AIME
et
c'EST
TOUT
le reste
est tartuferies
Dessins
enfin
sachant
Néant
la prétention
de lui
le MÊME
UN
Art
peuplé
de n'importe
et la façon
le temps
presse
alors
la lumière
passe
et en suivre
l'appel
Instants
d'antre
le corps
se créant
la brèche
d'en faire
au feu
glacial
des faux airs
Contradictions
opinions
au Néant
des maux
à mots
Joie
l'agent secret
en Enfer
Petit tout petit
tranquille
aussi ô
que là
haut
près
de l'avale
TOUT
Disparition
en Somme
dès le début
du monde
Monde
lequel
sur socle
et
poussières
en la brousse
univers
Consumation
des énergies
faux cils
'' La joie
est le passage
de l'homme...''
à la plus belle
de l'histoire
le
Conte
des mots
mordant l'errance
en vert et vers
des mains
sur la parois
du coeur
Art de quoi
s'agit-il
De la trace
et du signe
et de la forme
manière
de faire voir
tenant
Conte
de la vive mémoire
et de la mémoire
ancestrale
la
MÊME
au
début
qu'à la fin
suivant leurre
qu'il
EST
Et qui dit quoi
sur
le geste
assassin
au levé
de l'Axe-D 'Abraham
et
Art
antre
nous
ce peuple
qui manque
Enfin... .
À dessin
Spinoza *
Où et depuis
quand?
Faire
fer
refaire
l'emmieuter
HAUT
lieu
d'empirer
le moyeux
de l'air
irrespirable
de la dégoutation
de l'eau
préférant
la main mise
sur les cso
corps
y j
la verticale
tenant la voûte
d'envoûtement
hors
le couloir
de la
MORT
L'Inutile
Beauté
in not serviam
SEUL
en
joie
toute
de discrétion
et
d'invisibilité
TOUT
en... .
JOIE
terrible
et
tenant
en point
d'appuis
'' Rien ne sert
de mourir
il faut
disparaître '' *
Il y à
chez Goya
la
(JOIE)
de l'instinct
dicté
par la raison
qui n'est concernée
que par
la lumière
civilisant
la sauvagerie
de peindre
et celle
de Goethe
et le si peu
le pas de couleur
d'aujourd'hui
disparue
en son
TOUT
Ça
Et n'est engagé
que l'Art
persistant
en sa
Vérité
d'à part être
d'apparition
dans la
Disparition
insensée
de l'emballement
pour
le tombeau
de la marre
aux wawarons
des natures
Nature
Art
enfin quoi... .
Cette lucidité
ludique
en
Conte
tenant
au seuil
le vertige
des choses
troublantes
depuis que la nuit
contrebalance
le jour
et passe
par la grisaille
redondante
fixée
en son pli
quotidien
de la misère
absente
au fond
de son cri
Des choses
où
ICI
MÊME
et
SEUL
antre nous
l'affect
tentant
l'impossible
guérison
d'amélioré
le passage
de l'insignifiance
vers
la Beauté
main tenue
par la
VÉRITÉ
contredite
naturellement
Baudrillard *
L'imprévisible
l'inattendu
l'effroi
(Les bourreaux
ne parle pas
n'ont pas
de paroles)
dixit Litell
sont indemne
de souffrances
dit et cri
signe
fait des mots
d'à larmes
sur le peloton
des jours
exécutant
par condescendance
tout ce qui palpite
Écrire dessiner
malgré
et pour cause
tenir
contre
la laideur
du commun
s'inculquant
populaire
niais que d'autre
rabaissé
au rang
des pâquerettes
et consternation
du pareil
au même
UN
des uns
sans
Dieu
aux maîtres
invisibilisés
du
CHIFFRE
Pour écrire
un mot
prête moi ta misère
Tête de Cheval
Sur Colonne
( Plâtre De Paris) 2009
Reprendre
sans partir
du pli
de ce qu'exige
l'histoire
du dire
mémorisé
sans rire
Et jusqu'à
l'épuisement
des stocks
de la mémoire
politique
des choses utiles
utilisées
sur le champ
des guerres
de lui
le
MÊME
UN
des uns
déguisé
en patrie
farcie
à la bombe
d'être né
pour ça
le principe de plaisir
téléguidé
par m mde
les milles pattes
en terre
Scripter
la main
entourée
du chaos monde
l'Art
éructant
de la
Beauté
transcendée
par dieu sait quoi
de Vivance
donnée
Enfin
quoi à thé
café
avec la liste
debout
de but en blanc
''Tout sans Dieu
est néant;
et Dieu
n'est que le néant
suprême '' *
Alors l'Art
embellie
(néant ou Dieu)
et ouvre la porte
au possiblement
AUTRE
( ...des paroles
de la parole)
Guerne
Tenir
TÊTE
à la faille
d'appel
aux larmes
ne pas succomber
aux arts
décorés
du colonel
gloriole
et passer
le maux
attendries
des mouches noires
par essentiel
retour
de la Joie
à
RIEN
et tout autour
le gouffre
faisant croire
à quelque
chose
plutôt
que pas
d'Amouir
La vérité
innommable
mesure
de Vivance
Amas trace
jardinée
d'iniquités
pour les dcd
et disquette
de la biomasse
apophtegme
au festival
des cases
des parts
imposables
par droit
acquis
le ptit coeur
après la nuit
et se seras
TOUT
D'Eux
3
en cinq
antre
NOUS
imaginés
tranquilles
en pleins
FEU
du règne
des moins
que
TOUT
de passage
sur l'astre
décoiffé
de sa jolie
figure toi
mon
amour
creusant sous-sol
avant
l'oubli
de
TOUT
sur
TOUT
in memoriam
d'en avant
nos gens
ChosArt
et petits
instants
de passe
tant à faire
pour
blottir
le manque de tendre
à l'heure
de la
MORT
Cioran *
L'Ancre
au roc
du dessus
dessous
en forme
informée
du lieu
où les abattages
se font
malgré
TOUT
l'absurde
et un verbe
à dire
sourdement
la stragédie
immonde
d'Être
où
Pas
là au moment
de la bitte
siffle
la fin
du party
vers autre chose
E fin
quoi pour
faire
semblable
à l'irlandais
ou encor
le fil filant
sur le dos
d'un canard
fléché
mourant
d'Art
en ayant décidé
ainsi
par amouir
en la nuit
qui se défait
du jours
de l'an
posthume
Des faits
défaits
pour madame
cause
finissant
sa fuite
innée
pour ça
ou va le diable
ce vertige
des morts
LÀ
JUSTE
LÀ
De travers
et résidus
d'en
Somme
Tantôt
sommé
du sommet
et du
Rat
les planques
le temps
du sablier
s'en seras fait
du désert des coeurs
asséchés
de la Beauté
du monde
amoureux
pour de vrai
début pour une fois
l'enfance
retrouvée
rêvant
de l'émotion
épiphanique
sans justification
improvisée
d'Amour
Vert vers
le plein
vide
en descente
dans la grande
soupe
Partir
et
c'EST
TOUT
paix sous
la
violence
des corps
aux pieds
et de quelques autres
endroits
du cerveau
'' Je suis terrorisé
à l'idée de réussir
quelque chose '' *
posthume
postulant
pestilentiel
ciel
passé date
et de l'histoire
infinie
d'éternel
homme
sans nativité
n'entretenant
pas grand chose
avec l'idée
acquise
de traverser
l'atlantique à la nage
et d'en finir
le plus
rapidement possible
avec
TOUT
mais
d'en dessiner
les contours
avec les maux
à mots
...''à lui seul
est plusieurs
et nombreux'' **
Et de la redite
en
Somme
bonne
à la justification
des boucs
à bouc
et du passage
fugitif
à l'Art
pour
TOUT
et un peu +
Walser *
Pessoa *