Parallèle
le commencement
à la fin
fini par avoir
les justifications
perpétuant
l'espèce
en
d'infinis
mirages
de mots
accolés
prêts
pour l'édition
redondante
du jour suivant
celui-ci
Il en seras ainsi
jusqu'à la fin
des temps
au dernier mot
Et puis le déni
des maux
anesthésiés
par ce qui colles
devant
comme derrière
paquets
résiduels
d'une journée
bien remplie
du temps historique
revival
autant que le veux
l'Art de détruire
reconstruire
et tombant
d'épuisement
ceux qui se relèvent
pour encore
un peu un petit bout
avant le Big
récompensé
de petits
par en arrières
disparaissant
en fautes
de cacadémie
de ses ponctions
en bernes
et Bang
Il était...
En vain
certainement
ou encor
pouffer
de rire
surtout
bien se cacher
mais rire jusqu'à
RIRE
Au fond
passer
vampirisé
par le temps
du suivant
de lui le même
UN des uns
Dieu
en homme
à crédit
devant
le plus grand
que soi
qui pense
à quoi?
Ordre et beauté
lux calme
et volupté
pour Charles
entrainant
au vent qui passe
des parfums
juste
pour dire
ce qui ne le peux
ouvrant
la faille
d'où va gémir
la fin
du jour
L'Art cette chose
qui maintient
à flot
le réel
celui qui dépasse
l'affliction
étire la sauce
en Silence
et sans cela
réalité
et rêve
l'un sans l'autre
et puis l'extase
pour les grands
Ce temps
EST
paradoxalement
contradictoirement
AVEC
la matière
en esprit
de la
BEAUTÉ
main tenue
entre
l'Amour
et ses variations
quantifiables
signant
la VIE
ce passage
de lumière
Que cela
disparaisse
c'EST
TOUT
Qu'en coeur
fend
la MORT
RIEN
et du réel
quotidien
de l'autre
où le fil ténu
qui fait
LÀ
ce que doit
par milles
milliards
en sommes
d'êtres
et pour
l'autre
seul
à
SEUL
par nous
donnés
que ça
ICI
MÊME
l'Art
se retirant
tout doucement
sans faire
de ...
chichis
sachant bien
que créer...tenir?
'' Il n'y à rien de plus
artistique
que d'aimer
les gens '' *
Enfin
au seuil
de tous
les seuils
le s'oeil
sol'oeil
en quoi?
Que des bribes
de fin
sans fin
du moins tant qu'il
y auras
un peu de futur
antérieur
pour faire dire
quoi?
RIEN
en fait
ce qui se fait
pour de la beauté
et son règne
l'Amour
'' Il n'existe
point
d'homme
dans le monde '' *
Des gens...
...un peuple
qui manque
et des enfants
en période de rut
et ce qui
s'évanouie
le sens
pour l'essentiel
manger dormir
déféqué
et ce courir
après la queue
Alors l'Art
là las
veillant
à ne pas dire
Mais ne pas dire quoi?
Et se couper quoi?
Et le Silence
le bruit
'' Le réel
c'est quand
on se cogne '' ***
sur la redite
de quoi?
De la vie
qui est d'ailleurs
vers...
où va
l'insaisissable
embellie
vers...
quoi...
pourquoi?
À part
tenir.
Part de pas
possible
de pas savoir
en partie
inutile
s'évanouissant
depuis
le début
dans la Nature
natures
et des miettes
de particules
et les menteuses
Tout ça bouge
de plus en plus
vite
vers...
Et l'Art
et bien
va vers
l'Art
de cela qui
EST
Empâtement
du cercueil
tout en ruine
histoire
idiote
très suicidaire
dépourvue
expatrié
de la richesse
du coeur
Quotidien
d'en avançant
dansant une ronde
d'idées
exténuées
en bloc
noirci
de cela qui
est...
Contre
et pour tout
ICI
juste ici
Van Gogh *
de Maistre **
Lacan ***
Pas un mot
pas de grappin
mieux
PAS
Enfin quoi...
L'Art
un monde
en soi
pour par...
en fin
Tant
que...
se peut
Que ça!
Art de quoi?
Aller avec
quoi?
Pour quoi?
Tenir
RIRE
après
l'erreur
d'horreur
du leurre
vu l'heure
qui est...
'' Les riches n'ont
pas besoin
de tuer
eux-mêmes
pour bouffer '' *
L'effroi
de la fraie
machinée
de Nature
ses cries
euthanasiés
festifs
lamentations
des mises bas
sur la rive
c'est
TOUT
UN
des uns
Silence
plein de bruits
de bruissances
de destructions
d'ennuis
d'abasourdis
et dans le dos
doré mis
fa sur clef
du sol
face à côtés
multiples
caméléons
partis
en soldes
envolés
pris en déni
de Disparition
et d'en fin
Où va tue
tuer
mort
sur le mont
chose
offrir
quoi
l'éternité
la mère allée
avec le perd
perdus
pis dans la rue
son grand
bifteck
il l'auras plus
et des suites
au vide
sanitaire
délavé
amusé
du rire
de ce qui est
avalé
par le charme
de la régence
en doux silence
de la
MORT
Céline *
L'écroulement
l'enfoncement
des désirs
au présent
d'informes
désinformations
sur ce qui
fait l'imbécile
en temps
de passage
sur la terre
comme au fiel
C'est effrayant
Cézanne
l'Enfraire
des choses
et d'autres
Penser...
à qui que quoi
et répétant
répéter
sans fin
répétez après moi
après moi répétez
moi
après quoi?
D'autres
quelques uns
autant que veux
la Nature
et de moins
en plus
autant en emporte
le temps
du dire
gauche droite
centre
à côté
de tous bords
ananart
avec ou sans
le temps de le dire
c'est fini
terminé
la tragicomédie
comédie
tout court
fini
Et depuis le début
la foirade
des éphémères
et cul-de-sac
Mais ceci dit
regarde bien
tantôt
le corps exultant
l'erreur
en somme
imposable
Cela ou bien
tombe
urne
et néant
d'air allez
avec madame
Déni
et messieurs
Moneztaire
et la trâlée
du bloc
de marbre
deux pierres
un coup
de maillet
déjà
le début du monde
courbant
courbé
Courbet
chuttttt...
Dodo
Extermination
génome
si d'air
chuttttt
pas politique
Nature
natures
pour
UN
Dessin
dessine moi
un mouton
2
plus
UN
troupeau
à l'histoire
de l'Art
en pleine
Disparition
du sens
des organes
sang
partis
envolé
vers la télé
des îles
embaumées
d'étêtés
de la tribus
des blancs
blanchis
javélisés
Redon
turlutant
au suivant
un après l'autre
sachant
que distribuer
des redondances
est toujours
mieux
que pas
c'est toujours
ça de pris
pour
le grand
cercueil
géopopulaire
bête qu'
UN
hôte
à trois
sous zéro
de poussières
sur socles
de vent
l'unis
vers...
mars
mai
quoi?
