1 juil. 2024

Petit Dessin


Inutile 
ayant passé date
et posthume
à la gloire
de la
 MORT de  l'ART
et qui semble être
en tout point ce 
qu'Hegel
n'entendais pas
par cette idée
comme celle de
Dieu
chez Nerval
et de l'humain
chez fou
 Ô
après
TOUT
Il est de la compréhension
des choses
et des idées
de ne pas sans faire
un dogme
et un coulé
dans le béton
Car paradoxes
malentendus
et d'à mal game
 le jeu fini
toujours par se faire 
comprendre
et dans le sens
NATURE
natures
(gauche droite centre)
qu'au bout du 
Conte
les larmes d'éros
finisse par être 
le boss
de bécosses
 et la chaise de
Montaigne
et les disquettes
à les beaux jours
de la démolition
'' Nous n'avons
pas de langage
pour affirmer
selon l'exigence
détournée
 qui nous viendrait
de lui,
et le langage 
c'est effondré
en Nietzsche '' *
ce qui donne suite
à l'errance
du vocable
et peu importe 
où il se situe
dans l'
EFFROI
et relatif le courage
qu'il exige
en la perte
et la
DISPARITION
et le seul
un
Dieu
après 
TOUT



Peur tremblement
qu'est-ce que vous croyez
et surtout 
que le courage
rendu là
 ne se dit pas
 la vérité
en pleine lumière
n'en à pas besoin
De LÀ
que le sensible
de la nature
(le règne) 
du vivant
tremble
et pleure
d'abandon
et ce qui en résulte
une tristesse infini
sur mes ami(es)
morts et abandonné(es)
sur les bbq
des abattoirs
(humain trop humain)
NATURE
natures
de la
MORT
morte



Un monde
livré
à l'oubli
et sans
Dieu
que la pensé
à mal à dire
maladie
du temps éteint
et techniquement
k.o
 Alors 
est-ce que les idiots
auront droit
au
Paradis
Tenir
malgré
TOUT
l'Axe-d 'Abraham
par ce petit dessin
de nature
et les aimé(es)



Blanchot *

Art En Vie


Et
 l'ART
sang sans
le vis à vie âge
dedans dehors
et qui me pense
panse
la présence
où de meurt
la demeure
du mourir
à quoi qui quo q
de la dévoration
du temps à le perdre
hors la chasse
journalière
à la mort
de l'autre
avant le comment mourir
là lui l'autre
pas celui-ci
la pensé 
du juge et parti
(on me pense)
ON
ou le retour au noir
en une bouillie
céleste
et pleine de chairs 
attendries
au marteau sans maître
ART
et la liberté
de na pas l'être
PAS L'ÊTRE
et pas le cso
PAS
et la cacadémie
de ses ponctions
amusées
des pendus au clous
de la foirée
Qu'est que la
MORT
DE
L'ART
et bien sa résurrection même
et son éternel
tenir
malgré
TOUT
des instincts
du cri primale
primé au prix
du festif
 tombant des nues
et l'oubli
du sens de la lumière
dans le ciel à soir
au fond du trou
de la terreur
des misères
d'errances
et des boucs
d'abattoirs
à la tonnes
et au suivant
après
TOUT
ART
HORS
la tombe holà
du crache en l'air
et le maquis
déguisé
en mare qui
d'une opinion l'autre
font les wawarons
du palais des doges
collant à mouches
atomisent
l'espèce
toujours soumise
et quêtant sa liberté
monétaire
pour un plouf
un crapaud et un étant
pis
pour la création
prétentieuse
du donné
Alors
L'ART
joujou jouant sérieux
Ô
rire des dantesques
insignifiances
de 
L'ART
après
le suicide
de la 
MORT
morte
et son souhait moderne
d'en finir avec
la
Joconde
et la Lamborghini
de monsieur
contrôlant
contrôlé
du control
sur les synapses
fatigués
des entrées et sorties
de foules
zombifiées
NATURE
natures
et pas du
TOUT
nature
il faut le dire à mes ami(es)
la progression
de la
DISPARITION
est-elle
que 
L'ART
reprend la misère
de la vérité
au s'Oeil
de son abyssal
tendresse des aimé(es)
Et... .
la proématique
présence
sur 
Socles Et Poussières
en tant de faire semblant
après
TOUT
se justifiant
de
TOUT
après la fin
des cellules
non pas pénitentiaires
mais celles de chair 
et d'os frais
refaites et ajustées
pour le
UN
des uns
 führer
déguisé
en populaire 
tête en bas
et les pieds
en l'air du temps
IL Y A
les faits défaits
sans arrêt par l'hommerie
L'ART
porte en lui
le don
malgré
TOUT
et l'imaginaire
nature et les aimé(es)
'' Je ne parle
 qu'à des gens
capables
 de m'entendre  '' *
naturellement
alors et bien
après la prise de la bastille
et 18 brumaire
et la révolution
à Sainte-Hélène
un melting pot
d'agglomérés
envoyant Hugo
stigmatisé
là 
où 
PERSONNE
enfin
avant la mort
y à t-il de la vie
en ces temps jadis
ronronnent
le nombre nombré
du
UN
des uns
et la 
DISPARITION
de la matière
propice à imaginer
l'horreur
 sans le bonheur 
de créer
la joie
d'AIMER
L'AMOUR
ineffable
en la nature
bien aimé
'' ... un rêve terrible
mais divin.'' **



Petit dessin
et encre de 
Chine 
crayon de plomb
 acrylique
sur papier
 pépiant 
leurre du réel
dédoublé
par
MORT
 morte
de
l'ART
se trainant encor
et en corps
ressuscité
des aimé(es)
pour
CONTE


Sade *
Hölderlin **

Comment Aller


Aile 
parmi 
d'étranges
inconnus 
très dangereux
pas d'ici
au passage
dantesque
des troublions
assassins
terminant l'agonie
du visible
VISIBLE
et là 
malgré
TOUT
cet éternel
AMOUR
hors de 
TOUT
doute
ce paradis
bien connu
où était exaucé
la part
antre-nous
pour rien
un là
croyant que... .
et si fort
mais les dieux
sévères
et le
Dieu
car après
TOUT
qu'est-ce qu'il
Y A
vive mémoire
in memoriam
en la lumière
au naufrage
des aimé(es)
d'errances
et de pas chez-eux
Alors
le terrible
est dans les larmes
du coeur



'' L'amour, c'est que tu sois
 pour moi 
le couteau
avec lequel je fouille
en moi '' *
... .enfin et ce qui vient
se présente
en travers
la folie humaine
de la
DISPARITION
avant après
et bien
des larmes
qui désarment 
les abattoirs
d'il y en auras d'autres 
après nous de
Music
et des coeurs aimés
malaimés
AIMÉS
après
TOUT
alors 
après
Noway
et la mer et les animaux
chéri(es)
EFFROI



Éternel Retour
du jugement
de l'éternel
alors doux sévère
ou encor
d'attente
et les mots
vrais comment dire
ce manque 
injuste
qui ne dit pas
n'arrive pas
d'ICI
D'AILLEURS
et bien des petits bonhommes
pour
Saïs
cette offrande
au courage
et à la dignité
du
VRAI
'' Il y a un but,
mais pas de chemin;
ce que nous nommons
chemin
est hésitation '' *
Et écrire et crie
vers les aimé(es)
et le manque de courage
toujours
sur le bord
de la lâcheté 
en la bouffonnerie
du jour en pleine
nuit




Kafka *

29 juin 2024

Re-Tenir

 


'' Être aimé
dans ce monde
dissous
est devenu
la seul puissance 
qui ait gardé
la vertu de rendre à la chaleur
de la vie '' *
et 
après
TOUT
et sur le 
k.o
technique
et l'éviction
du sensible
et de l'émotion
distrait séparé
du jugement
responsable
de l'autre
que le soi détestable
parce qu'obéissant
aveuglément
au petits plaisirs
monnayés
évidés
en sa disparition
sous de multiples
pièges
à bébelles
TOUT
en soustraction
devant l'abysse
que
d'ÊTRE
et c'est ce qui
réalise
la grande
DISPARITION
car la poésie est morte
sous 
les oripeaux
de peaux sacrées
mais 
tenir à répétition
de ce qui 
à été
et ne seras plus jamais
JAMAIS



Et 
ART
ce qui advient
à partir
sortir
hors l'ici
des assassins
de nos aimé(es)

où 
les choses
sont si fragiles
qu'ils tremblent
de la vérité
unique et terrible
le peu de temps
en la lumière
ce paradis
diaphane
d'un moment

où le piège
d'AIMER
se meurt
laissant la mort
arracher
les plus jamais
 où
se cramponne
le petit dessin
sachant bien
qu'après
TOUT
TOMBE
et
 l'ART
qu'un souffle
main tenu
en tombant
fait des signes
Les mêmes
la main cherchant
le tendre
aimé



... .ses mots phrases
qui vont cesser
là s'évanouir
remettre
le jour à la nuit
et ses terribles reprises
 quincaillerie
infernale
 non lieu
innocenté
des tortures
immondes
et régis par
le plus que l'enfer
Le d'où n'est pas
ce qui se pense
n'est plus
le où conscient
indique
le vers où
et les animaux ne s'y trompe pas
Ce qui vient 
après la
DISPARITION
n'est pas le gros lot
des avoirs penauds
de l'indexe de monsieur
le marché
et de l'adn et bien 
sourd aveugle et muet
alors 
Le show le chaud  la chaux
Et seul un dieu
du philosophe
ou l'assassin 
alte tu sert
ou encor le suicide
de l'autre
et la pensé
finalement
abandonnée 
aux concepts pour le néant
néantisé
en pleine métamorphose
imperceptible
et portant le coup fatal
aux prétentions
de meneurs
vers l'irrespirable
beauté de la terre bleu
comme une orange 
après 
TOUT
Alors et bien
que peut
L'ART
maintenant
et pour qui que quoi
faire voir
le cri le boeuf 
et la mise bas
de la misère
sur les étagères
de l'abattoir
du tremblement du sensible
au passage
du réchauffement
des coeurs froids
croyant que le
TRI
de pas eux l'autre lui
non celui-ci
L'échomomie
figé fixé 
en son éternel retour
destruction
centrifugée
au jeu du dernier
constat
DISPARU
et
 l'ART
de se taire terré
en sa mise à terre 
Attente
infini
 en l'inacceptable déni
des os triches
de la pensé
de la fin 
du capital humain
étêté
en son feu de paille
d'IL Y AVAIT
le signe
final suicidaire des écœurés
de la 
DISPARITION
RIRE
Alors
L'ART
créer recréer
la part de feu la vie
et tel seras la suite sans suite
des chéri(es)
cette vive mémoire
in memoriam
main tenue
par la main sur la parois
des vérités
d'après
TOUT



Bataille *

Grondements


Des larmes 
évidemment
Tsvetaieva 
La vie ne doit pas être
préféré aux raisons
de vivre... (...)
La vie ou la bombe
et le totalitarisme
et le grand retournement
exigé
est l'anéantissement
pas de la vie
en ses contradictions
insolubles
paradoxales
et le mystérieux
qui échoit 
au bout du 
CONTE
malgré le
TOUT
est foutu
de la fin du nihilisme
et la bombe démontée
réduite
par le petit dessin
au sous zéro
perdue en l'infini
chaosmique
de la grade soupe
univers
Qui sommes nous
après
TOUT
après l'adn
suicidaire
et voyou
de lui le même
UN
des uns
de quoi que qui 
cocu
de la vérité
en somme
qui est
la prétentieuse
pensé
d'épuration
du
Dieu
par le
RIRE
d'un fou d'un saint
ou le tour du
TOUT
en mauvais tour
'' Hypocrite est le savant
qui déplore la catastrophe,
puisque celle-ci
est l'une des issues 
possibles de la science '' *
et de cela et de bien d'autres 
terreurs
dedans dehors
ce qui
EST
mais quoi hors le
TOUT
de ce réel
où 
TOUT
est foutu
QUOI
au coeur de la pensé
où ce joue
la vérité
du sujet
de lumière
Et les restes de rognures
de faits divers
schopenhaueriens
entre le suicide
questionnant la lâcheté
et le tenir
de la misères d'aimer
l'idiotie
cruelle et joyeuse
pour les aimé(es)
ce visible
VISIBLE
et le double dédoublé
par le doublon
doublé
par 
LA MORT
morte
et de ce constat
sur la poussière
restante
et les définitions de toutes
choses
chairs et sang os
et fossiles
où il n'y à
que les cailloux
le sable
de chaque grains
de pas encore nommé
là où
la fin
termine l'imaginé
que d'avoir été
roulé dans la farine
de l'histoire
d'une guerre à finir
entre des belligérants
d'adn
après avoir détruit le monde
du
CONTE
arrive imperceptiblement
sur la pointe 
du doigt indiquant
les étoiles infinies
du vertige
et impossible de détruire
l'univers
LA MORT
morte
d'un idiot
une apocalypse
de mouches noires
SEUL
en une forêt
de bruit et de fureur
pour 
lui le même
UN
des uns
quoi en vérité
d'une couche à l'autre
où ça sent la merde
et l'être
ART-Ô



Les ptits minous
se meurt dans l'indifférence
de la
MORT
morte
et pas que... .
Tantôt 
le je aussi
et il donneras
de quoi satisfaire
l'horreur
mais l'esprit ne veut
pas
car il sait!
Des tas de gras dures
et de poches pleines
de morts
et sous le complotage
des comploteurs
complotant du complot
et de la compote
la
MORT
profite
fait du profit
IL Y A
mes aimé(es)
et que pour
eux la
VIE
vivance
là où l'on flotte
sur la mer
à requins
dans les larmes
de jamais plus



Errance
sous la science
du comment en finir
avec 
L'ART
de toujours 
maintenir
LA MORT
éloignée
de
 l'AMOUR
d'où
le monde
s'éternise
devient l'éternité
haut risque
terrible
d'y perdre
la vérité
de la seule
raison d'être
aimé
en la
MORT
morte


Blanchot *