6 janv. 2025

Mots Arts


Dire pour ne pas... .
garder dedans dehors
ce qui des mots
sans la vérité
deviennent
intelligents
avec l'art savant
de l'apprentissage
au devenir
le miroir
menant mené
maître de la bande
à bon dos
TOUT
à été dit
ce qui demeure
est 
la nature
et ses belligérants
naturellement
dans la pomme
de dix cordes de brins scies
Là 
sur la scène
de lui l'autre
un après
le suivant
de ce qui devrait
à été
seras... .
au passage
où ce qui est
EST
et la question meurt
à demeure
les temples de la renommés
par son guide
niche pain
encore
la frappe en girouette
des élus 
de l'histoire
et le rire 
égalitaire
de la lumière
surtout ça
La lit et rature
et l'ensorcellement
des mots
en un maux
la
MORT
à l'oeuvre
au passage... .
de quelque chose
d'amoureux
pour un petit dessin
antre-nous
les aimé(es)
du 
secret silencieux
de l'image



Démolir 
il en resteras
ce qui
EST
tout
pouvoir 
est
TOUT
en
TOUT
et pour
TOUT
de quoi s'agit-il
cela reste à
VOIR
et les faits défaits
à volontés
d'une histoire
arrangé avec le gars
des vues
Alors il était avait été
seras
seul un dieu
tyran ou innocent
pas coupable
où d'où vers où
8 milliards
tombant
NATURE
natures
contre nature
aimée
en des inconnus
dedans dehors
et la main dessinant
pour le conte
d'amouir
et avec parfois
le douanier dédouanant
Gaspar
Gilles
et le radeau de la mésuse
du grill
de l'ogre grotesque
anthropophage
NATURE
natures
en la 
MORT
morte
Petit dessin
sur la paroi
d'EFFROI



Choses... .
errance
qui là
omet
l'élection
en la lumière
d'ABANDON
en l'enfer
gardé sous silence
par les aimé(es)
au passage
là un tyran
là un dieu
là un savant
là ceci cela... .
( que le monde soit
un gros tas de cacas)
pour les martinets
et le désir
d'aimer
ou une beurrée
de tous les instants
philosophiques
ordinaires
poupée rustre
ou american gigolo
de la terre et du ciel
les animaux en payent
le prix fort
et la nature... .
Ô
passage
cela ne meurt
Dantesque 
ou
Dostoïevskien
Lascaux
Lascall
par la défenestration
encor
halte tu sert
la
MORT
en la vérité
de quoi que qui
de la
Mir à Miró
ou 
sur l'air de ma chandelle
est morte
et mes étants
gisent
Gellée
en la nature
aimée
malgré
TOUT



Tomber en volant
là où
des mots 
de la langue
linguistique
fait l'étude
du comment
et du pourquoi
de ce qui tombe
sous le sens
l'essence
de ce qui est donné
en arrivant
en Cacanie
muselant
la part
d'où
non pas du dire
mais du non dit
de l'héritage
de lui pas celui-ci
l'autre
Sade ou Girard
en un jeu
de cruauté
attendant les mises bas
( méfiez-vous de vous
 et de moi )
en attendant
Godot
et après 
Beckett
et le monde en bout 
de pisse
et du siège
où ça sent l'être... .
Temps mort
et l'oubli
des aimé(es)
contre mort
sans suive
la pulsion
capital
de l'enfer me ment
en ses défonceurs
de portes ouvertes
en ce que doit
être ou pas
sur la scène
cannibalesque
entourloupant
le petit le grand
de la misère
terrible
et 
l'EFFROI
de la froideur
de la
MORT


Hors D'Art


Art du Silence
histoire de dires
et d'autres
être ou pas
de
William
et
Vincent
après et bien
le
Conte
le sien... .
pas celui des chapeaux
de
Renoir
et de la farce jouée
par tous
Ô
PASSAGE
de librement
amoureux
de la nature
et ses leçons
de l'instinct
d'AMOUIR
après les intelligents
savant de la bottine
et des bottes
de lui l'autre
si c'est pas moué
ce seras... .
ia
sous la surveillance
du grand ordinateur
sur la 15ièmes
pommes 
du pommier
de la gang
à 
Castafiore
du perd la chaise
de ce côté
est vu qui croyait voir
et va louper
le pris gigolo
dynamité
par celui du bébelle
les têtes pleines
de la cochonnerie
en mots pour tromper
 l'ennuis
d'en finir avec rien
par le dernier du début
de la spirale
agglomérant
l'histoire 
de la torture
des aimé(es)
Ce mot 
AIMER
ou bien
répugner
à vivre
La Porte
des choix
est et reste ouverte
Jeu Axelos
ou encor
petit dessin
contre mort
contre-fort
et fortification
top secrète
de la stylisation
non stérile
en la
MORT
morte
Huit milliards
et
TOUT
ce qui va avec
les guides
( Le berger ce plus dangereux
pour le chien de berger)
et 
Dieu 
sait quel leurre
il hait



Nul n'à jamais
aimé sans dessiner
pour le petit prince
ou pour les aimé(es)


se main tient
l'Axe-d'Abraham
antre 
 coeurs
de vivances
défaisant les faits
de l'horrible
NATURE
natures
pour une tasse
de thé des bois
en compagnie
des célestes
L'HORREUR
inattendu
ICI
MÊME
D'AILLEURS


VOIR
c'est aimer
les êtres vivants
pour de vrai
l'acharnement
à comprendre
la misère
ô passage
sévère
après 
TOUT
et le courage
du non
à la
MORT
jusqu'au dernier râle
de la belle nature
aimée
L'égo
du
TOUT
en l'éternité
pour courir
courant couru
sans être au courant
de qui courre 
quoi que cela arrive
en
TOUT
de la
MORT
morte
ICI
MÊME
D'AILLEURS
et bien qu'elle affraire
pour le dernier
mot ment
moman
en la tranchée
des idées
de lui l'autre
''...L'infinité
est incompréhensible
à tout mode
de compréhension... '' *
 Qu'est ce que 
L'ART
VOIR
voir
et fait voir
détache
distancie
et écarte
de la raison raisonnante
de l'ennuis
Aimer 
de toutes manières
et la raison
du coeur
n'à plus sa raison
d'être
en l'ère de la 
grande distorsion
de la lutte finale
AIMER
avec ou sans
quoi que ce soit
le
TRI
se fait seul
demeure le secret
inépuisable
de la fin des temps
à la mort 
de la 
MORT
morte
Et bien... .
Qu'est-ce que
ce que 
l'ART
a à voir
avec cette encombrante
approche du vivant
et justement
( iris tournesol
souliers
boeufs écorchés
corridas
portraits
de Bacon
contre l'approche abstraite
deleuzienne
les fées
muses
et la beauté
des bêtes
toutes en vérités
la vrai vie
visible visible
et contre
la
MORT
morte
des faussaires
rusés
caméléons
des chemises
noircies
de
que 
l'IMAGE
voie)
dépipant
les pipés de m'agrippe
un jour en pleine nuit
et pour la deuxièmes
vie
on peut mourir
d'être éternel
Alors 
immortel
et noui
allons y pour les vies
successives
et la
MORT
piégeant
(suicide)
DISPARITION
indéniablement
la même
venant à bout de
TOUT
depuis le début
de l'histoire
de
 l'ART
et ses représentations
On Verras 
QUOI
la fin de 
l'ÔMME
miné
sécularisé 
c'est cul là l'homme
Traitre 
au trait
prolongé
de la
BEAUTÉ
du monde
Alors après
TOUT
ICI
MÊME
D'AILLEURS



Encre De Chine
crayon
acrylique
sur papier
Fabriano
2025


 De Cues*

5 janv. 2025

Coup Devant


Rien du 
TOUT
s'en tenir
au sort 
donné
pour hors de tous doutes
et aux mots
de l'histoire
concluant
le mystérieux
passage
des misères
en la prédation
du peu 
de possible
ICI
MÊME
en la redite
de la perception
du terrible
en la lumière
où seul
l'art
en l'instant
du visible visible
va retenir
la prédation
sur la fresque du temps
La vérité
sous le
 seul'Oeil
posé sur le terrible
qui n'en fini pas
avec la pulsion
du donné
de la
MORT
morte
Qu'est-ce que 
L'ART
de là
NATURE
natures
hors la nature
d'amouir
du noui 
et de l'inouï
 désir
main tenant
en larmes et dans effroi
la désobéissance
d'obtempérer
à l'instinct
du ressentiment
contre
 la nature
et l'art d'aimer
l'AMOUR
en ses tristesses
infinies
tempérées
par le 
que ma joie demeure
persiste
par les contradictions
et les terribles
conditions
du vivant
de l'inquiétude
et des larmes
d'ABANDON
en la
MORT
morte


Naïveté
de
L'ART
posé sur l'abysse
infini
dedans dehors
lutte 
sans fin
pour
 l'inutile
avant
TOUT
ayant main tenu
en la lumière
 toutes les couleurs
données
depuis la nuit
respectueuse
de la question
de cela
EST
et qui malgré
la
NATURE
natures
des grognements
aux désastres
dedans dehors
et les maux
de la
MORT
morte
au spectraque
exterminant
les aimé(es)
de l'errance
et de la perdition
infinie



De meurt
L'ART
après
TOUT
en signes
sur la parois
des larmes
d'outrages
et de la folie
assassine 
uni-vers
l'apocalypse
et du pour en finir
avec quoi que qui
de lui l'autre
pas celui-ci
de la révolution
du
RIRE
de la bataille
de 
Lascall
on the 
Titanic
vers Jonestown
et du dessin
inutile
vivance
où s'éteint
les baleines
et la lumière
de la nature
aimée
de 
l'ART


Dernier
guet 
sur le genre
et la proématique
ayant épongé
l'antithèse
de la 
BEAUTÉ
d'élévation
par les aimé(es)
du sacrifice
( Tarkovski... .)
mais encor
ces moments
mortelles
mortifères
de l'anthropophagie
d'ingratitude
envers... .
QUOI
 Qu'est-ce que
L'ART
émondé
en son don
osant 
 sa vérité
naïve
en toute 
connaissance
de cause
Vertige
abyssal 
présence
et terrible
MORT
morte
déniée
et trou noir
d'OUBLI
Alors 
L'ART
de là
et les chapeaux de
Renoir
et les fenêtres
du poulailler
et le suicide
du peintre
et des bombardements
sur l'innocence
de la
vie
qui tue
avec ou sans 
la guerre
yes sir
pour en finir
avec 
RIEN
Qu'est-ce que
L'ART
après
TOUT
à vu
le vertigineux
 l'abysse
de la
MORT
morte
et ses serfs
innocents pas coupables
de si c'est pas lui
c'est l'autre
Alors ce qu'un humain
trop
humain
peut faire de mieux
un petit dessin
prenant parti
pour le socle
du
 il y a
TOUT
et 
L'AMOUR
au passage
du pathie
et de l'orgueil
sublimé
VOIR
tendre et tenir
au vrai
de la résurrection
( La vision de la face
chez de Cues)
ou encor
LA MORT
refusant
se faire reconnaître
par
 l'élévation
d'un dessin sacré
la main tenant
à distance
de perception
et en garde à l'oeil
contre
TOUT
du sauve qui peut
où personne ne se sauve
de
Lascaux 
à
Lascall
LA BEAUTÉ
EST
au-delà
du pire
 des aveugles
celui qui ne veut pas voir
et chassé de ce
PARADIS
kafkaïen
là où 
L'ART
socle
sa présence
absence
et dessine attendant
l'impossible
possiblement
ce peuple qui manque
et demeure 
sans mot
qu'un trait dans le sable
du sablier
de l'histoire
subjectivement
un
CONTE
en souffrance

Bébelle



... .Et de l'ART
en temps de bébelles
et
d'ABANDON
en melting pot
revival
de reconnexion 
avec le lumineux
art
de la symbiose
entre 
la mort et la vie
vers ce qui du fragile
( asperge meule de foin
iris et nature morte... .)
et la mise en tutelle
de l'esprit
restant
de l'ART
et qui sans lui
pas de société
et pas d'intercesseur
entre l'animal
et le sacré
ce qui veut dire
retour à la matière
innommée 
innommable
et du seul un dieu
avec d ou D
encor le plus grand
que
TOUT
qui est hors la portée
d'une saisie
opportuniste
et guerrière
( qui veut faire l'ange
fait le diable)
Qu'est ce que 
L'ART
( La folie chez Foucault )
ce manque d'oeuvre
et qu'est-ce que
l'Oeuvre
après
TOUT
Entre Rothko
et Koons
deux extrêmes
d'insignifiances
le dieu de l'un
le dieu de l'autre
matière et esprit
scindés
divisés
alors que la quête
la recherche
( le paradis
chez Kafka
ce qui à été perdu
sinon le Paradis
aurait disparu )
ou encor
chez Deleuze
contre Hegel
spinoziste
et bien le dieu
du monde
diffus 
(infiniment  petit et infiniment
grand)
conscience
VISAGE
(vie-âge)
chez Levinas
Alors
l'insignifiance
de l'un de l'autre
en l'enfer
des luttes sans fin
pour la domination
du ciel et de la terre
alors
L'ART
contre ce qui porte la limite
hors le sens 
apocalyptique
d'orgueil de ruse
et matière à trafiquer
le
verbe
qui c'est fait chair
Art
intercédant
inter cédant
auprès 
Ô
+
près
du comprendre
la
BEAUTÉ
de la nature aimée
contre la mort
MORT
morte
NATURE
natures
ces simulacres
du terrible
en diversions
vers le retour
au néant
suicidaire
humain trop humain
DISPARITION
L'ART
de Lascaux
à Lascall
perception
émotion
antithèse
de ce qui dès le début
EST
conscience
de l'autre
en soi
du vivant
que l'ART
main tient par la distance
d'aimer
ce qui est à comprendre
qui
EST
persistant en la lumière
des aimé(es)
ART
de la noirceur
des grottes
aux clartés brûlantes
d'ia
l'histoire
en signe enseigne
(de tu ne me cherchai pas
si tu ne m'avais trouvé)
Pascal
ou encor
Alors le seul un dieu
heideggérien
führer ou de paix
dans les bruissements
poétiques
ou bien une proématique
de pathie
du vivant
 Ô
sacrifice
d'aimer l'art
pour en sortir
de la 
MORT
morte
et du bouc 
girardien
pour une résurrection
par le désir
d'améliorer
la tendre contradiction
d'amour et de haine
( charniers abattoirs
et l'absence
terrible d'empathie
des sacrifiés
en la nature souffrante
et divine
pour la construction
de
Bébelle et du BBQ
d'extermination
NATURE
natures)
Qu'est-ce que
L'ART
et la religion
et foi
pour un contre pogrom
ART
des signes
main tenant
le passage
de la vive mémoire
in memoriam
lumière
vers... .
ce qui porte la question
de la main aux signes
au verbe
et de la vérité
du
EST
il y a
origine du grain de riz
de l'oignon
des tournesols
et de ce qui persiste
après 
Heidegger
et les camps
et la
MORT
de la mort
au
CAMP
de la 
DISPARITION
d'être ou pas
de la question
demeurant ouverte
en l'art
d'aimer

(Gogh
Cézanne
Rouault
Rothko
Varlin
 la peinture
toute la peinture
du bon dieu
en désespérance
d'impuissance
à aider
et condamnée
à faire signe)
et sur
TOUT
l'orgueil
de pas lui l'autre
celui-ci
( L'atelier brûle sauve le chat)
et les prétentions
au chemin
de l'apocalypse
décidé
par le follow de guide
Alors 
qu'est-ce que
L'ART
par ces temps 
qui courent... .



... .et laisser venir les petits
enfants
et les animaux
bien aimés
de la
Brebis
au boeuf écorché
de
Rembrandt
et de la crèche
ces cries de sacrifiés
sang d'amour
donné
bien avant
l'art
d'aimer
chez 
de Staël
Francis Bacon
en doute
devant la religion
de lui pas celui-ci
de qui veut 
l'aura
de 
Benjamin
du pape Innocent 
pas coupable
Pierre Jean 
Jacques
de la courte paille
QUI
de la 
VÉRITÉ
des étoiles
aux poussières
d'errances
où demeure
les aimé(es)
mains tenants
l'AMOUIR
en vivance


Petite feuille
au vent
où dire
n'est pas de l'image
qui n'à rien à redire
du
TOUT
du
Monde
et la mer
 des sarcasmes
de la semelle de vent
poétique
et de la proématique
du jour
 penser
la faille au passage
de l'Axe-d 'Abraham
d'en attendant
Godot
du
TOUT
est foutu
en du seul un
Dieu
peut encore nous sauver
de pas lui l'autre
celui-ci
où pas... .