'Ma brièveté
est sans chaîne' *
D'ennuis
de fatigues
de larmes
et de je ne sais
En vent de poupe
en pas du TOUT
contradictoire
éternellement
pour RIEN encor
Suites Françaises
quelques notes
d'élévation
sous le soleil
LÀ où s'envolent
les rires devant
la grandeur
la grandeur
clémente
du pas UN ni LUI
ni l'Autre tu vois
fermant la coque
sur la terre
en ciel de mai
des crépuscules noirs
des feuilles aux allures
des feuilles aux allures
de joies nuptiales
ta patte ma main
pour de vrai
par UN continuum
librement
consentie à l'éclosion
organique
de mille milliards
d'anéanties
en mix me up
conceptabilisés
Passe
pense à Dante
encor plus LÀ
d'ICI
mieux
c'est mieux
bien Voir noir
dans le NOIR
librement
consentie à l'éclosion
organique
de mille milliards
d'anéanties
en mix me up
conceptabilisés
Passe
pense à Dante
encor plus LÀ
d'ICI
mieux
c'est mieux
bien Voir noir
dans le NOIR
cassant la limite
qu'est-ce que croire
que des chéries
d'enluminures
tout autour
des cris
jusqu'à l'aile
Des battements
arythmiques
ponctuent des scories
résidus de mots
éphémères
Par la suite
et en fin
la terre plate
comme une image
conceptualisée
d'où tombe
les mondes
Philosophies
aux modes
d'Héraclite
en oeil de guerre
Wittgenstein
en prix ci-haut rang
de volatiles pensées
attrapant de-ci de-là
les sempiternels
bruits de fond
trou noir du ciel
pour le haut
du très bas
Oasis aux palmiers
de Soutine
aux boeufs écorchés
de Matisse
aux chevaux
et Tahitiennes
de Gauguin
du camp nazi
ou encor Music
jambe gangrenée
en des restes
éphémères
de sensibles
pour finalement
disparaître
comme un mirage
dans les milliards
de nuits de morts
sans suite
pour poétri
de futur
antérieur
LÀ comme TOUT
et RIEN croisant
vent et croissant
par l'effroi
du feu du froid
ruminant tractant
des nuages bleus
du ciel en légèreté
supérieur
vers l'AMOUR
crevant
dans la lumière
haut perchée
dans le vertige
et l'effroi
sans sens
insensément
Être un saint
sans Dieu...
se demande Camus
Aller a OÙ...
LÀ où tu veux
sans savoir savoir
entre chaque silence
détaché de la tête
aux pieds...
Mais mort
à jamais mort
insondablement
perdu ICI LÀ
et AILLEURS
Rattraper
mots morts et joie
par émotions
recueillant
le départ
vers
A
en Abyme
comme un début
en vent de rumeur
Char *
Laude **
qu'est-ce que croire
que des chéries
d'enluminures
tout autour
des cris
jusqu'à l'aile
Des battements
arythmiques
ponctuent des scories
résidus de mots
éphémères
Par la suite
et en fin
la terre plate
comme une image
conceptualisée
d'où tombe
les mondes
Philosophies
aux modes
d'Héraclite
en oeil de guerre
Wittgenstein
en prix ci-haut rang
de volatiles pensées
attrapant de-ci de-là
les sempiternels
bruits de fond
trou noir du ciel
pour le haut
du très bas
Oasis aux palmiers
de Soutine
aux boeufs écorchés
de Matisse
aux chevaux
et Tahitiennes
de Gauguin
du camp nazi
ou encor Music
jambe gangrenée
en des restes
éphémères
de sensibles
pour finalement
disparaître
comme un mirage
dans les milliards
de nuits de morts
sans suite
pour poétri
de futur
antérieur
LÀ comme TOUT
et RIEN croisant
vent et croissant
par l'effroi
du feu du froid
ruminant tractant
des nuages bleus
du ciel en légèreté
supérieur
vers l'AMOUR
crevant
dans la lumière
haut perchée
dans le vertige
et l'effroi
sans sens
insensément
Être un saint
sans Dieu...
se demande Camus
Aller a OÙ...
LÀ où tu veux
sans savoir savoir
entre chaque silence
détaché de la tête
aux pieds...
Mais mort
à jamais mort
insondablement
perdu ICI LÀ
et AILLEURS
Rattraper
mots morts et joie
par émotions
recueillant
le départ
vers
A
en Abyme
comme un début
en vent de rumeur
Char *
Laude **