Boue D'Art

J'Art 

Si à si

nichant 

versal

art rive

RIEN

bon yen

boeuf

tiré

ti-gas

Surf 

mer

fils
épormyable
de berlue

perdu

reprit

forme

à T

mort

gauche

droite

tombe
seul
itinérance
naïve
5-7-12
mieux
art
miel
Dieu
ce néant
du o
pas besoin
chérie
juste
ciel
bleu
bataille
orange
élue
art
pousse
au doigt
de piano
riz dit
rit
RIRE
RIEN
NIER
à neuf
postarts
dé ère
en porte
après
restes
encor
emporte
vrai
à VOIR
d'ICI
LÀ
élue
de l'Oeil
pansant
l'autre
jamais plus
boucle
les larmes
Crie
fatigue
...
Soleil
poêle
à peaux
de croix
gommées
en crisses
et en beau
calvert
ouvert
sombrant
éternel
pour RIEN
cinq adagiettos
in memoriam
proématique*
ouffffff
essence du mot
gaze évaporation
en douches
des enfants
Nietzsche
cheval
pour Music
and the last Call
before de sky
dans le ciel
en nuit
d'oiseaux blancs
Si peu un je
tenu à silence
de tout dire
RIEN en somme
ligoté contre A
en différend
sans obligations
trait noir
raturant
les beautés
édentées
sans coeur
que corps
en "l'appareil sanglant
de la destruction"**
ô temps des mères veilles
au feu de la lettre
en langues mortes
enroulées des mortels
au marbre déserté
des ciseaux
au plâtre de chaux vives
l'envol étouffant
les méchants délires
sans fins dernières
à découper
Coupez!

Courir...
en tête et
main tenant
ceci sombre
illuminant
le cri
des horreurs
du joug
du faux pas
d'être évacué...
Désert

Si assis
LÀ
Où?
À la proue
de sous
les semelles
tâtant
des brumes
folles
partances
de mots
jeu à fente
des yeux
félins
sur le dos
de Borges
Arc-en-ciel
au neuf
cinq des chiffres
mots signes
choses mystérieuses
"L'imagination
n'est excitée
que par ce qu'on
ne possède plus,
ou pas encore"***
impure et menteuse
crée mieux que TOUT
le miroir aux vérités
mortelles
art de se débarrasser
de l'effroi du vertige
du festif de TOUT
TOUT TOUT
se qu'à créé
le UN des uns
afin de brasser
l'ennui d'être seul
au Paradis
imaginant des copeaux
populations pullulant
de copulations
par milliards
grignotant là
le sens de l'insensé
bonheur du non-sens
pour finir à la poubelle
et la ben à ordre dur
à musée conforme
au désennuie à Tyrans
pour des siècles des siècles
de mots jobinant
pour la caca démie
du début était le verbe
autophagique festif
au pestif empestant
de si si sis six six
silphes de l'air
de quelque chose
contre la perfection
de son SILENCE
on tourne la Pie Tourne
en corps et encor
La vérité en vérité
à cette histoire de fou
est que les vérités
en dérives de vérités
passes de passées
à dépasser
redevenu
des vérités nouvelles
en vingt mille lieux
sous l'air du vide
en UN des uns
l'éternel en nuit
en plein jour
à coeur des jours nés
pensant s'en sortir
de sa chambre
en faisant de l'art
la boue des lèvres
pour le dire ce RIEN
du quelque chose
L'Île où pleut le soleil
résistant à l'ordre
d'y fixer l'oeil




A-BLANC blog
(indice proématique)*
Baudelaire**
Musil***

Maux Dit

Soufflerie Colorée

Mots oignon riz
fleur humain
omelette poulailler
dieu bête en somme
poussière silence
on tourne où
effroi Mort RIEN
Ce qui vient
pour l'Art est
sans importance
le Jeu valant
la lumière
apportant l'enfance
ayant vu ce qui est
sera Lascault
last call
des viandes
sans offrandes
qu'une offre
au pris tant prix
d'un mélange
du câlisse
Là t'égorge
dégorge
et regorge
du désir
d'offrir ton fils
ou ta plus belle voiture
à l'autoroute
des morts
en vacances
des travaux
de recules
une fois le derrière
récupéré
à bras qu'à des bras
d'à la guerre
comme à la guerre
pour s'étouffer
et se consacrer
à de sérieuses
mises à mort
Exclue de la beauté
sacrée  l'érection
en guise d'extase
finale ferme le tombeau
de la faim de l'oeuf
et de la poule
et la raison de tout ça...
Mots dits mots
ne dit mots
Histoire à court
de mains mourantes
fatiguées crevassées
de misères partagées
demain fossilisées
soufflées noires ou rouges
suifs et sang mêlés
dans les filets
de l'horreur éternité
Et vivance fait RIRE
passer en passant
pensant penser
dégustant tout
avec pleine de joie
savante et mortelle
contre le coût
de la tragédie ogre
et grotesque parasasitaire
exorbitant cancer monde
Tout détruire
en reste des milliards
de pieds troués
Saint-Sébastien Taureaux
Gilles ventriloques
martyres Gaspar
Raspoutine De Funes Mesrine
Marx et Grucho
Staline Pétain
Dylan du vent camarades
des mots toujours des mots
les mêmes maux
marbres et mardes
compostant
Compostelle ou lui
Tout s'égale se justifie
de l'énergie calculée
ou pas vacille s'éteint
l'Atlantide Inca
les îles Mouquemouques
les cent morceaux
de pizza la fleur de Lévi-Strauss
encor la feuille d'acanthe
Donatello Michel-Ange
Freud dans le trou noir
de monde
Des mots de passe
moi l'expression
de l'opinion en vaut
une autre
Bref histoire
en champ de mines
à plomb au chant
de l'alouette
veille ou dort
cache ton Dieu ta passe
d'où où vers où
Rembrandt ombre lumière
Miro la couleur de ses rêves
la fête Delacroix
Manet aux Black Painters
aux bouches molles
cousues abouchées
d'écologies
pour écomomies
de bouches d'égout
dégoutées
des bouchées doubles
par ici la sortie
des lemmings
des bisons
des dits mots arts
d'émotions courtes
stylées caduques
pissotières
câllant l'orignal épormyable
Bref bref bref brette
gosse de Paris
testicules élémentaires
gossant gosseux
l'organe du parti pris
de reproduction
et "...l'art est, en son essence,
une origine, et rien d'autre:
un monde insigne
d'accession de la vérité
à l'être, c'est-à-dire
à l'histoire."*
Ceci dit quand tombe
en poussières et cendres
le Conte
qu'à rebours l'oiseau minerve
reculant sans Devant
car Disparus
les jours et les nuits
qu'aurore ou crépuscule
histoire à raconter
gardant l'éveil
à RIEN plutôt
que quelque chose
pour ne pas crever
de cette Chose
Sans cent dires
un mot maux dit
et funeste
sachant la soufflerie
colorée la fête au don
du dos (et Ça poursuit
sa souffrance)
cisaillant le ciel décrissé
des bébelles à père Noël
100 ans de solitude
sur la falaise dort qui dé
parasitant le grand jeu
effet mère porte natures
Nature dieu s'en crisse
n'étant pas ce passage
à l'acte blablatant
Ô céleste sur la côte
de la dent Éva nu pied
chez Antoine
création du coût tu ris
mort de rire aussi
En fin coupons boniments
en queue de poisson salée
oeil ouvert aux couleurs
soufflées sur la part roi
des parents sujets
du désert heure




Heidegger* 

A Titré

Nid De Main

Ainsi
s'étire
dans la fin
cela ceci
percepts
joyeux
tout petits
où claquent
d'innocents
ossements
détachés
des chairs
indécentes
et nues
devant
...
Oubliant
ce qui n'oublie pas
le châtiment
des émotions
sortes
de qualités
nutricielles
d'une mise
à naître
mourant
mort
de mort
certaine
De Là
c'est fini...
Partance
en  des signes
codés ou pas
avec choix ou pas
marionnette
de folow de guide
ou pas
Vertige
étourdissement
en élévation
tombante
ou tombant
d'élévation
lâcher prise
ou prise
à tenir
impossible
refus
de quoi que ce soit
c'est LÀ
avant pendant
après...
Sans l'utile
à RIEN
Socialement
de grappe de vigne
à la tribu
payant tribun
ce qui se donne
à croire
à RIEN
étant ayant été
sera
Un JEU
qu'importe
s'exporte
la porte
du ciel
de l'enfer
des limbes
so watt...
Ceci LÀ
eau feu l'air
de RIEN
créant UN
en UN tableau
expirant
inspirant
Shakespear
sur la scène
du sang
des coeurs
tragiques
ou comiques
selon
ou pas
C'est du Silence
qui vagit
un petit dessin
qui va rit
hier aujourd'hui
de main maîtrisant
ruses calcul
attrape grappin
de lui le même
UN des uns
du fiel et de l'en faire
de cela plutôt
qu'une liberté
libéré des conditions
en sommes
Et puis
que fou la beauté
post-moderne
mortem mort thème
aime M mmmmm
Peut-on après le show là
dire encor
où tout se justifie
dans la contradiction
l'habitude a des haines
zen x y cela est
Oh lala c'est magnifique
la vie est un là
qui tend les bras
sans gémir aux Marquises
car elle ne fait pas   
de cadeaux
avec ou sans bécot
frère Jacques
dormez-vous?
Conscience ou pas
c'est de la conscience
alors d'où où ou bien
la solitude de l'héritage
irrité des boues
sans bouée embuant
la pensée du dead line
au fil d'arrivée
filant au fil des aiguilles
de pin sapin épinette
de la pelote basque
floridienne ou du pays
du cou couche pas nier
jusqu'à la tétête
Ici on entre
ailleurs ici
vers la mante religieuse
pour le compte
des mais ta mort fausse
passant en travers les mailles
des bas-fonds du crime
pour ceux de l'Art impossible
inutile et seul seulement SEUL
sans suite... . des suites
à poursuites de poursuivre
ce petit tableau dessin
sans dessein...
revoyant renvoyant
voyant ayant vu
au noir parcours
l'épaisseur d'un brouillard
écomomique attrape
tout et Personne
en TOUT tous
pour LUI le jeu
est terminé
Titan tyran
à bout important
la dernière page
nul autre cannibale...
 ...de ce qui vient ICI
AILLEURS  juste LÀ
...rire du mensonge
de Personne
tombant agrippé
différent pareil
en Nature natures
pas LÀ mais en plus
RIEN
Jeu insensé de dire
quoi que ce soit
hors le pourquoi
des mots
Dieu le verbe
ce brasse brasse
du tourne la pitoune
pendant qu'il est sortie
voir ailleurs s'il y est
une autre histoire
pas eschatologique
mais de disparus
au début pendant
et à la fin sur le piton
clavier serpentant
l'IL Y Avait
comme la main tenant
la palpitation
des coeurs dans le formol
qui sait cela pourrait
servir de greffes
dans vinaigre au retour
du sans dieu ni maître
Encor que des moins
des plus en plus des puces
et des races poutine
trumpés à la sauce
ketchup de guerres
sur pizza all dress
Mais qu'est-ce que l'Art?
Un retrait en passant outre
à Artaud Lévinas
Deleuze Henry
Habermas France gale 
politique au couvert
sur presto le temps
de la liquidation
du doute sur l'UN
de quelque chose
mais quoi?
Paradis fils Co
Enfer d'en faire
me ment
au limbe alambiqué
des non des oui
Au fond agrippé
tombant avec la falaise
tenant Magritte
et pris de sa pipe
laissant en paix
la violence et ses crimes
pour Simenon
et son lavement de mains
meurtres masturbations
au corpus freudien
demeurant aux dés pipés
du bien du mal
sans délivrance
avant la fin de l'affolement
des prières de remettre
en mains propres
au jour du génocide
festif du grand départ
avec tartes triens
et autres nourritures
terrestres collées au palais
en masse gluante
pour polis ptits chiens
de madame mère
de Napoléon à Caraco
sur la 15 av. N.Y
par temps chauds
de la pince
afin que le corps exulte
en ses petites infertilités
de mur mûres
murmurant
à la belle de Cadix
Sans fin dire
l'impossible à dire
Le sens du monde
n'est que par sa fin
alors illusion suprême
plus de mémoire
Mémoire?

Attitré à cela
plutôt qu'à ceci
par d'infinis
je ne sais quoi
tirant la ligne
antithèse
en droite ligne
vers un saut
de polatouche
tête première
en de nouveaux
désastres
et autres facéties
du corps céleste
Où aller quoi
détruire encore?
Sortir entrer
pieds ou tête
tirer son aiguille
là quand la pelote
prend le diable
par le cigare
tient la pause
posant ses attentes
pour la grande Mort
croyant s'échapper
par la soeur bonne
du Paradis
part a dit pardi
perdus par dieu
2x2 de part dieu
tournant Faust
notes...
Bref n'importe quoi
suite à la Commune
sortie des bars
bord elle tirant
tyran et tirelire
pour en bas Sade
donnant de la pogne
pour tenir
la falle à l'air
la glotte grotesque
pour un dôme donnant lieu
à des secrets risibles
la pine osa ce cri
désir imaginant
le RIEN
quelque chose
d'attitrer d'aligner
sur le désert chaosmique
qui échoie la liberté
libre libérée du sujet
de concentration
mot à maux
À reprendre
sans début et sans fin
ne tenant à RIEN
à l'U meurt  uni vers
port ouvert au corps
le temps jouant
de sa fin...

pArt Ire Réel

Jaune
et quelques
traits inutiles

Sous les sacres 

du RIEN

vents cassés

des marbres

des mers 

dégelées
du sang des morts
mille fois
les mêmes
revenants
sans cesse
désaltérant
le ciel
des veines
du plus grand
cueillie
pour l'égout
des enfers
offertes
à l'effroyable
voyage
dont les mots
creux de langues
roulées
grains de sable
des sauve-qui-peut
au pronostique
d'harmattan furieux
Allons partons
sans bruit
laissons là
l'ennui d'agripper
au vestige homogène
de silhouettes
fixé au rôle pipé
de tubes digestifs
spasmés des rots
du grand estomac
univers

De tout partout

partouze Mozart
en notations
spermatiques
et la peinture
des lavements
de mains des communs
celui qui a le temps
de savoir...

le "Dos De Mayo"

celui qui sait tout
du jeu de la chance
son pouvoir
sa domination
celui du UN aux uns
totalitaires
Bluff ensorcellement
Élites ou mendiants
ce fourre-tout
sachant que tout se justifie
la Poune Samuel Baber
en une folle destruction
sur fonds de mensonges
(sales petits secrets)
Ceci en toutes horreurs
tenant lieu de tenir
hébété fatigué heureux
..."La vie ne mérite
d'être vécue qu'en terme
de conventions
démentielles"*
Wais...la vie? Chérie
pouf pouf...Il était
une fois pawpaw
Infimes lichens
forêt du bout des doigts
des bords du bois
du refus global
Vie de mort certaine
par dévastation
élevée au rang de projet
suicidaire (récup) ou l'Art
doit fournir la matière
pour en finir
avec les disparus
de l'Esprit

Part d'invisiblement
LÀ Vassily nettoie
le spirituel
et Filonov règle
la suite politique
et Malevitch allège
le tout en une légère
cime à taire d'où
où vers où s'allège
au-dessus des masses
de marbres à falaises
"Aucun objet
n'a jamais fait
l'expérience
d'être touché"**
Sans raison de moins
que RIEN
Tes yeux tu voies
poussant vers ces peurs
à mourir debout
un rire en coin
en blanc à blanc
Art de guerre
tant temps a des faires
la ratatouille
Et qui que quoi
en tant que pas LÀ
mais demeurant
sans la mort
éteignant toute chose
même la détresse
Sans savoir sang sens
insensément
s'en remettant
à l'angoisse épiphanique
de VOIR
ce qui est impossible
et risiblement s'abandonner

Last call Lascaux
dedans dehors
projetant lumineux
sur la Paroi
l'étrange reproduction
du même UN des uns
vu posé LÀ
à main éphémère
(effet mère)
au noir du noir
de TOUS les noirs
le Jeux insaisissable
du Plus Grand
par l'infime fragile
conscience
d'une bête de somme
de sa condition
d'anthropophage
en érection extatique
revu et corrigé
par l'autre main libre
sismographiant
ce qui ouvrira
la p'Art d'une mise
en sainte du VOIR
unique (forme de cancer)
de l'uni-vers-elle
Petit pan de mur jaune
à creuser lentement
dit le Saint-esprit
le sain d'esprit
du maître des deux mains
(demain)
Nature natures
sur nature ses spermes
multicolores
formant une création
virile et voyante
sortant enfin
du parfait éternel
féminin...etc.
Ce quelque chose
qui va donner l'Art
Histoire de dire
de deux choses l'une
Père et mère tu voies
Quoi?
Et bien
de la création
créant un embouteillage
au bout du rouleau
une fatigue monde
et son évanouissement
dans les vapeurs
des suites sans suite
du commun au travail
à fric frotter
la douleur de l'utile
pour les bijoux de famille
et sceller les sales
petits secrets à machins
machines...de guerres
et pour en sortir
de l'art faire...faisandé
le grand festin des dieux
passant ramassant
les mises bas

Rebelote
De grotesques
histoires
d'arche
aux fusées
de l'art indifférent
à celui des derniers
tableaux disparus
les sujets en feuilles
mortes échouant
en rives jaunes
Et il était a été
sera pawpaw
t'es mort
Le noir absolu
rideau.
La peinture depuis
un bout déjà sorti
en son SILENCE
guidant l'Oeil refroidie
de la mère gelée
à la chaleur de son soleil
créé du choc inespéré
d'Être




De Roux*
Henry **