
RIEN
cela devrait
suffire
Attendre
le nouveau 
mensonge
d'en 
Somme
et son gros lot
quotidien
de faire semblant
qu'être ou pas
est politique
social... .
Alors 
se défixé
le parti
pris 
s'attacher
au poteau
d'Ulysse
par la margoulette
refaite 
recomposée
d'infini
torturé
du
PRÉSENT
par le
MÊME
passage
avec le parti pris
des choses
communes
en masses
d'insignifiances
de tortures
schopenhaueriennes 
et de la
MORT
en rafale
fatale
de la 
FIN
de l'histoire
sur le clavier
d'ATTENTE
de la décomposition
en 
CsO 
pour une autre fois
'' Les dictatures
fomentent
l'oppression,
la servilité 
et la cruauté;
mais le plus abominable
est qu'elles fomentent
l'idiotie '' *
Ce qui advient
des enfants
des fleurs
des bêtes
c'est du 
TOUT
qu'il s'agit
des craches en l'air
en font des martyres
pour en fin
le
UN
des uns
rendant le
MÊME



Sous la marmite
du nombre
déborde
la chaude pluie
des résurrections
éternelles
et vers les hauteurs
la mise à table
de ce qui seras
le festin des dieux
  Cruauté
infini
Mais 
ce qui vient
ressemble
au 
TRI
de la
 FIN
imperceptiblement
DISPARUE


Art
seul
des ancêtres
au point
d'OUBLI
attente
cela arrive
en forme
de retrouvailles
devant 
l'Astre
éclatant
 de distance
vertigineuse
présage
du 
Saint-Vide
SILENCE
et sa sapience


Borges*

30 déc. 2022

Coeur Équarri



Quadrille
luciférien
Des au-dessus
machines 
à morts
triés
des maux
du manipulé
manie pullulant
l'horreur
de
Nature
natures
en
UN
 des uns
par l'abysse
de la froideur
'' La forme
n'est souvent
qu'une mise
en scène
qui déforme '' *
et le coeur
lui aussi
n'est pas 
la mesure
de la vérité
dont personne
ne sait trop
spinoziste
ce qu'il en relève
de 
l'Ange
ou du diable
sur le tas
d'immondices
humaines
et trop
d'assurances
justifiant
la Fin 
du monde
par le droit de paroles
ou personne
ne parle
assassiné
par bébelles
interposées
de la mise
errante
que d'être



Douleurs
du monde
de la lumière
la même
l'humaine
la difficile
misère
pas l'autre
lui 
enfin quoi... .
Pas 
d'élévation
absolue
comprendre
dans un corps
esprit
à 
contre
MORT
et des peurs
au mur
des fusillés
ou en tas
 des tranchées
bulldozers
des gens
certains
des bleus
sur la quai
des brumes 
de tous
en fin
le mur
des murmures
de tous ceux 
du 
Silence
après Guerre
et des aidants quoi
au milieu
de ce qui de poésie
dit le
 Vivre
Car sans poésie
pas de proématique
et de ce qui se dit vie... .
Alors la
GUERRE
Nature
natures
d'en 
SOMME
et en sus 
la vrai vie
secrète ou pas
en prime verte
la
MORT


Art 
de 
VOIR
et
RIEN
d'autre
adn ou encor
 trace
invisiblement
visible
des silences
de chairs
en temps
de recomposition
du chant libre
sur la portée
du savoir
sanctifié
du
COEUR
 APRÈS
TOUT
du désert
au nid
des innocents
éludés
graciés
du + Grand
que
TOUT
après 
TRI



'' Si les regards
pouvaient
enfanter
ou tuer, les rues
seraient remplies 
de femmes enceintes
et jonchées
 de cadavres'' **
et du reste
fixé 
d'en 
Somme
ou de poésie
en mots
des maux
d'OÙ
vers
encor
en
VÉRITÉ
après
ces petits bouts
d'Éternité
Ô
humain
de
RIEN
du
TOUT
sous la 
DISPARITION
qu'est-ce qui reste
de ces bruissements
d'errances
énervés
feux follets
des prétentions
savantes ou pas
en la soupe 
céleste
et le
 Grand Chant
Des Étoiles


Léautaud *
Valéry **

Avec Ou Pas



'' Car le beau
 n'est que le commencement
du terrible '' *

Diversions
distractions
des coeurs
car la
MORT
effraie
porte l'écrasement
en terre
avant qu'être
de là 
la main à l'épée
de Damoclès
en frappe
de lumière
Lui pas lui
l'autre
enfin
tous les autres
pas eux
EUX TOUS



L'insensé
du 
et de la raison
déraisonnable
du
TOUT
au Jeu 
de l'enjouant
du sujet
au fond du trou
'' Malheureux 
peut-être
l'homme,
mais heureux 
que le désir
déchire '' **
Ronron 
la vulgate
au pays 
de la contradiction
paradoxale
de la
PRÉSENCE
ICI MÊME
écrivant 
le résiduel
de
RIEN
se terre
en faisant bouger
la langue
en 
TOUT
 ses inattendus
divin



'' Comme il serait 
préférable
que nous comprenions
que nous sommes 
solitude'' **

Gel et la
 MORT
du
 MONDE
rode
et des tas de chairs
délicatisées
du système
où la
DISPARITION
sous formes
multipliés
du
 MÊME
UN
des uns
en 
TOUT
sous le libre
Souffle Univers



Rilke *
Baudelaire **