D'ici
de par la lutte
des natures
Nature
Althusser
et de la suite
patriarcale
matriarcale
des suites
observables
dans la cité
des hommes
mains
à charrues
plûmes
par la nature
de J Jacques
à l'échos
biosphère
de mange un oeuf
un boeuf
Éternel
bouillabaisse
darwinienne
Au cube
de marbre noir
le diable
à 4
six 7
enfin
quoi?
Sous le soleil
de Satan
en soulier de satin
et sabots d'Hélène
Et de l'Art
pour en sortir
quelque peu
de la manipulation
génétique
( qu'importe
la méthode)
mental
physique
à petites têtes
petits pieds
par popas momas
ou arrivés
meneurs menant
menés
à l'apoplexie
de l'Esprit
essayant
tant bien que mal
en vain
La mort le fait
interpellé
par la famille
en somme
de ventriloques
pour la fin
des temps
sur une danse
macabre
et définitive
scellé
par Yahvé
Je suis
qui je suis
Lui le même
UN
Führer
d'amazones
et de la procréation
du monde
en destruction
massive
terminant sa course
de Beauté
effrayante
(Breton)
bonne pour
l'Art
et pas grand chose
d'autres
Un fixé
dans la marre
à wawarons
rien ne se perd
rien ne crée
et la voie
y est
l'état philosophique
du lieu
d'un cul-de-sac
dont Artaud
à tenter
d'en sortir
des faits
d'hiver
et gestes
de la brigade
digestive
du passage
En corps encore
avec la vrai vie
pour un flirt
avec la Nature
du
TOUT
Comme avec une femme
d'Ulysse
Joyce
et de Sam
en Rilke
Valéry
Par le tout est foutu
du philosophe
Alors Voir
à y déposer
quelques fleurs
sur le tombeau
de la Lumière
du temps
des assassins
Enfin
cette vague
d'Hokusai
passeras
alors et bien
un rêve
chérie....
Âme tranquille
dans les bruits
d'Henri
pas Tranquille
mi-chaud
mi-froid
entre brise
mer gelée
de Franz
et des miettes
d'Amouir
proématique
Enfin
sachant
faire
tenir la flamme
d'une chandelle
en temps
du
UN
des uns
Et l'Art se doit
de tous les vertiges
sculpter
le monde!
Lire délivre
des chaînes
de l'entoure
du semblable
mais en guerre
combattant
sa propre
existence
par le même
UN
des uns
Une prison
sans porte
cage pour le temps
alloué
du Où d'Où vers Où
Enfer ou paradis
dépendant
des émotions
du moment
Mais
bien ficelé
d'avoir
passé par le couloir
de la matrice
et du père
du st-esprit
( je suis sain d'esprit
je suis st-esprit)
dit Vincent
Et puis
des tas d'épaves
résidus
de l'Arche
de Noway
bloqués
au temps
de facétieuses
alarmes
d'opinions
contre les rochers
d'enfances
'' Vivre tue'' *
Ce qui se présente
LÀ
La Vérité
dedans dehors
la horde
joué d'avance
par des mécanismes
rodés
légiférant
le bonheur de vivre
Économie
entonnoir
de vie de mort
sur les sujets
en trop
ou pas assez
dépendant
du caprice
de l'État
des faits
du pouvoir
sur la faim
et les comment
ce ment
gagner sa vie
à la perdre
Ceci dit
pas grand chose
de 9
du moins
de moins en moins
sous les étoiles
de Pascal
et des sommes
en sommes
et sans sommets
de justifications
de tout
en
TOUT
'' J'écrirais
des silences
des nuits
je notais
l'inexprimable... '' **
...de la
Nature
natures
pour en sortir
du
TOUT
ce qu'on voudras
en Don
de qui que quoi
et des rires
de cette chose
par l'Art donné
effort sans cesse
à s'approcher
du
VRAI
QUOI?
'' L'ange ne diffère
du démon
que par une réflexion
qui ne s'est pas encore
présentée
à lui '' ***
Et là
las
marchant
vers...
le Grand
Silence
de tête
de corps
et de l'Amour
pour en sortir
des affraires
et d'Autres
prédations
Les citations
étant comme
TOUT
ce qui reste
et que laisse
en vain
l'encombrement
entre peaux
d'histoires
à crédits
et des tas
de squelettes
pour de la gélatines
des jungles futures
Après
la
MORT
l'avenir
retrouveras
son éternité
et il seras long
Et se poser
la question
de la
Vie
est déjà
de ne plus y être!
Alors
vaut mieux
en sortir
de la question
pour
en sortir
de l'enfer
Qu'à t-on dit ici?
Vivre!
Aquin *
Rimbaud **
Valéry ***
En douce
bruissances
après
le tour
l'autour
du tout
Autour
et le bec
et les ailes
du plus
Grand
que tout
pour demeurer
en droite ligne
avec le mot
d'ordre
chrétien
pour en finir
avec le
Jugement
De Dieu
cher chair
cso
de l'au-delà
du principe
de l'ignorance
tue
Tard ou plutôt
d'entre
les mots
se promène
l'hédonisme
de m.Joubli
Sonnom
Tant et au tarif
des passages
à viandes
aux grognements
des entrées
et sorties
Je panse
donc je suis
en nombre croissant
où le désert croît
y auras
que des autophages
et de plus en plus
amaigris
de la rat à touille
et de la bouille
à baise
Soit cela était
ce devait être
et de la ratatines
ordures
au cimetière
de moins en moins
de monde
après
les enterrements
debouts
les cendres
et les ptits pots
Disparus
le diable
et le bon dieu
les gens
les animaux
le soleil
la terre
le ciel
enfin
abcd air
deleuhhhhx?
f i n
g
l'h
qui git
Sous les tropiques
étoilés
place
con corde
le brins de scies
où les pompiers
allument
l'eau
des chameaux
surréels
et proématiques
De pas de problème
et Witt
wits
witz
Einstein
on the beach
et la fonte
des Glass
à répétition
être adaptable
à tout
TOUT
malheureusement
qu'est-ce que
Mars en avril
et mai
au mois
de février
un vendredi 13
avec Breton
naviguant
pavillon
Chinois
etc
Enfin
Oui!
Ouf.
...et des surenchères
d'ennuis
et des ouragans
d'imprévus
Écrire
dessiner
peindre
sculpter
jouir
de ce qui
LÀ
pourrait
ne seras plus
d'Enfer
ou Paradis
dépendant
d'émotions
bi tri
froid polaire
aux palmiers
ancestraux
d'éternel retour
Car la destruction
règne
dans et par
l'indifférencié
de la soupe
alphabétique
informe
inné
pour en finir
avec l'Art
à contre mort
toujours
sortant
de l'enfer
instant
de la main
pensante
voyant voir
croyant croire
à la lumière
du Jour
en pleine nuit
ou la création
à décider
d'allumée
les yeux
tranquilles
de l'innocente
Beauté
d'Être
Multiplication
extraponentiele
des maux
du capital
énergétique
détruit
corrompus
vicié
des instincts
anesthésiés
de bébelles
chiffrées
Stèle
de marbre noir
à la mémoire
écourtée
aux cerveaux
de faillances
écervelés
des rives
dérivant
détritus
sur le néant
tourisques tiques
du dernier repas
poétique
de lumière
Temps mort
délesté
au prix
du
UN
des uns
führer
et paix sur la terre
aux dernier
brin de paille séché
en guise
de passeport
pour l'éther
nuitée
à rabais
d'en finir
avec?
Instant
de fuite
du par à dit
des mots
brûlant
des rues
bombardés
d'enfants
en cris
de savances
prisonnières
De main
à main
''La beauté
est le propre
des enfants '' *
et par des songes
appropriés
des vert pâturages
inattendus
Qui peut savoir
la proématique
épongeant
la mer allée
avec le feu
des coeurs
amoureux
de la lumière
du Jour?
D'ombre
et de lumineux
bassins
de nuit franche
sans immondices
d'Amour
majestueux
véridique
et plein d'effroi
aussi
Dansenble
en bris
de proèmes
infinisables
désert de choses
à ressusciter
des entrailles
imbéciles
fours à macérer
de la mirlittes
à puces
dépucelées
du vivre
désailés
d'extases
devant la question
sang suce
et tire concision
de la fin
des sciences
en forme
atomique
biotechnique
lobotérisé
et silencieuse
du
UN
parfait d'avance
et éternel
Chuttttt....
Hölderlin *
