7 sept. 2018

Poétique Du Réel (proématique)


Du Pareil
Au Même


Chaque 
brin grain
pin sciure
pellicule
sur l'Éverest
goutte
pistille
building
sel
tout tous
sang tous
au participe
présent à tout
passé LÀ
plein d'avenir
au long ou court
séjour
le temps ramassant
ses affaires
On ne dit pas
on dit que...
Et mots
aux sons
du voir
geste
signe
ce que veut
ou pas
Tu vois tout
enfin de guerre
lasse
de fatigue
le conte
s'arrête
le roi s'éveille
le monde s'éteint
Écrire c'est l'autre Mort
c'est cette conscience
qui fait du rêve la réalité
au quotidien
L'Art cette percée
du tombeau
ce saut dans l'ailleurs
s'imaginant jouant
ceci cela
laissant libre cours
à l'illusion
de libre arbitre
"je meurs,
et même cela
me nuit."...*
Ce qui ne peut être
dessine-moi
quelque chose
de RIEN
Errance guerre
et guéguerre
et des poussières
De LÀ
L'en faire
me ment...
de mots dits
aux couleurs
bariolées
des abattoirs
du Camp
en réalité
c'est noir suif
indicible rejet
du monde
par génocide
mutuel en UN
des uns
multiplication
des cellules
d'alvéoles
les entrailles
...

Créer
sur effet mère
perd fides
farces attrapes
pour pipes
entre-maux
terre heure
SILENCE
tu vois
pétale de prose
tombant
à voir
lové
en sa faim
d'espace
et de lumière
sur le sable
déserté
d'oasis
et du bocage
en RIRE
et L'ARME
à la main
tu sais
l'alarme à l'oeil
aussi la musique
pleure l'UN
disparu
d'éternel
Socles et Poussières
cucubés d'organes
présences
devenues confuses
vagues rumeurs
silhouettes
ombres figées
auréoles
Nature natures
échos de game over
après TOUT
tout rouge
tout bleu
jaune blanc noir
de chinoiseries
D'autres
jusqu'au dernier
qui ne pense pas
"ne parlons pas d'eux
mais regarde et passe"**
Encor va
quelques insondables
rencontres et le tour
de la folie sera complet
L'Art n'est pas
une arme de ruse
larme pour tenir
d'admiration
d'Amour même
L'invisible en plus
que cela EST
en RIEN plutôt
que quelque chose
Mieux qu'un rêve
tout en noir et blanc
sur la ligne du LÀ
forte indestructible
qui sait...
Pas encor
ceci en passant
se prêtant au je
d'ennuis sanguinaires
au temps à faire
des affraires
en Vive Mémoire
d'outre lieu
"la tragédie
c'est l'avènement
de l'inconcevable
dans chaque existence"***
Dans ceci est le Réel
absolu le LIEU
de qui comprend
comprenne...
Pour quelques
poussières de mots
alors voir deux fois
ensuite plus du tout
tu vois
ou tu vois pas
Diffffiçaillll?
Encor la peinture
à l'huile...
et l'art est long
et le temps est...
et puis RIEN
Sans les mots
l'Art retourne
à sa VÉRITÉ
Il faut ICI
se taire et aller
à la main bonne
et assassine
selon ce qui doit!
Vers où la peinture
s'éteint du monde
pour d'autres oracles
d'autres endroits
où ni boire ni manger
ni obéir au bruit
aux trop d'images
"la meilleure façon
de réaliser vos rêves
est de se réveiller****
Invisible le Génocide
les emportait tous
fatigués dilués
amoindris
lessivés...
traqués
enfirroipés
zappés
flushés
un et puis uns
et UN
fin de l'histoire

Il était une fois
un avait été
avant que d'être
de la tristesse
et des larmes
des souffrances
de l'ordure
amnésique
des pas drôles
comiques
assassins
des affraires
appelant
à entrer
dans l'avalement
du trou noir des faits
s'ouvrant
pour la disparition
infinie des matières
glacées indifférentes
propulsées
par la redondance
au feu du cratère
des mots des formes
et des couleurs
en la lumière
terrifiante du jour
de langues coupées
enroulées mordues
d'argent d'agents
autoritaires contrôlant
les tombes en bas
de l'oasis de la bonne
heure...ne pas prendre
de douche mais le bain
à la nuit tombée




Pasolini*
Dante**
de Roux***
Valéry****

28 août 2018

En Barque


Outre-Âge
fourbis urbi fourmi orbi
débit bis bis
(pareil pas pareil)


Conte pour dire
qu'au rivage
des arrivés départs
UN se termine
des uns deux trois
vaques et divagues
dix vagues
pour divaguer
des mères flottantes
épaves devenues
les côtes d'horizons
complexes de clés
des chants de sirène
tordus des règles
du temps rougie
etc. etc.
Pouvant poursuivre
sans fin coupa court
regarda l'oeil ouvert
puis fermé vertige
lentement apprivoisé
sans repère
de mort absolue         
d'initiatiques frayeurs
aux indications bien réelles
d'essence supérieur
à tout ce qui fût
sera a été
Signe et vérité
fixant tu voies l'éternité
des enfants aux cris
enjoués de vraie vie
au cimetière des envoûtés
de mort absolue   
par gains capitaux
ayant payé le prix
de non-résurrection
un conte pour un compte
De cela le livre
terminant l'eschatologie
poursuivant l'histoire
de dire...
Contradictions
conflits éclairant
la pellicule
sur le dos du sofa
en ré mission
vers un recouvrement
d'éclipse de soir noir
d'encre de Chine
pensant à poteau d'angle
piquant du chocolat
mélangé aux frites
politiques en poutines
râpées des maîtres séants
des faims dernières
Enfin fin de gourmandises
pouvoir gloire LA MORT
Les fondements
du contrôle
de la digestion des acides
en phase terminale
Mais des ailes
transfigurant la nuit
le fruit des entrailles
en passacaille
pour une rose
Webern à Anse Pleureuse
invisiblement
tout autour rudement
se nettoie la grandeur
en eau de pluie
la futilité des mots
mercantiles
d'intérêt pour la maison
en somme de distraction
pour ensorceler La Poune
"croire à l'histoire
officielle c'est croire
des criminels sur parole"*
Imagine tu voies
un embarquement
d'oasis vu du bonheur
de créer mais quoi?
Au morte vérité
un SILENCE
engouffre
dans la frayeur
dévorant dévoré
des disparus
du UN des uns
le conte y est
Et la magnifique
horreur devenue
passion infantile
tenant malgré tout
sans avant que d'après
que pendant
Blablas tu voies
un pouvoir de sable
mouvant
des glorioles
du ta page bruit terminé
en son de crickets
semances mortes
de temps mélangé
Mars Pluton Tarabisquacons
so watt...
tout est déjà passé
le présent conscient
de sa future fin
mesure en reste
un mort lui le même
éternel au début
à la fin et pendant
de l'avoir dit
à la création
de l'Esprit en rond
d'astres Monde
et la peur de la Mort
CETTE VRAIE VIE
protégeant l'illusion
le rêve l'imagination
vent de l'inutile
peau aussi flétrie
de soleil seuil oeil
deuil de luire cuisant
sous le dôme
du grand four migratoire
de gibelottes à gibets
dans la gibecière
du religieux...
par multiplications
des pains OGM
en mort pour mort
composté des fins
tu te réveilles
insecte ou chef pompier
poisson rouge
salaud nigaud
iguane imam ou curé
gros nez petit né
oreille oseille etc.
tous pourris
ripoux et la coluche
en plus croque-mort
raifort où Jean Rochefort
mort mille fois
et une dernière
Ti-Gus Ti-Mousse
ou Frère Untel
Histoire à dormir
mort de rire
un conte
Pas Sur Le Pianiste
mais aux chiottes
La même soupe
alors art de reprendre
jamais pareil
où d'où vers où?
Tout est MORT
le phoenix
aussi éteint d'urines
d'excréments
les dieux ne naîtront plus
et l'Aube de quelque chose
plutôt que rien...
Exactement RIEN
appeler ceci cela
émotions chèques pire
maux maux maux
blanc mots blanc mange
tripote capote radote
sauve sa peau morte
sur l'épaule art
dans le bocal des agités
nourris aux grains
de la ruine babine
des sénevés pourris
à la fenaison des désirs
pour la saisit prédatrice
du tout du DIEU
de RIEN du TOUT
pas pour tous
au tri âge
des essentiels
Suite aux mots
après le vent la tempête
au demeurant
qu'est-ce qui reste?
"Dieu me garde
de la santé mentale"*
Tralala la...
Alors continuons
la valse combattant
le populiche
des mange-clous
poux choux hiboux
n'importe quoi
mais RIEN
c'est mieux
que RIEN
du TOUT
c'est mieux
Accord qu'a corps
encor encore
"Tout ce que l'homme sait,
tout ce qu'il a entendu
d'autres que grognement,
ou mugissement tient
en trois mots"*
Amour art mort
qui sait....
En FIN oui et non
souvent non
souvent oui
sous vent dépendant
des circonstances
avec pluies sans pluies
avec lui sans lui
le même UN des uns
Partir pour les camps
être au Camp
en mots sans les maux
tu voies Dire
avec un couteau
dans le dos
ou bien ou bien
pas bien pantoute etc.
Ceci est des mots
selon cela qui vient
ou pas...
Enfin sans fin
le paradoxe
le contradictoire
le malentendu
pour un rêve unifiant
de l'autre côté ICI
Rire pas là
pour des apports
à l'avancer
dans l'incertain
D'accord pas d'accord
mais LÀ
Là exactement
dedans dehors
en petits dessins
des fins infinies
derrière les persiennes
un idiot
un faire Freud
un faire-part
de d'au-delà
de l'indicible
des larmes
désarmantes
musiques des mers
en l'éternel ICI
barque céleste
pour répercussion
percussion
perclusion...
Béat!!!




Wittgestein*

L'Orart


L'envol À Idées


Moustaches
à l'oeil
de l'arbre
aux champs
des tournes
dos au sol
s'envolent
de la terre
(avant de ressentir
un besoin de culture,
l'homme ressent
un besoin d'ordre)*
En fin
l'ICI anesthésié
de croix gommées
Art de quoi?
Nature natures
vers la terre promise
des pommes
des poires
et des scoubidous
bare net
en bleu Klein
Bon...
Rouge jaune carré et Dieu
en chiures de moustiques
et la perfection
à la fin des temps
bonté divine
Un peu tard...
le train d'enfer
tonnant d'innocences
des suifs les mêmes
avalés acidifiés
passés dates
compostés
du souhait d'en finir
avec le beau livre
et sa dernière page
mal armés
tombant sans cesse
dans le temps
sans savoir l'heure qu'il est
sans début ni fin
sans dessein
Il était point final
Et l'autre mort pour lui
et lui pour l'autre
ensemble avec le contrat
des maux à mots
le négatif d'Arthur
rythmant le souffle
de la peur en VIE
Amnésie de l'effroi
tu voies le cour âge
en jambe de multiple
façon de voir ayant vu
quoi?
Chimères
et OUI pendu
à la lumière des jours
disparus hors
la portée des idées
Mémoire du RIEN
inventant le libre mot
tenant conte       
du nécessaire moulin
à vent nourricier
du donner LÀ
persistant tenant lieu
à l'abri de la palisse
au haut du a en un o
d'habitude surveillant
punissant le mou
le transigent
Art de quoi?
Rire
et pour quels dieux? 
Rire
D'où Jésus?
Rire
Verrous?
Larmes
Beauté?
Pas pour tous!
La Poune
a dieu donné
sa part de Joconde
pour l'indication
d'un coin du ciel
de Bataille
sans attraper la coluche
Encor corrida
de sang de taureau
de boeuf d'agneau
de troupeau
en troupe croupes
croupissant
sans entrer dans la valse
du jeu gratuit
de l'autre côté ICI
en dessus dessous
partout autour
du tableau
dedans dehors
ou encor et en corps
la tête tant qu'elle peut
tenant lieu
de point donné
reçu à redonner
remettre
au propriétaire
en bonne et due forme
si peu long très court
soufflet...
Obéir désennuie
de la liberté
de ne pas...
ou l'inverse
ou encor survoler
les cratères caractériels
ou plonger dedans
contrat diction
ensuite dépend
le désir et l'attente
paisible...
Mais paraît-il
mes amis le paradis
n'est pas la place
pour les souliers vernis
dit le clair dit fait l'x   
Art de quoi?
Des joies musicales
des bons accompagnements
orchestre d'élévation
sans l'obligation
d'écouter de suivre
être pris en conte
sur la portée
des oiseaux aux sons
d'arc-boutant...
Écoutons voir...
des corneilles
d'automnes
comme les feuilles
à la pelle de l'arbre
aux forêts des ailleurs
pas de celles à papiers
que manioc
Tout est génial
égal Hégel hé gel
l'autre bord
quand tu reviens
t'es pas mort pas fort
pas à pas t'es plus
t'as passé outre
au piégé
du grand avalement
univers
t'es plus t'as jamais été
tu sauras la Beauté 
la joie des musiques
et de l'ICI MÊME
Être ou pas Dieu ou pas
Éclair sur cela qui est
que dire...
t'as vu tout compris
quoi?
Pas de porte
des choix
libres de ficelles
ou pas celui-ci ou
celui-là
Le Silence
du mouvement
des astres
désastre en majeur
mineur du fond
des choses
Où sa sent la merde
...etc. etc...
Il y a mieux
des poufs de rires
d'autres pour s'asseoir
encor des foires
amuses-gueules
pénétrant la poussière
des socles
et des socles
amenant le concept
à se compromettre
d'intelligence
dans la nuit du seul
par milliards ou en UN
rien moins imbécile
plein de bonnes heures
temps tant l'en faire
à pleines dents
Concentration
sur le Camp
Sans sortie
la cour est pleine
...
C'est éteint le monde
disparu après le comptage
des morues des pissenlits
fin du Contrat
Des mots sans fin but forme
que résiduel récité ligoté
ficelé babillage
sarcophage
La réussite parfaite
en Dieu faits s'hommes 
suicidaires de guerres
en prédations écomomiques
pestilentiel génocide consenti
au déterminisme
du UN des uns
comma la Poune
et Heidegger
Lou Andréas
Lavoie Ève et la côte
à monter vers vert
verra véreux
verveine verve
vertus bus en verre
lui décrochant des nuages
Règne de laisser-faire
pour le Dieu qui vient trier
ceux qui pourront
manger l'agneau
en boîte avec ces plumes
élevées au rang
de tablettes en forme
de poires
ça tire et folâtre
de rire hors la secte
fourmillant
de nouveaux écrits
après le pire des camps
le Camp des disparus
les mêmes à la même
merci de Nature natures
obéissant au tripot
du powpow pow-wow
t'es mort
beaucoup d'appelés
au jeu pipé
des arrangés darwiniens
ect etc.
Cet enfer d'en faire
la destruction
sans limite (décomposition)
du proématique
en compost écomomique
Répéter en ré mi si on
sol là au do de la vie
en jeune fille et la mort
tombeau pourrie riant
pas encor corps mourant
que la mer allée aille
ceci fous de bas en haut
d'oeil portant la vraie vie
(vivance) ailleurs ICI
rose contre marée peste
encor déjouer l'attente
tu voies bien encré
tu flottes aux boues
des fleurs pistils
à nommer renommées
de larmes vives
chérie tout éclate
comme prévu
au gouvernement
de se soi si trituré
par fascination
fabrication
de tête à Papineau
a de pour tout tout
tous...
Chérie SEUL
dans le tombeau
de tête à la tête
exactement celle
triée de là
par le don
du cela qui va
envoûter quoi?
La vraie vie
qui est l'ICI
l'AILLEUR
Émotion
s'est passée
crevé d'Amérique
rompant l'a marre
à Boom
et Patachou
le lui criant le même
UN des uns de l'en faire
Paul et les autres
disparus avec la descente
du conte moi de quoi
pour ne pas crever
de la vérité...
L'Occident étêtant
Marylin Jackson Andy
De Kooning Barnett
et les musées et les muses
les museaux oreilles
nez bouches cousues
(spermes de guerres)
dit Antonin sortie gelé
comme une balle
sous la perruque
poudrée d'un roi
l'autre aux mérites
du désir de ceci
plutôt que cela
copie qu'on forme
obéissant à l'époque
du génocide nid d'amour
pour une valse
à sans temps
de biologie cosmique
sorti replié fermé
capsule vers saturne mars
finissant dans le soleil
brouillant les ondes
du four crématoire
Ève et va nuit
en contre nihilisme
compostage remake
échos centre de résidus
matières fécales
tombant de l'être
pour le dernier des mots
du Camp
La vie est bébelle
stock hit ment leurre
de ni vu entendu
bouche de bois
à la livre pour des sous
la table de Nature natures

Alors on propose quoi?
Partir en pas agonie
au pouce carré l'univers
au plus grand voyage
à un pas...
Prendre un emploi
corder du brin de scie
ou débosser des vitres
partir voyage voyage
sur la mer des sarcastes
Encor déchirer le contrat
du vivant de noms
incognitos préférant ne pas
en tant que comptant
pour l'impôt hissions
des mains dix vies Dante
au cercle carré
Inverser le nihil
en mots...Rire...
et le silence ne dit mot
du pantinisme cérébral
venu pour l'arrière-train
cacas cocos faux nids
sur la falaise d'où tombe
l'Arche Titanique
multiple du UN
ta peau câlisse
pour l'or-art de RIEN
Tous en UN rassemblés
en lui le MÊME
le pape la papeste
le papa LÀ
la mère à laquais
là quand le bien-fondé
du bien du mal
les concepts père
sept ions déchargeant
en somme le fruit
des entrailles
de la tétête du seul
SEUL de l'autre bord
réssuscité autant de fois
qu'il veut lui là
le président du monde
là encor nihiliste
ananart ananas
pommes poires
poirons poivrés
Daumier ou Doré
ou Goya Watteau
c'est mieux
Tant pis vers les îles
avec Gilles Gaspar
et les autres
Tous à l'abri des abris
aux vents frais
aux lèvres du volcan
à survoler en plongeant
sans prendre feu
et devenir phoenix
pour raconter
Ulisse Portrait
Gens de Dublin
et Joyce
À la Recherche
Du Côté et tant d'autres
surtout Bakounine
Guérin etc.
Nietzsche  Nanterre
et oeil de guerre
tant et tant go
de big Bazar arrangé
avec aux bébelles
sociaux philo
et tralala là l'hère
ère d'époque
consumassions
prédations
suffocations
tourbillons siphons
trou noir sur blanc
de bord par de là
le nihil atomique
du Dieu d'ennuis
du trop du même
et de ses diables
d'eau bénite
pour en finir
avec le bunker d'opium
du livre des peaux
câlisses et bien
le dieu diable
se crisse en bas
de la falaise
réalisant la promesse
d'aube et pine
de la rose romance
par Eco transmissible
mentalement
où il vont posséder
le TOUT du Monde
illusoire diversion
maladie de Marguerite
des suicides à la pelle
poussés de la paroi
des grottes rues pestes
en sang de mains
d'hommes à hommes
âge à l'érectus
spermaformes
décréant par k.o
génocédits dei
en satires de tous côtés
biogénétiquement
refait à 9x3 plus UN
Faux que ça gnose
encor que sous peu
par beaucoup de patience
éternelle l'or l'art le lard
l'ardoise à payer
tout nu pis dans les nues
hère de TOUT en TOUS
de PARTOUT
veillez-nous absoute
de tant de temps perdus
pour mille et une choses
inutiles




Mussolini *


14 août 2018

Rien


En Bleu Gisant
(l'arrière tableau)


Terminé
ces formes
de morts
acidifiés
du soleil
Au mur 
de dire
ça passera
pas plus vite
cela EST
de passé futur
manducation
en reste
une bouche
de silence
d'aération
effets mères
Freud
là quand
la pomme
chante Cézanne
triangulant
le bleu
d'abîme
enchaînant
contre mutinerie
la main 
sign-terre   
pour temps 
de verrous
Et puis 
reprendre
l'Esprit
d'Amour
et d'eau 
désertés
Ténèbres
sur le festif
retour en avant
des disparus
au gouffre 
trou noir    
le centre en fission    
tremblante
in memoriam
d'avoir été sensible
Alors Lord    
ta froideur 
de silex rougie
l'affaire est ketchup
"Le désir pour la mère
ne saurait être satisfait"*
Tantôt 
d'abandons en pertes
le sel des larmes 
noyant le sens
portant la Beauté
à bout de mains
et l'oeil aux aguets
du visible visible
obéissant 
à l'enclume 
d'une joie tranquille
Pas à dire l'espace 
ce laps-LÀ
de poussières
en dessous du vent
proématique
dessus aux voiles
pragmatiques
histoire arrangée
avec le gars des vues
(envoûtement 
captation prédation
dévoration...)
Poésie après le pire
ayant bouffé l'innocence
Mensonge regarde
le contrat le début 
et sa fin
Extase de l'oeuvre
le livre lévitan
plus de ce monde
terminus génocide
aux acides de carbones
OGM programme 
biblé d'avance
maître de l'univers
terminant sa course
en riant hara-kiri
sur fécalité technique
émotion morte
lessivée d'oignons
le Dieu aura
son dernier flash
manger le soleil
seul oeil en seuil
transcendant ou pas
mortaise de cela
fouillis bouillis
Ici le JEU
sachant que ce signe
non d'une croix
ni pipe que chevaux
mais la résolution
révolutionnaire
attendre que la mort
d'un tyran de Milhaud
terminant sa course
par un quatuor de la fin
de Messiaen
en Silence de Cage
Des blancs de dire
omettant ce C
de la partition
de l'entente avec le bruit
d'où bruissonne 
la Symphonie Monoton
de Klein
Rire certain en SILENCE
et les gaz imperceptiblement
en bleu descendent
épongeant
la somme des uns
tableaux du UN
le Même ici repris
par Haydn
"la Poule de l'Oeuf
de Constantin
art mais de quoi?
Répétition 
sans fin aux infimes
infirmant Ommm
ou le risible 
cacophonique 
argot de la Poune
passée au peigne fin
à vingt cents
pour une révolution
arrangée avec la bande
à oseille
"Il n'y a pas de petits
faits.Tout est signe,
signe de sens."**
En fin de fin 
que Personne 
n'admet personne
Schwtters 'Ursonate'
tetetete...TÊteee
Encor Art ÔOOOO
gogogo vrrrrôÔooooo
Arche d'alliance
avec tout au bout
la boue du brûlant
seul oeil seuil
d'où tirer le verrou
sur les guerroyants
de Darwin changés
en poissons coelacanthes
En fin enfin bref
pour tout dire RIEN
pour ne pas... 
avoir seule raison
du seul fait SEUL
Tracer sur la pierre
avec le sang qui fuit
de toutes parts
le peu qui reste
du bleu des cavernes
imaginées tranquilles
que déjà dégringolant
tu vacilles démis
de tous les maux
tu mords ingurgité
des verrous
des en faire    
quelque chose 
Pourquoi pourquoi?
Restes à voir
tombant des nues
bouche bée 
de l'autre côté ICI
aéré des LÀ
entre eux déridés
par merveilles
pelures de pommes de terre 
de Vincent au jardin
seul sur ses pas
et l'enfant...racinant 
sans lui le même
devenu l'atome cassant
l'universel de mort
vomit de sang noir
d'où ou vers où
socle et poussière
dévoré par le JE
d'esprit saint 
sain t'es pris
par une histoire de fous 
et voilà...
Vent entre les 2 oreilles 
Boom tu tournes le sol
et des jaunes 
des bleus tout partout
du rouge des viandes
des abattoirs 
tous les rouges
en foutre le camp
lentement passent le voile
du ressentiment
sans haine 
en des lires
autres que ce qu'était
ceci cela qui que quoi
...Histoire de verbes
 pillages.... 
autophagique 
du UN des uns
et la promesse
de la terre promise
disparue dans la nuit
des trous blanchis
et la poésie se fait chair
Il était est sera
acvbcnd,.y....zzzz
Venant du pire 
croyant être
alors que le tout
s'en fout des miracles
mirages des envoûtements 
des marionnettistes
des chamans sorciers
sages...le glas
des cimes en terre
criant criés allez encor
d'autres après après
autrement que ce qui est
qui peut qui sait
sera...
Éblouis d'Amour
malgré tout!
D'où où mourir tu voies 
plume et ancre mêlée
pour après d'autres RIEN

Farces et attrapes
c'est selon...Coupe!! 
Et du SILENCE
à moins que dire
au vif de chair à cher
pas de sublimation
pure de ceci
redondant... 
la tête de Bacon
à l'étal du boucher
Salomé étêté
de Jean...
suite au tremendum
des ruines où 
tout est possible
alors...
Éteint s'estompe
la fin des fins 
avec le UN parfait
étrange universel 
TOUT s'est su
finalement
tout s'est dit
touladi poisson 
ichhthus...
d'où ou verrous
LA MORT
dans un bocal
sorte de prière
enfin...Oui RIEN




Lacan*
Abellio**