24 juil. 2017

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Ré Si 
Danse


Un chuchotement
et puis un cri
et du bruit
et plus de bruit
en rester là
C'est fini...
Ajouter quoi ?
Paroles à disquettes
parler pour parler
pourparler déparler
entre soi 
et le ver à soie
un mauvais coton
marcher en parlant
éloigner la peur
se dérouler
la mort avant de dire
éponges cailloux
feu ou bois sous terre
là où ça délie la langue
tortille la roule etc.
Pour le reste
tout se sait
Pas pour tous
combien va-t-il 
en rester de ces mots
pas UN pas UN chiffre
Initiation peu d'élues
c'est pour signifier
De LÀ oser tendre
tenir pour trouver
art dire la dessous
en signes dans les affres
de l'en faire de l'enfer
affairé des wawarons
de Bosch à Brueghel
mêmes lignes...
sentiers codés déjà... 
après comment dire vrai
du CAMP de ceux qui
y menaient
à ceux qui que quoi
sans boucs alors quoi ?
Société du crime
en cul-de-sac à marde
mot à maux
envers endroit du même
en...M'en revenant
de la jolie Rochelle...
un vide d'insignifiance
demandant l'ordonnance
de signification...
sur le pont on y danse
tous en rond
Totalitaire et à forte
disparition de la surface
(croûte) terrestre
...etc...Absolument
totalement
Cauchemar de Dürer
Nuremberg
Art de quoi alors ?
Écoutons voir...
de (l'autre côté ici)
enfer ou ciel
limbes au choix
cartographier avec
quelques imprécisions
tenir agripper
avant de périr
vers la seule direction
mort ou vif et mort
ou encor en finir
avec l'orage
se camper
sur le doute
attendre le retour
de la pomme
de l'arbre à cames
la religion du tyran
de qui parle ?
UN pour UN
deux par deux
carré noir sur fond
de dictature
(aujourd'hui
plus qu'hier
et bien moins
que demain)
Fais-moi des petits
bonhommes
en martiens de la terre
partant vers sa tourne
en valse Shostakovich
Récit danse
avec les fous
et quelques grains
de sénevés
"Suspension de toute étude
sur la peinture
dans les universités
et surtout la fabrication
des docteurs et professeurs" *
Suspendu à la falaise
et pris du vertige
de crever des pieds
coeur et tête
l'univers cité
pour petits dessins
à dessein de ne pas
tout le reste...
des acides et vapeurs
stellaires des contes
à s'étouffer d'ennuis
pendus à la suspension
suçant les points fermés
dans liquide amnésique
dévorés à la queue
d'eux en UN
une fois seulement
Chérie voir au-delà
des mots à maux
AMOUR oui RIRE
Voyant taire
pour l'horizon
par le hublot la mer
de ces larmes
et l'épave du sort
en liège à son moment
Courte paille...
au peu de Réel
hors le chiasme
la scorie les pièges
à teutons d'éclairages
se prenant la tête
dans le con totalitaire
d'Irène
créant l'aurore
technique de froids
contrôles de la noirceur
festive
Disparus
dans le solde des gains
et pertes échosmomiques
du UN parfait en uns
Oui ceci pour le Réel
une partie (une fin de partie)
en d'autres perceptions
Amour effleurement
s'en tenant au don
d'oasis de luxe calme
volupté repos de l'Âme
de vivance
sachant sans savoir
(intuition) l'utopie
qui vient...
poursuivant le périple
sans Dieu le Dieu parfait
de cela terminant sa course
dans l'infini sans fin
de son idée
bonne à manger du foin
Peuple pour masse
critique cancéreuse
anesthésiée extirpée
de sa surface même
la branche coupée
où elle est bien assise
suffocant en sa marde
sacrificielle...
Génocide perte de mémoire
en somme pas d'histoire
avec douceur assimilée
par les bebelles
le festif bien sûr le pain
pain quotidien
la technique...
blanchisseuse
broyeuse mixeuse
boueuse glaiseuse
pâteuse terreuse
malayable formable
etc.
Les mille facettes
que prend la MORT
copié collé
à la paroi de la peur
pour faire lâcher prise
le reste est superflu
c'est le meilleur
comme continuer
à Vivre décrire
décrier le cri
l'impossible...crise
Désertification
après TOUT
Allons pour la suite
de  l'assez dit
en petits dessins
sans desseins
et pour tout dire
par la voie du Silence
l'inutile beauté d'amour
Blessé agonisant
dans l'effondrement
du monde
le chant de danse
insiste tremblant
tandis que passe
la lumière


Gombrowicz *

Lignes Et Célesta


..."Les religions,
c'est comme les arts,
c'est une poubelle..." *


Pas poubelle
que les autres.
Et pas plus fourre-tout 
que Nature natures
en UN les uns
le Père après Cézanne
qui le géométrise
poussant Poussin 
sur Nature
que Picasso le viol 
ou encor une quincaillerie
de comédie tragédie
là quand l'agonie 
de la peau câlisse
signe la fin du livre
que signe signes
sans sens festif
dernier nom
du ceinthomme en lui
sacrifiées parties enfumées 
bénies sortant 
du dépotoir
les pieds devant
et des restes et bénies
Cela à passer
et le chef de la femme
disparue au champ
de la laideur crépitante 
au bruit sourd
de la détonation
de mise en scène
la dernière de la liste
de Chandeleur

Éponge en tri du coeur
sachant entendu
qu'UN ment songe
avec les uns
est la vérité du fond
bancal des masses
en liasses sans liesses
histoire de passer
sans attendre
d'imaginé à effacer
...
D'où LÀ transcendant
tout ça le Monde t'appartient
t'es fin seul sur ta planche
et pas de salut à faire
...Oh la la !!!
Où suis-je ?
D'où dodo l'enfant do
viens-je?
Où vais-je...faire
un petit petit dessein
en milliards
d'exemplaires
et si l'un deux trois
quatre cinq six sept
rates tu déchires
(une guerre une épidémie
un météore un ovni...etc.)
et recommence
jusqu'à épuisement
des stocks
De l'informe à la forme
Delacroix Ingres
Van Gogh Cézanne
etc. etc.
tralala la l'erre
ces parallèles
Dieu sans Dieu
avec dieux sans yeux
fait noir dans le monde
à soir...

(Alors prions que Dieu
nous veille absoute) Villon
où qu'il nous crisse la paix
en bien en mal
pourvu qu'il parle
ou encor anan'art
et pour finir...LÀ
voir puis tenir
la sournoise
fermant le cercueil
ce dont on ne peut parler
me faut le dire
à mes amis
dit le monsieur
de Natachcouane
en des mots à valeurs
d'indicibles faire avec
le verbe du Camp
Munch criant le cri
là où l'horreur sans bruit
montre sa vérité
rabattue de peinture
de Nature natures
la géométrisant
en partance
pour la terre promise
chez Cézanne...etc.
Hors en corps et encor
mais ICI concluant
par antithèse
tenant LÀ énergie
tranquille par petits
bouts d'extases
dans les vies d'anges
(vidange)
autant dire après
le gouffre l'Enfer
voir en tombant
dedans dehors
par petits
faire se peut
sombrant noir
sans prises...
Insistant entêté
l'éternité...aura été
à conte de cerveau
un RIEN RÉEL
un passage chéri
lui indicible
question de vraie vie
et enfin rire
car c'est l'UN des uns
sans je tu il nous vous ils
seul Verbe vide vidé
...sifflements variables
au rythme de la chute
accalmie  scruter
noter cartographier
Walser avec Shostakovich
en valse en boléro
de rêve d'ailes de rires
sans pourquoi...
c'EST LÀ...comme tralala
et puis boom LA GUERRE
pluie de feu Dmitri
quatuor no 2 opus 68
tous et Gogol en plus
pays sans pays
cent pays de misères
et encor Pays sans pays
misères lumineuses
allumées créé par l'art
Réminiscences
en vive mémoire
laissant venir
un dessin un tableau
par l'Effroi l'horreur
insister tenir en crevant
passer à travers (la grande)
et mourir
dans le Camp
du fond du tombeau
ce ciel mort donné
à l'imaginaire...

Non en fait l'épave
le point d'appui
la Vérité l'a emportée
Quel est ce quelque chose
de RIEN maintenant...
Qui voit que voit-il?
Et la suite
L'oeil la peur
le cul le procréant
Et la Disparition
en Fin...
D'où vient cette lumière
les formes ces couleurs
de la Nature natures
cet éternel
recommencement
Allons inventons-nous
un désir autre
Déjà c'est repartie
du mot désert
qui en dit beaucoup
empires chameaux
bédouins sages
philosophies religions
politiques économiques etc.
forgeant une histoire
mais histoire
celle où naît le n'être
Mais d'où ?
Où ?
Vers quoi ?
Songe envoûtement
mirages un théâtre
un livre un stage
Vérité ou mensonge
so what !
Que ça tienne
à partir de la fin où
d'où voudra
que finisse la chose
de quelque chose
de RIEN la MORT
du mot du livre
de la vie...
Comme poubelle
ou plus belle encor
à survoler
par les lignes célestes


Lacan *


Comme Un Tableau


Petite Fête 
Pour La Fin D'Un Compte
Tour


Au fond
tenir léger
entre deux
la ligne
ni blanche
ni noire
ni grise
un incolore
pas né pas mort
pas ressuscité
plutôt un ne pas
vouloir du TOUT
sans émotion
coincé en UN
ou en uns parfait
aveugle insipide
amorphe indifférent
d'ennuis Disparus
chiffré en boom
booms Spectraque
et échoscomique
par la Nuit
éternelle à sang
et à sacre
abattoir
crimes de Guerre
et des silences
les mêmes
pas complices
mais tyranniques
en UN dit parue
au début du verbe
livrant dès le début
sa faim Goya Saturne
ou la peau câlisse
dévorant l'organe
esquissé pour faim
de Vie...sans nom
car Dieu c'est sa fin même
en son projet
sa mise en oeuvre
son monde à sa perfection
...
Le verbe se fait cher
et de l'errance à la mort
de Bloom (maladie
de coeur) créant
du même coup
la douleur chez les moines
de l'abbaye du col
du Grand Saint-Bernard
qu'ira rejoindre
peu de temps après
Béla avec percussion
et célesta
Ceci in mémoriam
d'anciens envols
La psychanalyse
étant une pratique
de bavardages
là quand le dire
devient échec
et la comédie
passant au Boom
sans aile et sans père
à la société
de psychotiques
puis celle du crime
à celle d'horreurs
par milliards
de mimétismes
vers la Mort
et ART de quoi ?
toujours à VOIR
Et qu'est-ce que l'ART ?
Inutile libre
et inestimable
en son désordre
cadré structuré
d'admirer de bien de mal
qu'exauce le grand oui
du saut dans le ciel
de nulle-part
hors la tribu du tribut
à la quotidiennerie
hypothéquée festifs
du dernier repas
au Spectraque
des Disparus
Et puis s'en est assez
des ficelé bien payés
du pogrom programmé
entre eux dévoreurs
pilleurs prédateurs
de la petite maison
Jaune Soleil à penser
tenir indifférent
sur la parois du vertige
du petit dessin tableau
Alors continuons
le SILENCE
pensant en verbe du dire
rendant visible le visible
disparaissant à vue d'oeil
par imbroglio des mots
en tour de bébelles
Qu'elle affraire...
Art de sortir du sort
des dés pipés
aux pipes ordinaires
et pipes à m'agrippe
à autre chose
que pipe à maman
que la MORT
de Nature natures
en ficelles mimant mimés
l'explosion démon
graphique d'atomes
à foutres la mère lut
la bile à la bible
et ses saintes saletés
de multiplications
des pains en peines
capitales

Que de mots pour RIEN
mais les maux les vrais
des enfers à boucher
les trous par un tour
d'écrou d'Henry
par petit
tout petit signe
signes tenant lieu
pour VOIR les motions
du bon Dieu
devant l'ART et ses prises
"Nous cherchons
partout l'Absolue
et nous ne trouvons
partout que des choses
contingentes" *
et s'y tenir de rire
éloignés comme cela s'écrit
de cris en sourdine
pas là mais LÀ
"la comédie peut-elle
nous paraître
savoureuse
sans un souffle
de mysticisme ?" **
Élue ou passeur
ou bien encor
le sainthôme de Joyce
Proust Scelsi Artaud...
tous créateurs de lieux
par la quête constante
du souffle de création
contre nihilisme absolu
une guerre à finir
et qui gagne
père et mère
à la sainte famille
au cul et la politique
échomomique
comme le temps
de la dette
disparaissant
de survivre...
"Le monde
a perdu son innocence,
et sans innocence
on ne crée et on ne jouit
d'aucune oeuvre d'art" ***
de ventre à entrailles
en tubes digestifs
et en Nature de natures
disparus par l'art
en un bouquet
de fleurs offert
à qui de droit
avec encadrement
emballé et livré
n'importe où
au-delà du ciel
et de l'enfer
...ICI MÊME
en ces instants
d'éternités
Signes insignes
sortant de signe
signes par le flamand
des rives larguant
l'envol de lumière
Art de quoi ?
Quand l'esprit
n'a que des corps
invisibilisés
monnayés
(monnaie vivante)
mon Est mort
Monet et l'or
de Klein
sans faire de seine
...Destruction
tenir faire retenir
en vive mémoire
tout doucement
sans faire de bruit
reconstruire miettes
poussières scories
insister sur l'impossible
le demeurant
Tout est déjà bouclé
même le RIEN
...Risible...
Suffocation
Au-delà...
de l'air du vent
par le souffle courent
les poussières de songes
la pluie
l'orage...et puis Non!
L'espace dur lourd
encombré
(malheur où croît
le désert) Nietzsche
Désert et ses sages
et les petits oiseaux
crevant de roseaux
pensant Blaise ou pas
Regarde la PEUR
le vertige la MORT
ENFERé...
Mais qui va là ?
Y a quelque chose
mais quoi ???
Ah! C'est vous.
C'est pas lui
mais l'autre on
(la masse)
attendait l'UN
des uns le Tyran
Dieu par la queue
de petite à grande mort
la fin coït quoi...
...Petits dessins
tableaux
points d'appui
épaves sous le feu
de la mouvance
totalitaire
Art de Voir
dans l'oeil aveugle
...par la lumière
le sans pourquoi
déraisonnable
de la beauté
à sa capitulation
orgasmique
sacrificiel officiel
imbécile...etc.
Ensuite ?
Art oui art de quoi ?
Éthique esthétique
socio psycho
et ismes d'en avant
la sisique
De la lumière
dans le cadavre
pour une archéologie
d'amour et d'extase
par le RIEN
dans quelque chose...



Novalis *
Balzac **
Grillparzer ***


15 juil. 2017

Flottille




Inutile de même de dire
quoi que ce soit...
Tout se retourne
en contradiction
Au fond il n'y a
jamais rien à dire
Alors dire le RIEN
ce qui sera tout
tantôt intéressant
mérite attention
ou encor
se retient qui sait
...L'inutile pourrait
bien devenir utile
pour spécialistes
de l'humaine
présence socio
quelque chose
psychos quelque chose
esthético quelque chose
économico coco etc.
Mais pour ce qui fend l'air
s'écrabouille
au fond du tombeau
dans l'arène
ou l'estomac du grand tout
qu'est-ce que créer
des touches de lumière
par ce vertige de douleurs
d'insensée présence
cul-de-sac
cet univers de dévoration
ou réussir le nom
vivre sa vie
en se sidérant
constat de quelque chose
d'innommable
catastrophique
déconcrissant
toutes résistances
en points d'appui
Hommes sociétés
dieux Dieu qui meurt
En ce TOUT qui meurt
qu'est-ce que Tenir
veut dire?
Formes de cries prières
poèmes à lire
dans les tranchées
bouées sur la mer en furie
distractions pendant
la grande bouffe
de quelque chose
Flottille sur ce qui
disparaît dans l'invisible
absolu

Une pluie de chairs
en suifs de cavernes
signes de morts à morts
par la splendeur
d'attrapes souffles
couilles...au Camp
de taire l'affraire
pour passer trépassé
en sourdine
sortir d'icitte
au plus câlisse
pour Nulle-Part
ailleurs qu'icitte
en pas là prenant l'air
de RIEN sous le ciel
de Paris toujours
en guerre mieux
qu'avant mai
soixante-huit...
"Dites-leur que cette vie
a été pour moi merveilleuse"*
au-delà et bien du mal
en l'infini où meurt
l'Amour

Sous l'hydrogène
en retombée
sur la poussière
des masses milliards
de pas là
disparus aux mangeoires
des morts anciens
UN par uns
de dupliqués en lui
disparus armés
jusqu'aux dents
sans part au tableau
de lumière
du dut de devenir
(lux calme et volupté)
du beau de l'air
par les soirs bleus d'été
Arthur rêvant la fraîcheur
crevant se noyant
tenant sur les falaises
où tombent les ruines
des en faire affairés
d'UN songe de Tyran
battant pavillon
sous le soleil
de bataille mal compris
la main dans le sac d'Edwarda
suite s'ensuit cent fond
deux quatre
incolore multiplication
de folles cellules
sucées par la mort
de la Mort
emplie d'infanticides
hors-d'oeuvre
peint par Francis
Oh joie!
...en flots de jonquilles
pour l'aile des pensées
LÀ l'instant d'éternité
sachant évidemment
éminemment
que s'est à reprendre
depuis le début
par le schisme
des organes du parti pris
de l'insaisissable
RIEN à oeuvrer
en flottille de petits
points d'appui

Wittgenstein *

Main


Quoi de pire
que l'Enfer
en vérité


De toutes petites
vérités de lignes
au sentier menant
de pas là à LÀ
de préférence
anse niche abris
des dires
inécoutés 
noir en gris 
des couleurs
venues de la docte
ignorance
ayant entendu
le ciel de l'esprit
et ses frissons
faisant s'ébrouer
les anges à la joie
du rappel
De là mais est-ce si sûr?
Et où cela a-t-il lieu?
Nuées de désirs
d'apparaître demeurant
l'espace du tableau
à sa place en don
LÀ tous à notre place
après la longue attente
en Silence et l'effroi
dans l'avaleuse
où tout est égal (all-over)
comme un Douanier
ou Pollock
Après la perte de la terre
et du ciel et la dérive
des continents des planètes
perspective d'ailleurs
autre chose ICI
bruines pluies d'émotions
fébriles tremblantes
dans la lumière
d'un noir Manet
point rouge
et partout de la musique
blanc et noir
Vélasquez ou Goya
Picasso ou Lestié
des taureaux
des chiens des chats
des enfants en des guerres
par la Guerre perpétuelle
le Camp
et de la peinture
pour ne pas trop
s'écraser s'évanouir
disparaître en je
vous tu malbrouck
mirliton au spectraque
des nouvelles
mise en bières
pour lui l'autre le même
UN et l'assiette au beurre
de quelque attrape
de quelque chose
(dés pipés cul-de-sac
raison cadavérique
de l'autre et à mont
cage enfer...)
Où suis-je...
et qui suis-je après tout
suis-je je ou et d'où
vers où???
Petits dessins tableaux
sculptures
autant d'inutiles
au jeu de l'extase
et la joie d'admirer
tenir l'imaginaire
en pleine vivance
avant pendant après
la mort
Enfer de qui?
Enfer du je nous
quotidien du pain
pain contaminé
d'eau pourrie
des mers et perd vers
de sa multiplication
S'agissant de Disparition
tenir mémoire
refaire le pot cassé
en cris crise
des naissances anciennes
fientes d'organes
organisées
organiquement
pour de là voir
la couleur
que l'Art inutile
exauce de son Silence
petits nids de falaise
d'où sauter et distraire
la composteuse
qui sinon t'attrape
en tombant
colle au Spectraque
momifié marionnette
assaisonne le repas
du guerrier
annihile la poursuite
du retour
au chemin de l'Attente
de l'autre bord ICI
la tête dans le cadavre
d'éternité