5 juil. 2022

Pour Tout


En fait
des âges
traversés
d'effrois
retenus
désencombrés
des morts
rendues
à la pompe
à essence
bagués
sertis d'or
et de facéties
dans une tasse
de thé
en poche plastifié
signé
du Comte
Isidore
du Marquis
assis dans l'escalier
spiralé
démontant
une à deux
trois
le UN
du
QUATRE
ART
et ce n'
EST
et c'
EST
TOUT



'' La vrai douleur
est incompatible
avec l'espoir '' *

Mirages
aux alouettes
et du champ 
 sillon
d'Amour
et de lumière
quand vient
l'enclume
de vrai vie
au peuple manquant
des vives mémoires
d'où la Nuit
d'offrande
univers
 jouvence aussi
 chemin
d'indicibles
venues
impossibles
Dès lors
tu passe
de
 LÀ
c'EST
de
exactement
pas ailleurs
ICI
MÊME



Des feuilles
en joies
funèbres
sachant bien
la cohorte
des mouches
des cigales
au désert
et des oasis
chéries
des îles
à Deleuze
enfin
le Seul un Dieu
en fuite
vers vert qu'importe
le ciel
l'Art étant
l'arc
au vent
défait 
de l'incontestable
Beauté
 d'ART
éternel
rose devant
c'est l'avis
des chants
célestes
en perditions
du nommé
qui vient
encor
autrement qu'être
incarcéré
de libre arbitre
et d'ignorance
Quelque chose
ne se dit pas
ne peut se dire
Alors oui le taire
entre-nous




Passe
attente
au regard
reconnaissant
du couloir
de la
MORT
Signe signes
a song
for a bird
au de-delà
du désir
bien vu
de Vinci
des cages 
matissiennes
d'albatros
au beau de l'air
et des ailes
d'Arles
et ses jaunes
rayés de la main
brisée 
pour tout
dire




Ducasse *

2 juil. 2022

Socle


Enfin quoi
un jeu sérieux
8 milliards
de belligérants
monde
et prier pour nous
pauvres...
Et que peut 
l'Art
après
Il était
est
 et avait été
seras
Et qu'est-ce que la main
portée
aux parois
pensées
d'offrandes
entre antre
ce qui se passe
et ce qui 
EST
pensé
Qu'est-ce qui meurt
contre volonté
se défait
d'Amour
de lumière
Art
sur la surface
de la face
lévinassienne
des faits
défaits
 rugissants
dantesque
nef des fous
 radeau
chiffré
marteau sans maître
et Music
de la grande soupe
darwinienne
au socle
des poussières
en tyrans
d'inquisiteurs
contrôlant
les coeurs endormis
de fatigues
...Mais Art
qu'en est-il
de l'audace
de la main
à l'autre...
Autre...
et quelque chose
de 
RIEN
perpétué
à l'Axe d'Abraham
et histoire
en conte
de
TOUT
Et l'effacement
la disparition
de quoi 
après l'assouvissement
du désir
des chairs 
matières
à esprit
illuminé
d'atomes
Est-ce homo
ou la conclusion
d'une technicalité
de vent mauvais
arrangé avec le gars
des vues
 Debord
réalisant
le jet du calmar
s'ancrant 
aux os
des haleines
cacosmiques 
cher à Breton
lors de son passage
dans la vallée
de Ducharme
où l'on cultive
les oignons
et les suites
d'opérations
instrumentées
prenant 
soin de faire l'école
dans son village
pour y débusquer
l'élan créateur
et ses reliefs
Ceci pourrait continuer
sans fin
sans savoir qu'il y a
eu 
FIN




De l'essentiel 
laisse en ciel
et de ce qui 
EST
'' Nous sommes
ce que nous aimons
Or nous aimons
ce qui n'est rien '' *
mais pour là
et pas pour 
ce que la tête
veux...
et laquelle
aujourd'hui
et moins ou plus
demain
en des moments donnés
ou pas du
TOUT
Empirisme
subjectivité
et les pièges
du déraisonnable
de la raison
d'État
et des chiffres
monstrueux
d'arrangements
avec le pire
en Somme
La lumière
au prix
du reste
le seul
car tout autour
c'est la 
MORT
et Dieu
et bien on à pas fini
d'en verbiller
à dessein
d'après 
TOUT



'' Je piétine
parmi
les images
tant de tableaux
tourbillonnent '' **

Pourtant 
ses délices
de pensées
fleurs bleus
d'anthropologue
de bien avant
ou encor
la vague d'Hokusai
et les décorums
de Delacroix
après
le Paradis
des couleurs
en suite... 
du vent 
camarade
aux parois
des morts non retenus
des abysses
( les dieux
sévères...)
C'EST
sans nom
insaisissable
le seuil
de l'approche
du s'Oeil



Veille
silhouettée
d'agonie
pour une frasque
prétentieuse
au feu
descendant
l'Art
jusqu'au
rupestre
et la première
roche
dans la machine
céleste
Et des chants
en musique
rythmés
d'oliviers
à l'oasis
du peuple manquant
ou encor
après le désert
et la fermeture
des lumières
jugée 
inapte
au corps
et à l'esprit
en fuite
depuis un moment
déjà



Feuilles en signes
au-delà
de l'ensablement
nietzschéen
et d'antithèse
de la contradiction
du paradoxe
doxa
au coeur
de la tourmente
Marguerite
du poète
de l'écrivaine
et des chants
du côté
gauche
droite en rond
de la mise
en Vie
du tableau
et qui n'échappe pas
au prix 
de la Beauté
du Monde



Jean de la Croix *
Ouellette **


...Sans Trop....


Et la peur
est venue
l'exil
de ce qui 
EST
aurait été
hors mais dans 
avec aussi
c'est l'invitation
trop belle
avec l'illusion
de la fente
de lumière
Ce n'était que
piège
ce qui ne peut
qu'arriver
pendant l'éternuité
avec 
Saïs




'' Socles Et Poussières'' *
( Acier soudé laqué) 
2008

Un arrêt du temps
 de la création
tranquille
mais par delà
à peu près 
TOUT
instants
pour une autre fois
ligaturé
en 
TOUT
ou pour 
RIEN
du
TOUT
perd 6 tant 
jusqu'au sept
un dimanche
après la lumière
d'éclat
après
même s'il
n'y en à plus




La persistance
de la Chose
et le danger
qui va avec
La stragédie
Pas un jour
sans elle
sachant bien
en rire
aussi
quand 
TOUT
repartiras
en
RIEN
des milliards
de 
TOUT
malgré 
et 
AVEC
quoi?
Spinoza
en guise
de pli
Papiers
feuillages
déforestations
engourdies
Évanouissement
au nombre
imposables
pépiant 
dessous les pieds
en peaux bottes 
et spermes de guerres
du plus que lui
insistant 
enfonçant le clou
de la soirée
 à roder ses zzzz
en fin de maux
 attachent 
son lacet
avant de sortir
voir ailleurs
 s'il y est




Présent
du passé
qui n'oubli pas
de vous manger
dans le futur
composté
quand il n'y auras
plus de plus 
que quoi quo qu u
de l'arme
du crime
de l'art en larmes
de vos ruses
estropiées
de la peau aussi
que la poésie
en proématique
( ce pourrait aussi
être criématique)
et cri
à dessein
sans motif
et sans mot va sans
dire...
en cette blancheur
chaotique
monde
de l'autre après
sans fin
anonyme
et indicible



Lavoie *



 

30 juin 2022

Soi Et Cri


Mais de RIEN
c'est si peu
de quoi en fait
De cette façon
au moins
y tenter d'y voir
en
SOLO
une composition
des réminiscences
d'enfances
des trahisons
que mères
et pères
mer terre
pour des épaves
ou des paquebots
tous à l'épreuve
de ce que l'on 
considère la vie 
qui est
cette initiatique
au fond
la vérité 
en soi
L'Art
n'étant en vrai
que par des regards
accaparent
TOUT
distrayant
de l'essentiel
la splendeur
du retour 
sur ce qui nous
fait naître
au jour
de pleine lumière
aux ressenties 
des couleurs
et des natures
Nature
en des mises
 au tombeau
d'Adolf
éteint
de la pierre
atomique
suicidaire du christ
et des fourbes
à sa suite
Bref
après
et bien c'était
TOUT
RIEN
une histoire
en l'Oubli
définitif
des adeptes
en milliards
de sautes 
moutons
lemmings
d'au-delà
pour en finir
avec la
Beauté
après 
TOUT
du dessin
de la grande
Disparition
des miroirs
cher à Léo
et d'à chacun
 sa mort



Et pas un jour
sans la thanatologie
des assiettes
d'air 
et des mouches
sous les décombres
d'un ciel
d'enfin
l'Amour
et des solitudes
à monnaies
des posthumes
( l'incarcération
''psychologique''
de la mémoire)
Dantec
de ce qui se propulse
et veux sortir
en sortir
du chiasme
et du malheur de vivre
en dessous
 du dessous
 de nos morts
ressusciter
de la niaiserie
des mises en scènes
table à déféquer
des misères noirs
en la loi
des 100 mrcx
perd gagne
en fin




Des fois
en froids
devant soi
et pour leurre
ayant vu l'heure
passé date
le tri 
pas l'otarie
l'autre à rie
loterie
 en jeu
calculé
d'un enfer
fermé sur lui
de magnifiques
peintures
peintes
par Kasimir
noircie
des politiques
esthétiques
là où y à pas
Pas du 
TOUT
RIEN
et en trait d'union
le vide au pourtour
des idées
sur ce qui
EST
seras
la fin
des questions
sur le présent
du 
PRÉSENT
en récompense
des services rendus
à la vie
donné
au moment
du début de la fin
des éternités
D'OÙ
vers 



Coupable
et des ssssss
et d'en Somme
qui veux faire l'ange
l'en faire
en forme de tirelire
de temps mort
écoutant
entendant
t'entend?
Bruit qui va finir
et ce seul
oui qui est-il vraiment
supportant
ce lui qui pour
survivre
Non enfin
pas drôle
il faut en rire
des mots de silences
au
SILENCE
d'un levé
de lumière
post nihilisme
d'âmes à bonbons
parce que les fleurs
c'est...
Sonnez les matines
Jacques
transfiguré
des quêtes
aux mortes saisons
des mémoires
Apocalyptiques
du
VERBE
monde