10 sept. 2024

Encre De Chine


Enfin
dénotant
de vieilles notes
d'après
je ne sais quoi
de qui que vers
après 
TOUT
de quoi après
L'ART
ia après la destruction
il reste
ô
ce qui du désert
nietzschéen
LA MORT
n'est nullement
dérangé
par la totalité
des morts
sans dessein
qu'un magmas de pourritures
univers
là un météore
là du dépotoir
d'espèces
darwiniennes
là des brises légères
ignorées
des vents mauvais
et des grognements
ensuite des claquements
dedans dehors
des signes
flottants
épaves
de sans sens insensés
froideurs
infinies
et d'indicibles
perfections
d'intelligences
copies copiant
le
UN
des uns
uniformes
et puis 
pissé 
TOUT
en forme
de ceci cela
comme on veut
il y a vais 
Ô
des mères
d'enfantements
sous l'essais
infructueux
d'absences
à jamais plus
L'ART
d'embellie
par le mensonge
de la vérité
du secret
divin
d'après
TOUT
Alors et bien
des spermes
de guerres
aux spermes suicidaires
et de la 
MORT
morte
et le feu sacré
à l'Oeil
des résurrections
de l'aura
de l'Ange
d'au commencement
était
ô
tendre
désir de vous
nature
où 
Blake
de compas
sans loi 
et sans sans
hors les gonds
de l'enfer et du ciel
élus
de la main tenant
le s'Oeil
solaire
des failles
lumineuses
de l'amouir
au fond percé... .
'' La souffrance d'autrui
est quelque chose
qui doit s'apprendre '' *
en ces maux
de passage
qu'est-ce que
L'ART
et
Dieu
sur socle et poussières
de la mise
errante
d'où où vers où
après
TOUT
qui disparaît
innommable
FIN
de là
l'infini
triage
des épelés
vers compostelle
de la rose
c'est la vie
retour au pogrom
programmé
des mises en scènes
théâtrales
sans Cronos
à la recherche du temps
perdu
oublié
sans mémoire
et puis histoire de dire
qu'Ô
Conte
à labours
des folles du logis
retournant sans cesse
les pierres
où git
ce qui sent l'être
d'art-ô
ce corps
 cso
de la mère allée
avec le perdition
sortie du 
ciel de l'esprit
en ce négatif positif
Phoenix
des éclairs de consciences
en queues de poissons
Rostand
va épouser
Mante
et les étants wawarons
chante la liberté
avec 
Leclerc
autour de l'île
aux grues
Déjà l'histoire
du rire
bataillien
de l'impossible
vivance
va et vient
visqueuse
éternuitée
vers 
Nulpart
après l'il n'y a plus
d'après
de Guy
de Léo
et Jacques
mort aux 
Marquises
le vent dans l'air
et les songes
de nouveaux mensonges
en vérités


Encre de chine
et crayon sur papier
d'il y avait
encor un motif
à persister
tenir
pour les hautes auspices
de l'errance
et des terreurs
hasardeuses
imprévues
et quotidiennes
en SEULe
les mêmes
rupestres
en l'en faire
pavé du bbq
de l'autre pas celui-ci
et l'abime 
inchangé
depuis le début
de la parois
des lamentations
des anges vers le plus de lumière
Goethe
ou encor
par la désespérance
bien vue
des suicidés
''...heureuse fins du mal de vie... '' **
que la mort
enfin ceci reste à confirmer
et puis à chacun la sienne
Maria Rainer
et Hegel
Bataille
et en fin
la fin du monde
et de 
L'ART
dernier bastion
d'amour
jouvencelle
et enfantin
mensonge de l'art
et de
 l'AMOUR
jeu sérieux
des chéri(es)
Au fond et avec
 Roth
et du comment mourir
à jeun
de la démolition
du sujet je
et partir enfumé
de n'importe quoi
d'autre.. .
'' La réalité dépasse la fiction
mais les mensonges 
la dépassent 
bien plus encore '' ***
et qu'est-ce que ça veut dire
ce que ça veut dire
d'Alain
et le retournement
du bbq
une belle fin de semaine
avec
les pastiches en postiches
de la triche en 
TOUT
de la jungle sans 
Rousseau
en pleine nuit
avec un taxi volé
au compteur
de la
DISPARITION
sans visage et envisagée
la pulsion
des 100 mrx
et le prix pris 
des chairs
euthanasiées
par la
MORT
morte
sans douleurs
ia technique
polluant les cendres
dernières
fin du monde
pour pots de pistes
et de la cacadémie
de ses ponctions
dernier maux
à dire
la
avec Pascal
( Nier, croire et douter,
sont à l'homme
ce que courir est
au cheval )
il y a
de l'étable
sous la selle
encyclopédique du 
rien ressentimenteux
à la mesure
de l'ennuis
au lever
de rideau
de vent les pots
chambrés
de lui l'autre
etc cte tec
Alors dire
pour l'image
et seulement
de la transcendance
en point d'appuis
LA MORT
morte
n'à pas d'importance
la seul
et unique s'il y a
et bien ce seras
pour en déguerpir
au plus vite
en dessinant
des choses à aimer
retenant 
les signes traités
antre-nous
les aimé(es)
'' La mort habite
en mon esprit
parce que je l'ai VUE.
Ce seras comme le voudras
le destin.
Et tout cela n'est pas
gai'' **
Bon soit
la lumière
est était seras
inoubliable
assuré
de l'insensé
merveilleux
'' J'étais une biographie
en mouvement,
une mémoire
jusqu'à la moelle
des os'' ***
jusqu'à la pompe 
à essence
au jus ancestral
des aimé(es)
Encor
et sur
TOUT


Encre de Chine
et crayon
sur papier



Nietzsche *
Redon**
Roth ***

Noway


... .et vulgariser
traduire
traitrise
et avancer
en reculant
montant tombant
arrière devant
dire redire dédire
dépendant d'où
à qui à quoi
là un pot de pisse
un balais
passant les loups hurle
ou encor
l'avis de la vie de 
ce spécialiste
capitaliste marxiste
maoïste
nihil
ni de poules
où se casse les opinions
de m.mde
Alors Ingres
Delacroix
Degas
Vincent
Cézanne
Bacon
la reine d'Angleterre
et les culs de jatte
un dimanche
avec Lautrec
et puis kieffer
de mieux
que d'éclairer
créant des attentions
jouant 
des muses 
s'amusant
sans le musé
des morts qui marchent
avec les marchands
brigand le souffrage
universel
aux immondices
boursiers
spéculant
sur l'oeuvre
du pauvre Jeff
terminant sa course
gonflé
de désespoir de voir
la vérité
en art de passer outre
à la création
hors champ
de leurre
des magnats
du réel la main dans boite
de pend dort
avec l'art de tant de
pas foutu... .
Pas à pas
de la pitounne
sur le rivière
des mots
qui dravent
le temps qu'il
faux croire
l'art d'un produit
de consumation
des simulacres
pharmalimentaires
pour guérir
le fait que la réalité
ressentie
par un nu descendant
l'escalier
de Mutt 
ou encor
la chaise de
Montaigne
la chambre de Kafka
et le devenir
Samsa
ou cso
de leurre ou pas
Deleuze
et la justification
d'adaptation
en avançant
avec Sam
et laissant là
l'invention
des pots de pisses
des sacs à mardes
des prix cocos
de guerres mieux
au mouroir
de croyant croire
à une valse
à trois temps
avec coiffé
du
4
après l'art
d'apprêter
l'apocalypse
avec les épelés
ia
plus grand chose
après après
et bien
de là
à l'attente
emprisonnée
du tour d'écrous
de
James
et d'Hegel
bataillant de là
des sectes air de rien
tenant de la marre
aux sons
des lucioles
éclairants
du
UN
triangulé
étranglé
du 
TRI
insaisissable
de la
BEAUTÉ
ART
suprême
de l'embellie
antre-nous
de l'Oeuvrage
non pas 
du grand oeuvre



Ancre de Chiasme
et crayon
sur pépier
et point d'appuis
ici
d'AILLEURS
main tenant
le crayon
hors la mise
errante
de la 
disparue
NATURE
natures
vert la nature
aimée
de rose
de
Personne
avec Homère
Célan
histoire en conte
pour l'Axe-D 'Abraham
raconté par
Job
sur l'échelle
de
Jacob
et bien après
le futur antérieur
de
Noway
Ceci ne changeant 
rien
aux affraires
de ce monde
et en
TOUT
ce que veut
la part mot dite

8 sept. 2024

L'Union


'' Naître ce n'est pas
venir au monde
Naître, c'est venir dans la vie '' *

Bon oui
et quand le tenir
passe
par la main tenant
l'en jeu
de la lumière
qui
EST
et objectivement
égale pour tous
et bien... .
IL Y A
là du
PARADIS
en fait
et l'enfer
de meurt
en la demeure
consentant ou pas
Il y aurait de 
la Sainte-Victoire
de caché 
là-dedans
et pour amplifier
le lumineux
dessiner peintre sculpter
composer
proématiser
l'IL Y A
en faire du bonheur
en bien ou en mal
et situer
l'assise
d'ÊTRE
en sa part
de
DON
reçu ou donné
Ce qui
EST
nature
toutes choses
voulant persister
en sa difficile
appartenance
à la pensée
oeuvrageant
à la splendeur
d'AIMER
quoi... .cela arrive
SEULe
et de là
un petit dessin
un air de l'eau
et des tristesses
infinies
contres morts
en un présent
de création
en la création
nature
nature
( la vie est un état de malheur
radical)
d'Arthur
et sous la lumière
de la vérité
les milles embellies
guidant le peuple
de la mésuse
Géricault
la main à parois
des signes
à créer
l'arrêt
des milliards de morts
éconduit
vers l'égout
univers
compostant du même
exterminé
d'être né
pour des moments 
chairs payés
hors la vérité
d'être en vérité
pour la
MORT
morte
Et du moment présent
une vie
la
MORT
en somme
appauvrie
des richesses
de ce monde
et de 
Nature
naturées
au passage
de la grande 
dévoreuse
et au hasard
de la naïveté
de l'histoire
en lui le même
UN
des uns
qui se désigne
par dieu sait qui
d'intercesseur
vers le plus grand
que
TOUT
et qui se pense
là 
le chemin là
l'enfer là
le 
Nulpart
et les îles Moumouques
ou les
Atlantes
et encor
le triangle
des Bermudes
aux Galapagos
et 
TOUT
risques
terminant
le darwinisme
et l'atomisation
finale
de l'espèce
vers Compostelle
ou bien
des mots à maux
où ce qui se donne
pour la maintenance
de la perception
orgueilleuse
de la
MORT
morte
des épelés
Ô
TRI
de L'ART
pour ne pas mourir
de la vérité
du mourant
ia technicalité
dernière
de
 L'ART
de tenir 
tête au jeu
indécidable
de mortvie
IL Y A
de
L'ART
et puis la perception
de quelque chose
qui montre l'horreur
et les beautés 
du jour
qui signe d'un trait
Hokusai
et s'en va vers sa nuit
noir où 
la grande dilution
et c'est
TOUT
milliard trilliards
d'infinis
  spermatozoïdes
hasardant
l'entrée
à la lumière
du temps illusoire
sur le seuil
de la
MORT
morte
NATURE
natures
là Spinoza
Schopenhauer
Henri
et là boudant bouddha
et puis
L'ART
lumière
main tenant
le tenir
au trait
prolongé
de
 l'IL Y A
rupestre et pestilence
de la misère
à être
et retenir
les aimé(es)
du vivant



... . et de cette histoire
de technicalités
pour ou contre
de quoi quo qui
ce soit
et de qu'elle prétention
humain trop humain
encor
payant au prix
d'êtres pris
au prix des clichés
du paraître
à l'étalage
des vérités
où les bourreaux
sont silencieux
Qu'est-ce que
L'ART
a à 
VOIR
avec cette frime
de prédation
des vivants
à la merci
du monétaire
(monnaies vivantes)
de
Camps
d'abattoirs
et d'anthropophagie
festive
où la gène... .
VIDE
là où l'intelligence
artificielle
les robots
 de Bernanos
et la
FIN
NATURE
natures
à proématiques
LA MORT
morte
qui n'est plus
du suicidaire
mais est déjà
passé
au
TRI
Qu'est-ce que
L'ART
des aimé(es)



Encre de chine
crayon sur papier
tenir l'enfance
antre-nous
à l'abri des enfairés
de la main mise
sur les corps brûlés
de la fête
des morts
sur socles et poussières
de la
DISPARITION
de quelque chose
et 
de
 l'IL Y A
Et dire ce qui se dit
et ce dont il est prévisible
d'entendre
cela va de soi
alors aussi bien redire
ce qui se répète
et fait consensus
dans le
TOUT
polichinelle
du verbe
et ses génies 
de la langue 
et de la réflexions
du réflexe
 de la naïveté
des gardiens
du sens insensé
du fourbis
de la mardemalade
du temps d'histoire
comme tant d'antennes
à poursuivre
l'idée capitonnée
du cercueil
captant 
l'aussitôt né
et béni par le pape
de
 Francis
ivre sur la nef des fous
de Jérôme
 moche les situations
de fins du monde
dès le début
et ces maux pour l'image
pour qu'un bon qu'à ça
alors voici venu
avec 
Jacques
le temps d'aimer
vers les îles
funèbres
avec
 Charron
la belle au bois 
de boue lorgne
vers la reproduction
des destructions
préméditant
le désert des gobés
par les crapauds
de Jean
restant de mises 
errantes... .
queues de poêlons
aux casseroles
de la mine basse 
À la fin
sous le maux
la terrible vérité
de
l'ART
LA MORT
en cache sur le dessus
de la
 Sainte-Victoire
du sinthomme
traçant sur la parois
quelques signes
de l'évanouissement
de la maldie
mal entendu
du sain siège
Il faut croire
qu'autant en emporte
les cannons
'' Le monde est rempli
de faux témoins '' **
alors
LE CAMP
sous le boisseau
d'au champs 
du signe
il seras
il était
des racontars
épelés
croyant de peu 
ou 
Proust
tenir le jour
des noces
le moulin à paroles
du poil de chameau
passant
la six fées lisses
en gun honoré
d'un parmi
 les onguents gris... .
des fins de b-b-q
Enfin bref
IL Y A
L'ART


Henri *
Aragon **


À Larmes


Art 
et ses définissions
infantiles
contre 
l'enfance
d'AIMER
il y a
malgré
TOUT
ce bonheur infini
du cache ton dieu
de Valéry
ou bien 
donner l'image
du don 
de la part de
 re-co-naissance
antre-nous
de la 
BEAUTÉ
du
monde
tranquille exaucé
hors de 
TOUT
doute
et rempli de larmes
Après la mort
de Dieu
des idéologies
après
TOUT
et de là
sur
TOUT
tenir
main tenant
de vive mémoire
in memoriam
d'humain trop humain
du saccage
de la
MORT
morte
et ses goûts où
de la mise 
et erré 
de 
Monte Et Verdi
posthume
à Messiaen
Vivier
Dion
du suicide
par la sot scié et
du si c'est moué
c'est l'autre
de la reproduction
tribale
des pourvoyeurs
de la bouteille
de coke
de Miller
un soir sur big sur
la mer allée
avec le sol si do
échomomique
de Ceronetti
sur la rive
jouant Mussolini
et les files
avec les uns
du
UN
défilant Arianne
et le fouet
de l'état
hegelien
pour la flute
enchantée
de
mots arts
après
TOUT
histoire de pellicules
à la fin 
de
 Pasolini
et halte tu sert
la vita romana
dantesques
parades
et le cinéma
du
UN
des uns tyrans
sur tous ce qui dépassent
la somme et sommets
d'agglutinerie
Alors
des pots de pisses
après
totem et tabous
de la ruade
détrônant
le vide et l'insignifiance
et pris du prix coco
de sa visé
ses culs l'air
Alors la pénis y line
là quand 
de rire
bonnet blanc blanc minet
l'ennuis 
se meurt
quand le roi dort
et Eugène
Leroy
y avait porté
après de Kooning
la fatalité
du pot de l'ennuis
nihilant
le nihil
du présent 
de si c'est pas lui c'est l'autre
Autrement dit
Céline
Céline
et Magritte
magrippe
agrippé
sur le temps
de la
MORT
morte
visant le noir
de la caca démie
de ses ponctions
long berne
de la
MORT
morte


Et des lignes
et des notes dénotant
le temps qui passe
toujours à côté
de quoi... .
de ce qui va revenir
et qui ne seras plus
... . un mensonge 
qui dit la vérité
pour ne pas mourir
mixant lui l'autre 
l'antre-nous
des traits et des signes
signant singsing
en boucles 
bouclant 
la lumière
qui va... .
là se dépiégée
du temps d'aimer
qui 
EST
 seul 
chose solvable
au risque du pire
et des trahisons
inévitables
mais cela 
SEUL
antre-nous
devenus agents
secrets
par la force de l'amour
le risque c'est d'aimer
et cela passe
le passage
malgré
TOUT



De cela à ceci... .


Même
instants
infinis
de temps courts
de tant de
TOUT
qui coure
et moments d'arrêts
d'écrits sur papiers
à des cries
tapés
dans le vide
des idées plastiques
et proématiques
un gros mixe 
de survie
et hors ce qu'il faut
de fôtes
désobéissantes
à la fixation
d'un métier en temps
de
 DISPARITION
là 
on improvise
ce qui aide à vivre
en milles
choses et d'autres
seulement
pour tenir
à dessin
d'en faire la demeure
de meurt
antre-nous
les aimé(es)



IL Y A
tantôt
voilà longtemps
traces et signes
pour ne pas
et seul
sortie
 pour ne pas
être
sans
 les aimé(es)



6 sept. 2024

Dessein


L'ART
est
et plus que
TOUT
que le veille ou pas
le vivant
de la 
MORT
morte
et la magie ou encor
le sacré
ou encor l'esprit
( heureux les creux
car le royaume
des cieux est à eux)
ou ceci
'' Ce que l'on ressent
en tant qu'artiste
comme le vrai et le véritable
semble être en opposition
totale au monde
de la réalité'* 
et puis sans fin
l'explication
à qui que quoi quo
et de l'inaltérable
désir de voir
2 fois plutôt qu'une
ou et sans justification
qu'une opposition
à la destruction
de quoi que ce soit
vivant ou mort
il y a
ce qui
EST
et personne ne peut détruire
cela
mort ou vif
et pour la lumière
main tenant
la vive mémoire
à
ÊTRE
passant avec la mai
à l'oeuvrage
ouvrageant
la splendeur
des aimé(es)
en un deuil
par l'amour
donné
main tenant
et toujours
en un commencement 
sans fin
Alors
oui qu'est ce que
L'ART
alimentant
nourrissant
le donné
œuvrant
à
ÊTRE
indescriptible
présence



Sous peu
vers qui sait
du noir
les couleurs
ou la seconde vie
de
Philippe
ou la perdition
de
Saïs
d'errance
univers
et là le terrible
châtiment
d'avoir été
des à jamais plus
que 
L'ART
main tient
ne lâche pas
la tendre
séparation
des aimé(es)
par 
LA MORT
morte
et de l'oubli
oubliant
la vision
première
hégélienne
du fait
philosophique
de la
MORT



Un dessin qui peut
savoir
à part l'oeil cerveau
esprit
ce qu'il en est
du trait prolongé
après
TOUT
Il y a bien la
mécanique
muséale
et le tripotage
technique et didactique
et historique
de la teneur picturale
spatiale
organisationnelle
de la surface
oeuvragée
et de la suite cotée
du travail
mais en vérité
le goût ou dégout
des égouts de l'histoire
qu'en est-il
une nuitée éternelle
aux milliards 
de dévorations
de dévots
de lui le même
UN
des uns
état des lieux
où 
L'ART
semble malpris
à main tenir
la beauté des étoiles
pascaliennes
d'une infinie
 solitude
dessinant avec l'esprit
en la douleur
de créer
un monde qui veut 
ÊTRE
et survivre
à l'impossible
CONTE
antre-nous
les aimé(es)
d'AMOUR
L'histoire
cette 
MORT
morte
des hasards
chances et malchances
par les bijoux de familles
et défaire
le temps qu'il fait
sur les banques
hors d'oeuvre
à spéculer
l'ART
pour un tombe haut
atomique
et que le vent emporte
dit Léo
au fond d'un trou
d'art à gond
bouclé à jamais
de dire redire
dédire
prédire
la fin de l'art
qui n'à jamais commencé
objection
de chaman voyant
sorcier
de la belle au bois
dormant
et de la mise en scène
de contre-mort
après
TOUT
Enfin quoi l'éternité
en des scories
de farces plates et d'ennuis
brigands de la
MORT
morte
se scellant
en cette histoire
à coucher dehors
la vérité
au vent mauvais



Après
TOUT
il était avait été
comme hivers
les dix versions
de quelque chose
plutôt
que pas 
en autant que demeure
l'éveil
du lumineux
après
Benjamin
de l'ange
de
Klee
et surtout
sortir par la fenêtre
du musé 
amusant l'ennuis
des perditions
du temps
d'aimer
avec Bonnard
ou encor
et mieux par un petit
conte sur des bouts
de pépiers
avec la folle du logis
là où 
se met en place
l'aurore
du champ de blés
et les oiseaux
où gisent gelés
Nelligan
et les pommes de terres
devant ma porte
proématique
in memoriam
antre de nos amours
et perdus
quêtant du 
Conte
à tenir la
BEAUTÉ
au passage
d'un petit dessein

B.V.V *