À Chostakovich
Des signes
carrousels
et courroux
des tombes
en corps
dessus mort
tranchées
sans oublies
entre eux
des notes
à la portée
des goulags
de l'Axe
d'Abraham
du CAMP
tu pleures
ou tu ries?
Tu valses
là ressuscité
des gaz
Mais ou
ICI en garde
le Même Lui
en milles
encor
de force
pousse
les pareils
aveugles
et nuits
des jours
aux larmes
fissurées
du maquis
Mots de vent
en rythmes
sans solfège
en élévation
d'admirés
Ingres
articulant
étirant
la charpente
sans organes
insensiblement
amenant la pomme
hors le compotier
jusqu'à la
Sainte-Victoire
et par la suite
au bougie-woogie
minimisant
la finale
en symphonie
transparente
Au jour LÀ
Jazz suite 2
pour le dernier
CAMP...
Quelle folie
de bonheur
cette valse Dmitri
Danse tourne
étourdie
dans la scorie
d'Angelus Novus
pour Walter aussi
au bout de la nuit
de mémoire
aux dernières
tempêtes de sable
une visible
invisibilité d'EUX
mieux qu'UN
que ciel et enfer
don pour RIEN
RIEN léger léger
tu voles
tu t'éjectes de la mort
éphémère pour
'de l'embellie
dans la vacherie c'est
pas tout le monde'*
et transmuter
transmuer
transmortaliser
transfiguration
transpasser
sur de l'air
tu t'élèves haut
très très haut
Dmitri sur la un deux
trois...à mille temps
aux adieux
tu craches la mitraille
tu bombes la musique
Pour main nue
écrivant Beethoven
devient Schönberg
passant aux bruits
théoriques sourds
mutant le jeu
en forme de poire
de Daumier
à la mort de Socrate
au piano ivre de ciguë
mais métronome
pour fin
de SILENCE
polyphonique
en des secrets
de polichinelles
cadavériques
et Fin d'un écho
de valse festive
en timbre musicien
poste restante
à la portée du vent
au rythme d'un dodo
de trépas dodécaphonique
du nombre en la mort
de la MORT
Croix de Malévich
au retour
en tombeau noir
au bord des gouffres
politiques
de Nature nature
pour esprit sol
'Le silence
ne nous est pas donnés
pour rien mais
pour nous nourrir'**
no 15 op 144 quartets
Dmitri en des ravages
des coeurs gangrenés
disparus OÙ D'OÙ vers OÙ
chéri chérie chéri(e)s!!!
LÀ tombant
en LUI le LÀ
l'UN de marbre
et de plomb
d'eau de feu
de cris fureurs
d'entretués...
Cette musique
juste pour RIEN
tenant tête
élue de gratitude
avant pendant après
LÀ LUI NOUS
piano quintet
op 57
Passion...
Céline*
Arvo Pärt **
et courroux
des tombes
en corps
dessus mort
tranchées
sans oublies
entre eux
des notes
à la portée
des goulags
de l'Axe
d'Abraham
du CAMP
tu pleures
ou tu ries?
Tu valses
là ressuscité
des gaz
Mais ou
ICI en garde
le Même Lui
en milles
encor
de force
pousse
les pareils
aveugles
et nuits
des jours
aux larmes
fissurées
du maquis
Mots de vent
en rythmes
sans solfège
en élévation
d'admirés
Ingres
articulant
étirant
la charpente
sans organes
insensiblement
amenant la pomme
hors le compotier
jusqu'à la
Sainte-Victoire
et par la suite
au bougie-woogie
minimisant
la finale
en symphonie
transparente
Au jour LÀ
Jazz suite 2
pour le dernier
CAMP...
Quelle folie
de bonheur
cette valse Dmitri
Danse tourne
étourdie
dans la scorie
d'Angelus Novus
pour Walter aussi
au bout de la nuit
de mémoire
aux dernières
tempêtes de sable
une visible
invisibilité d'EUX
mieux qu'UN
que ciel et enfer
don pour RIEN
RIEN léger léger
tu voles
tu t'éjectes de la mort
éphémère pour
'de l'embellie
dans la vacherie c'est
pas tout le monde'*
et transmuter
transmuer
transmortaliser
transfiguration
transpasser
sur de l'air
tu t'élèves haut
très très haut
Dmitri sur la un deux
trois...à mille temps
aux adieux
tu craches la mitraille
tu bombes la musique
Pour main nue
écrivant Beethoven
devient Schönberg
passant aux bruits
théoriques sourds
mutant le jeu
en forme de poire
de Daumier
à la mort de Socrate
au piano ivre de ciguë
mais métronome
pour fin
de SILENCE
polyphonique
en des secrets
de polichinelles
cadavériques
et Fin d'un écho
de valse festive
en timbre musicien
poste restante
à la portée du vent
au rythme d'un dodo
de trépas dodécaphonique
du nombre en la mort
de la MORT
Croix de Malévich
au retour
en tombeau noir
au bord des gouffres
politiques
de Nature nature
pour esprit sol
'Le silence
ne nous est pas donnés
pour rien mais
pour nous nourrir'**
no 15 op 144 quartets
Dmitri en des ravages
des coeurs gangrenés
disparus OÙ D'OÙ vers OÙ
chéri chérie chéri(e)s!!!
LÀ tombant
en LUI le LÀ
l'UN de marbre
et de plomb
d'eau de feu
de cris fureurs
d'entretués...
Cette musique
juste pour RIEN
tenant tête
élue de gratitude
avant pendant après
LÀ LUI NOUS
piano quintet
op 57
Passion...
Céline*
Arvo Pärt **