6 mai 2022

Par A Doxa


Portrait 
d'Innocent 10
en penser
exactement 
comme des mains
clouées 
à la feuille
en signes
Innocents
des chairs
il faut croire
aux diamants
l'or
et l'on sent
l'odeur
des viandes brûlés
des dents 
de carnages
au st siège
de derrière
chez-nous
et des peanuts
au zoo
des bombes
et d'infames
meneurs
pour le suicide
du christ
et la perte
 des auréoles
de 
Benjamin



Résiduel
 Ce qu'il y a de plus
réel
pour moi,
ce sont les illusions
que je crée
avec ma peinture,
le reste est un sable
mouvant '' *
et de fait
de l'os à l'talon
aux chevaux
de Degas
aux taureaux 
de Goya
du Don Quichotte
de Daumier
et puis ça dit
pour dire
ce qui ce dit
diras
et puis ce seras
TOUT



De là
et après
on ne diras plus
qu'un regard
attiré
vers on ne sait trop?
Autres envoûtements
 Aphasie
enfin
Rien ne se dit de 
RIEN
Et qu'est-ce qu'il croit
le compte goutte
du temps alloué
imposé
des chromosomes
des idées incluses
infusé
de nouveaux nés
1 deux UN deux 3
par quatre et mille
la terre entière
de sacs verts
au festif de l'énergie
et l'idée d'une énergie
de la part maudite
de George
là où s'envolent
les signes
d'élévations
religieuses
Mais l'Art
qui se joue
du souffle
de la figuration
du donné
en temps des seuils
et des atteintes
à la réalité
des tous autours
belliqueux
assoiffés
d'affres et de misères
lavés 
de 
Nature natures
et des tas d'anges innocents
offert au plus offrant
Sang d'Art
sans tous
lui aussi
mais sans la lumière
promis au noir
 voir
l'élévation
Art de la captation
des cerveaux
pour homme seul
vers les clartés
nouvelles 
et d'embellies
'' Dieu, cela signifie
qu'il n'y a rien 
d'impossible '' **
Pinceau crayon
cerveau
sismographe
d'éternité
en la danse
des morts
'' Voir de mes yeux
la Fleur Bleu...'' ***
de
 LÀ
 la Naïve
 présence
au Monde
par delà
la sapience
paradoxale
d'en avançant
(l'horreur et l'effroi)
à la douce ferveur
d'apaisement
dedans dehors
 de partout
au moment
de l'Attente
sur le socle
de l'Art
d'en mourir




Delacroix *
Chestov **
Novalis ***

30 avr. 2022

Fraie



D'une fatigue
d'émerveillement
et des éclats
dictatoriaux
des amens
à renaissances
infinies
du temps qu'il fait
sur l'esprit
infantile
des menants menés
maîtres
des leurres
Et des fleurs
de lamentations
au désert
des monts arrasés
gravois 
d'écomomies
à criquets
Alors et bien
l'émotion
en corps d'aimer
par petits dessins
entre d'antre
et d'en dessous
des arcs-boutants 
en vent 
des sangs chauds
des fumiers
fleuries
de couleur des désirs
Attendre
écoutant
la beauté
qui doit sauver
le monde
 Des espaces
aux seuils
d'infimes
embellies
d'aile de l'Ange
d'espoir
(ce beau mensonge
de la vie)
Steiner
Art tenant 
l'impossible
possible
en vivance
de lumière
au noir
des fanatismes
insaisissables
part d'Effroi
diversions
de vents mauvais
Et du mensonge
vrai des amours
infinis
de l'âme
Rimbaud
et des caresses
aux plus jamais
la mort
aux enfants données
du non sens
Petits dessins
en formes
de théorèmes
ou encor
mathématique
des ruptures
d'Attente
passe à l'Acte
hybride
de ce moment
figural
( Figure toi
mon Amour)
et de là
Memoriam
aux élévactions
des couleurs
de l'au-delà
d'ICI
MÊME
toujours
triangulé
d'esprit de bottines
d'esprits libres
en voyant 
là main tenant
des oiseaux
en nuées
de présages
insistance
post inattendu
des morts
Dessiner
dans les restitutions
des autres 
après nous
et des mots
d'insignifiances
en l'éclat 
d'éblouissement
blanc sur blanc
Kasimir
ou 
Maurice
des retours
ou siffle les dictats
de la peur
camusienne
ou du suicide
du christ
à la fin
en son Dieu
devenu éternité
du voyage
et de la conclusion
du signe
'' Le signe est une fraction
qui ne s'ouvre jamais
que sur le visage  
d'un autre signe '' *
et  oui
OUI
c'EST
contre sans savoir
des pouvoirs
bien ou mal
sur le le règne
des matières naïves
et pleines
de grâces
et d'insensés
poussières
d'errances
en prisme
univers
Après
balbutiements
ratatinés
des mémoires
futiles
en faits
défaits
des faits
de madame
la Marquise
valsant sur un air
de Chostakovitch
En Fait
c'EST
la mathématique
de l'Ange
chair à Paul
et
Walter



Crissement de maux
et des échos
bruissements
d'intangibles
avenues
chutttt....
et Malbroute
le brûlement
du souffre
lucide
de l'ire
d'instants
Samuel
Naïveté céleste
pour ne pas dire
le Bleu
du ciel
Cantor
encor que
la liberté
est au dessin
le OUI
à l'essence
des percepts
d'obéissances
à ce qui 



Il y a
et bien
la Beauté
au jardin
révolutionnaire
cela arrive
élevant
le soleil
éteint
à son cercueil
d'éternité
L'Oeil
à main
des morts
vivants
au corps
chéri
des tremblements
Art
ou bien
ou bien
sartrien
des 2
en trois
fois
pour quatre 
chemins
Renversement
tête en bas
en haut
de côté
arrière
avant
tête folle
affolée
Art de cultiver
des navets
croûtes
pas de si mais
d'attente
sans attentat
tenir
Abraham
 et l'Axe
du Grand Muet
pour le sérieux
sérum de la chose
et de l'érection
du maître 
du monde
et des masses
en suicide
avec
le
 UN
Des uns
en huns
des you où 
rintintin...
et des guettes ta peaux
pour quelques sous
zéro




Infant
et des instants
d'indifférences
là où les portes
se referment
sur la joie
de la disparition
du verbe
et de la redite
mortuaire
évidé
de la jouvence
celle
de la main
à dessein
de...
Quoi que qui
quo cul culte
ures
de nombreux
petits dessins
( notre besoin
 de consolation
est impossible
à rassasier )
Dagerman



Barthe *

Gare Gare Ismes


Qu 'arrive
et qu'importe
attendre
et là
se métamorphose
l'impossible
Pas seul
des tonnes
tous 
toute
et libres
de signifiances
jardin
ou dévastation
de lumière
D'en haut
tu viens
en rappel
par la terreur
toute donnée
d'arrangements
d'avances
et belliqueuses
mais détruire
construire
,,,'' Pas de vent
nuit
sans étoile ''  *
attendre
De loin si près
après 
TOUT
l'éclosion
que coeur



Multiplication
de s'aimances
et le
RIEN
prend sa place
les choses
bègues
reprennent
soufflent
encor
Vent d'après
les haines
de partout
 traces
sanguinaires
assiettes
lui l'autre
pareil
et enfin
quoi?
Insensé
sens justifié
d'abattoirs
et d'amen
et de que dieu
vous veillent absoutes
et que d'autres
aussi bien après
au dernier repas
festif
d'enfants appelés
inverbes
au quotidien
d'us et mésusages
 sentences
de craches en l'air
en rêves
cauchemardés
de Dürer
or en feu
du vos biens
 d'hurlements
agonies
en soirs d'été
Lent et certain
tombe
ignorant
l'arôme
des morts



L'éblouissement 
de l'oeil
la nuit des étoiles
échappant
aux folies
guerrières
des guetteurs
capitalisant
d'ennuis
et maîtres apprentis
des pleurs
'' Tous les chemins
du monde
mènent à des charognes '' *
Autant alors
l'Art
d'embellir
la citation trouée
de disparitions
et de faires accroires
d'EST
 et
sait
TOUT



Pied nu va
et des bibelots
de bombes
tuant 
des milliers 
de prestiges
assassins
Tous semblables
Et là dedans
la table
d'incrédules
cadavres
monnayés
de bitumes
d'eaux chlorées
après vente
Jour 
en pleine nuit
un plus deux
milliards
d'intenses
rages
atténuées
d'un moment
proématique
'' L'imagination
a le droit de ce griser
à l'ombre de l'arbre
dont elle se fait
une forêt '' **...
de tous bords
ça meurt de mourir
dedans 
dès le commencement
sentant 100 ans
s'entend
la rose au bois
dehors
 la mer
et sa rive rivée
au temps
du festin



Vestige
encerclé
d'apparaîtres 
(un peuple manque)
EST 
de ce 
RIEN
d'attendre
ce qui se fait
en présence
et à témoin
le temps
Go
de l'existence



Le dernier JE
disais-je
est pour Je
les je(s)
Ici
T Bernhard
jouant devant
l'abysse
que propose
le suicidaire
à la 
BEAUTÉ
du ciel
TOUT
bleu
du Fra-Angelico
'' Il y a toujours
 mort d'homme
à l'origine
de l'ordre culturel '' ***
de la parois
Wittgenstein
(le sens du monde
en dehors de lui)
et au-delà
au-dessus des nuages
et ( ce qui est mystique
ce n'est pas comment
est le monde, mais le fait
qu'il est )



...d'et va nuit
 incommensurable
infini
de
 SILENCE


Trakl *
Kraus **
Girard ***

 

26 avr. 2022

Être Éternel


Et cri
de nuits
en plein jour
pleine
extinction
comme des rots
d'inventaires
camouflant
l'insidieuse
violence
du règne
hypocrite
au quotidien
servant l'anthrope
bancale
créé pour spinoziste
à la fin qui l'appelle
sous les drapeaux
du dieu
de l'homme
en saint-père
Cézanne
ou Tyran
ping pong
attend pas l'autre
Enfin
de l'Art
pour ne pas mourir
de quoi?
Multitude
biodégradable
sur le sable
des rizières
aux steppes
atterrés
chez le coiffeur
en beauté
des miroirs
'' Les songes
de la raison
engendrent
des monstres '' *
De ce qui vient
est advenu
depuis le début
du monde
des natures
Nature
Pas de préfère
attendre
 tenant
le labeur pour l'échappé
de béquilles
par l'escalier
spiralé
de la certification
valéryenne
et papier cul
composté
à la décharge
univers cité
polichinelle
du passage
jouissif
des menteries
de Scapin 
éborgné
de la fureur
menant l'abysse
à la conclusion
Mais où fuir?
(Nerverwherre out
of the world )
oui mais...
l'en dessous
du codex
sur la parois
du temps
qu'il fait
faire quoi...



Art
 de qui de quoi
d'OÙ
en somme?
Main de mains
de masses
ET OÙ 
d'OÙ
verrous
Sociétés
de surveillances
de QUOI
Du vers
 dans le dessin
à dessein
la part secrète
se dévoilant
la
NUIT
des envolées
hors
 Nature
natures
Lastcall
Lascaux
petite
toutes
petites mains
de futur antérieur
Seuil 
de la contradiction
du possible
et des plûmes
crayons
d'élévations
sur décombres
dévastations
de mises 
à la lumière
d'Effroi
ET 
les brûmes
de lâches
meneurs menés
maîtres
imposteurs
d'échomomies
maniées
au ventouses
des petites
monnaies
de cadavres
croque-morts
d'entités
de calculs
d'épaisseurs
de la viandes
d'abattoirs
à os



Foutoir
de guerres
argentées
de la petite monnaie
en somme
que vaut
ce chemin
des fuites
vers les suifs
de la grotesque
soumission
au quotidien
des vautours
nettoyants
(les sales petits secrets)
freudiens
sans importances
qui tuent
l'enmiettement
des joies
d'avenir
mortels 
plombé
de madames messieurs
l'extravagance
on aime
mais enfermé
en sa fin
de TOUT
en 
UN
pour UN
SEUL
égal 
lui le même
Il était



L'en dessous
des complots
'' Si l'oeuvre
signifie
le monde,
à quel niveau
du monde arrêter
la signification? **
Dedans dehors
les mouches noires
interpellent
lui non lui
non lui
le même
UN
drôle d'idée
la somme 
et ses sommet



Sortir la vie
du vent
des voyants
tout
en 
UN
et des postures
de ma tu vu
les bretelles
se pétant le cul
en curatelle
etc cte tec
à la queue l'eux 
deux
et des peanuts
pour chanter
le temps des cerises
et les feuilles
mortes
Enfin
à la proue
d'en avançant
l'épaisseur
de l'art de mourir
aussi
d'être éternel
Je n'est pas
je passe
dans la lueur
de l'effroi
 des sois activés
par les morts
sans suites
et des querelles
d'ombrelles
où coule
les chimiques
pigmentés
d'invivables
captifs
du programme
d'Albert
et ses conséquences
actives
d'agités
du bocal
Et l'Art
entre pour sortir
du confit d'oie
et du Capitol
de l'assiette
du temps qu'il fait
sur le pays
Proématique
et ses dernières
envolées
allusives
à un instant
d'envergure
vers les îles
lumières
L'Abattoir
ayant dépassé
l'Abysse
l'Enfer
des saisons
jours moments
eschatologiques
pas là-bas
au Présent
en sa final
d'appelés
pour
RIEN



''...Un cataclysme
l'a emporté,
régénéré...''***
Et des peurs
d'hier
d'a Présent
surtout
et des grandes
catastrophes
en avant
et du désert 
infini
des étoiles
entre le ciel
et la feuille
le soleil
tout petit
y fait
ses clin d'oeil
L'émotion
à sa part
d'Amour
géométrisé
de désir
un socle
en attente
de sa création




Goya *
Barthe **
Cézanne ***