28 juin 2024

Fou Tue


... . et en ce macabre
déficit
''... Que représente
le mythe de l'homme
sans mythe... '' * 
dit Blanchot
à propos
de la technique
qui au contraire
de nous enrichir
nous dépouille
et là 
le monde s'écroule
en sa 
MORT
morte
et redevient
NATURE
natures
en la reprise indifférente
trou noir
du terrible
où vont 
disparaître
ou ont disparu(es)
les aimé(es)
Alors sous zéro
le gel
DISPARITION
suicide de la pensée
des idéologies
et des reprises
devenant
translucide
à l'esprit
ayant terminé
sa course
au 
TRI
et à l'
ABANDON
final
et comme
LA MORT
morte
en un fruit
imperceptiblement
séché
retombant
dans l'innommé
d'à jamais
plus


De LÀ
qu'est-ce à dire
et que veut dire
le bout de la fin
qui tombe
sur la terre
des aimé(es)
des signes et des illusions
réelles
et des dénis
de capitulations
devant la
MORT
morte
au 
TRI
de l'essentiel
qui ne peut-être
que 
l'éternel
amour aimé
du jour 
des aimé(es)
qui après 
TOUT
tremblent d'abandons
des traitrises
inouïes
et qui est
LA MORT
de la mort
aux déguisements
de sucres et de miels
sur la suce
enchainée
du quotidien
Que pas de justifiable
néant et abysse
terreur de la
MORT
morte
Alors
L'ART
pour ne pas mourir
de la vérité
de 
Céline
et
Céline
et de rose rose
blanc bonnet
 bonnets blancs
ou bien
le troupeau 
apeuré
conduit à l'éternel
précipice
de pas lui l'autre
et les massacrés
les mêmes
pour la
MORT



L'ART
n'est plus
sur les pendaisons
des murs murmurant
des sous
les caves de banques
désœuvrées
à pictors
 en enfermement
des attroupés
accroupis
de la création
(pas un spectacle)
spectraque
au vertige
des limites
respectueuses
des aimé(es)
L'ART
est le risque
terrible
et lumineux
par les essences
et qui ne sont pas
données
dans un guide
mi-chemin
L'ART
est la 
SEUL
infection
métissée
du
Dieu
et
du Diable
d'où va jaillir 
la lumière
du
JOUR
mains mises
sur 
l'IL Y A
au passage
sacré
et qui le
demeure
de meurt
et contre-mort
de ce qui 
de la suite
en passant par les anonymes
et les reconnues
du temps 
changeant
(fleuve Héraclite
de la
Grotte de Platon
Hegel et 
la sainte
Poune du chaux business)
et les
Cathédrales
peintes par
Varlin
montrant signifiant
les célestes
et les aimé(es)
mieux que 
Joconde et Innocent
10
Trop tard
pour le libre arbitre
en vérité
le mot libre
ne l'est pas
il est caché 
en sa vérité
tombant ou s'envolant
ICI
MÊME
D'AILLEURS
mis à demeure
 d'aimer
et ce verbe
EST
terrible
de malentendus
alors


Tenir
après
l'EFFROI
après
TOUT

Point D'Appuis



Le je ne sais pas
ce qu'il pense
savoir
est pensé
et des philosophes
comme
d'autres
en le
TOUT
des ce qui doit ou pas
et des ce qui seras
du terrible
en la lumière
et qui rend l'émotion
responsable
et lâche
en son revers
de malgré
TOUT
tenir

les aimé(es)
ont péris
et où va périr
le monde
totalisation
en dedans 
du
TOUT
disparition
DISPARU
avec le bocal
du petit poisson
rouge
du peintre ou du musée
ou de Miguasha
avant 
que la distance
entre le regard
et le regarder
puisse
poser la question
et le jaillissement
alarmant
la présence
d'esprit
de l'autre 
Et ce qui résiste
dedans dehors
la captation
du réel
dédoublé
ou pas
celui de lui l'autre
ou encor d'adn
ou les molécules
semences séminales
et l'appel à la lumière
sociopolipsycho... .
ce qui attend
à la sortie
de la nuit éternelle
d'attente
la boîte à lunch
cantine des cantines
les nourritures terrestres
la procréation
et les mises bas
en Garabagne
et Signesigne
un jour en pleine nuit
d'avec les petits
on est grand
et l'inverse
à la va comme je te pousse
du lit
de la crémaillère
IL Y A
Un tableau de
Turner
Bacon
vu par 
Jean Clair
ou par
la muraille de Chine
le 
TOUT
de l'ART
et les grandes articulations
du passages
vers la
MORT
de
TOUT
et cela en sourdine
sur fond de guerres
religieuses ici
là le veaux d'or
le sexe et la barbaque
en 
UN
des uns
et la grande
équation du vivant
Pourquoi y a t-il
quelque chose
plutôt que pas
Et y a t-il
à part le terrible
et l'inattendu
de la misère et l'ennui
schopenhauerien
et le boum
de 
Blanchot
ayant conclu après
son amitié
avec Levinas
que l'imaginaire
est ce qui avec 
Dieu
maintient quoi qu'en dise
la
MORT
morte
la
BEAUTÉ
du monde




Le terrible
en pleine lumière
fait la monstration
de l'enfer
et du même coup
le renversement
en larmes alarmées
des chéri(es)
piégés
par la
MORT
morte
de cela et bien
le repentir
et la vive mémoire
in memoriam
la lutte
horrible
à contre-mort
par un petit dessin
en point d'appuis
tenant tête
à l'extermination du coeur
et sa candeur
innocente
antre-nous
les aimé(es)
de l'arche de
Noway
d'errance
au désert des mirages
d'au-delà
de
 l'ICI
MÊME
D'AILLEURS



Proématique
en tenue
de conscience
responsable
de l'apeurer
et du tremblement
d'EFFROI
qui en toute lâcheté
pour et avec
main tient
malgré
TOUT
la présence
d'esprit 
d'AMOUR
d'ESPRIT
que celui là
qui se transforme
sans jamais capituler
devant 
l'indicible
douleur outrageante
antre-nous
l'éternel
lumière
en un bivouac
d'imprévisibles
effrois
Les mêmes
mais autrement
présentés
en ce
TOUT
disparaissant
insensiblement
sous la mer
écomomique
 ce ravage
de dilapidation
de 
L'ART
D'AIMER


Courage ou 
adaptation
à l'infame
soi
créé
pour s'adapter
à des circonstances
n'offrant
que d'infimes possibles
d'existences
des anthropophages
de la tête
esprit
là le corps ouvrages
capitalisé
d'économies
là après
TOUT
de la prédation
du
Dieu
de l'homme
et de l'art
en pleine
DISPARITION
DE LÀ
un petit dessin



Encre de Chine
crayon et acrylique
sur papier
Fabriano

26 juin 2024

Poursuite



100 sans sang 
s'en tenir 
à l'image
et petit poisson
crétaque
un soir laurentien
où des grillons
en beaux jouals verts
  après 
le beaux françois 
vrillon
sur l'histoire
de la monnaies
vivantes
depuis
le gros curé
ouvrant le train
où vont les touristes
en voilà fait
des chutes 
et rechutes
des idiots de villages
Claude Henri
sur une musique
de
Glazounov
inspirant 
Messiaen
pour la fin des temps
Sortir
de la
DISPARITION
DU
TOUT
vers la grande réconciliation
avec le monde selon
la
Carpe 
diem
au lit des faisant mal
et du rien à dire
avec 
Wittgenstein
DE LÀ
et pas ailleurs
D'AILLEURS
Comment Artaud
en est sortie
du suicidé de la société
à s'assiettée
du fond de la rivière
éditant
Jacques
au dire de pas
surréel du
TOUT
histoire
très triste
où sont ont été
piégé(es) les chéri(es)
laissant là
pantois
le
CONTE
pour et vers la
MORT
alors qu'ici même
la
MORT
était morte
Être ou Pas
telle est le possiblement
IL Y A
Le non né
n'est pas
encor
et la
MORT
morte
terminé
à terme
révolu
à jamais plus
fini 
N-I-N-I
Final bâton
Là quand
et Sarah
décharnée
jusqu'à l'os
et ses cendres
plastifiées
d'épelés
d'appel de l'orignal
épormyable
de 
Claude
pas le Lorrain
Gauvreau
le fou
de Saint-Jean
de
Dieu
pas automatisme
mais tombant
au pied
du
TOUT
des disparitions
Bref
Alors le pas préfère
penser
la mémoire
ancestrale
la main à la pâte
enfarinant
LA MORT
morte
et les crapauds 
éclairant
 la libre
liberté
dans le marais 
cage
de la nature
chérie
embellie par le sorcier
au hasard du
raku
proématique
in memoriam
C'est à dire
le
VERBE
billage
sur la mère en furie
et reprenant
sa marmaille
par
NATURE
natures
pour l'
ART
amoureux
désenvoûté
désensorcelé
du mal dit
du mâle contrôlant 
les baleines
étranglées
du corsage
et de la ratatine
ordure
ART
 sphynx
des mortvies
antre-nous
la splendeur
d'AIMER



Nulpart
de là
ICI
MÊME
D'AILLEURS
en suspend
et très avertit
antre-nous
d'ATTENDRE

la terre promise
les chéri(es)
Ici comme
un
SILENCE
juste pour nous
main tient
les pattes 
unies vers
l'épiphanique
retrouvaille
en un seul
épanoui
de corps et âmes
glorieuses
ni pour être ou pas
scindé(es)
osmose
métissée
d'antre-nous
et la suite
poursuite
RIRE
avec
George



Et... .
main tenant
la distance
entre le vue et le voyant
par la la proématique
du début et de la fin
un
CONTE
en conflit
avec l'histoire
qui était avait été
seras
du jugement
final
posthume 
après
TOUT
de la 
DISPARITION
Alors
la vérité
auras
la splendeur
des aimé(es)
et 
TOUT
le reste
et bien... .
SERAS
ce que doit

La Piscine De K



Kafkaïen
et pas du
TOUT
Qu'est-ce que
 L'ART
qui n'à pas été
vécu que par un petit
dessin
sur main à la parois
de la
MORT
morte
qu'éclair l'élu
à l'huile des gras
 d'offrandes
ou pas
en don 
aux esprits
pour la conduite
des âmes mortes
de
Gogol
un soir en pleine nuit
étoilée
par
Pascal
qui était bien informé
de l'état
que d'être
mort avant qu'avoir
été
Y A 
du mots arts
dans l'air
d'une musique
à la brunante
où 
Salieri
finiras ou pas
le requiem
TOUT
pareil
au corbeau
d'Allen
et sur la portée
du vent
qu'emporte
L'ART
D'AIMER
et ses douleurs
de création
de nature
complice
avec le pli deleuzien
ou rhizome
avec
Bartok
presque proématique
comme pour le cinéma
avec
De Sica
enfin
une cymbale
faisant sursauter
Guerchin
devant
Ravel
et ma mère loi
sur concerto
pour la main
gauche
malgré les tendance
d'une droite
sur le ring 
poli-tique 
à 
TOUT
 crin
fin d'histoire
mais pas 
Fukuyama
disons
DISPARITION
où va se créer
L'ART
d'être sans y être
pareil au
Dieu
éternel



Chaosmisme
et théâtre 
du big boum
et donne moué
des peanuts
jvas tchanter
allô 
à l'eau
ça va bien... .
sans nager
et jaunestonw
sur titanique
forniquant
la grenouille
et le boeuf
de l'enfant déçu
du
TOUT
pour
TOUT
alors et bien
Un jour un jour
la
MORT
morte
NATURE
natures
ou encor
a blanc
a noir
ou jaune
rouge
et la terre bleu
du ciel et de la terre
et la
Sainte-Poune
et son dieu
juge et parti
si loin 
vers où
I-A
et bien plus que
TOUT
disparu en
 Ex Crément 
du 
TOUT
est foutu
et la voie
tracée
vers la déroute
de la secte des sans sectes
en valse
de Chostakovitch
dirigé par
Malevitch
et 
Cohen
anglicisant
la bande à bon dos
vers 
Noway
du désert
des gobés
Alors
il à été
Cervantes
au service
de la vrai vie
homérienne
en une dantesque
affraire
de gros sous
zéro de là
MORT
morte
Imperceptiblement
l'éternel
va où il va
TRI
et laisse venir
les petits enfants
du
Don Quichotte
en la tragique
équation
du
terrible
LA MORT
morte
de rire
la mort venue



Jeu 
sur la 
MORT
simulant
le
TOUT
du monde
là 
un refaire corps
au gré de la 
fée carabosse
des bécosses
et de la
courte paille
au feu
de la fin
artaudienne
du cso
dirigé par
l'Oubli
de respiré
l'air du rien
pan toute
ayant épuisé
la poésie
et ne restant
qu'une proématique
résiduelle
évident qu'elle 
la proématique
n'est pas du pongisme
l'inverse en fait
et sur
TOUT
pas pour le pisse pot
m'agrippé
de la pipe
encyclopédique
du monsieur
nietzschéen
de la rat ta touille
bitée
à la finfinnerie
d'écrivant
mort + que vice
brillant 
de la crème
raillerie
aux cheveux
 de la langue
pendue
au plat fond
de là suc combe
de la revanche du couteau
à mastique
en sa dix par ries ions 
(précisément)
en un seul sens
Enfin
sans fin
100 faims
et très mortadelles
éternel
retour
qu'est-ce 
L'ART
et la piscine
de Kafka
en son malheur 
imposé

Ô Guet


ART
après
l'IL Y A
voyez-vous
et les lieux
des choses
gardées
secrètes
au coeur
de la main
à la parois
Les mots
devenus
le bébellisme
de la fureur
évidé tordu
comme ici
aux massacres
de la prédation
du jour et de la nuit
ce qui 
et qui se justifieras
du juge et parti
en la
MORT
morte
qui n'est que
ce que le livre
à prévu
de la fin des temps
histoire
religieuse
et programmer
du grand triage
mais de qui que quoi
de la vérité
de tu ne tueras point
et las
des carnages
monétarisés
du 
TOUT
de la spéculation
du
monde
marteau sans maître
NATURE
natures
 pas la 
nature
celle du peintre
de la terre promise
celle embellie
d'amouir
don contre don
 d'abandon
d'un déjeuner
sur l'herbe
en offrande
à la paisible matinée
hors la caducité
des faits
sur l'étal
de la misère
de l'hôte
des aimé(es)


Qu'est-ce que
L'ART
après 
l'IL Y A
plus d'après
celui du dernier
soupir martyre
des trahis
de la prédation
des aimé(es)
Cette fin
là 
où 
SEUL
en soliloque
et main tenant
sans oubli
la même
litote
et pleins
(beaucoup) de fautes
d'anglicismes
et désaponctuer
du dire
en feu la langue
de quelque chose
au coeur 
de l'errance
attristé
dantesque
kafkaïen
après 
les histoires
et les chants
d'obédiences
là où
la joie
naïve 
des enfants
aux cheveux gris
blanchis 
a-blanc
sur socles et poussières
attente
en repentante
retrouvailles
des aimé(es)
ces élues
de la joie
triste
des nostalgies
Alors
Poisson Rouge
dans un dessin
en forme de prière
au fond
d'un passage
en la nef des fous
à la tour 
de bébelles
et de l'insignifiance
abjecte
de cette 
MORT
morte
NAUTRE
natures



Tombant
au tri
des essences
du
VERBE
alors
tenir
Ô
l'émerveillement
du ciel bleu
et la mer allée
en l'errance
sidérale
des tristesses
bien vues
et l'horrible
sentence
de la lumière

ICI
MÊME
venue
du
M
des mers mères
merveilles
malgré
TOUT
et sans après
main tenir
la
MORT
en vie
vivante
antre-nous
sur le mur
murmurant
les tristes
ravages
des amours
remis
dans les froids
instincts
d'ignorances
et ces mots
redondants
ridicules
en pure perte
et le pire
s'empironant
et très loin
de s'emmieuter
que l'image
cheminant vers
la voie
éteinte
de la dernière
énergie
d'amouir


'' Seul
 le fantastique
à des chances
d'être vrai '' *
Cette phrase
plutôt que celle-ci
ou que celle là
et il en est 
de la souffrance
que l'on donne
par manque de 
tendre affection
de comprendre
en fait
manque de tout
l'essentiel
pour vraiment
main tenir
l'Amour
celui de la plaie
vive
et du terrible
du trop grand
trop souffrant
mais du vivre
et les chéri(es)
pas suicidaires
du
TOUT


De Chardin *