Retenir
l'Axe-D 'Abraham
au coeur
de la prudence
pour un petit
dessin
en mémoire de... .
l'inutile
et non serviam
Tenir
la main
'' Si le juge
était juste
peut-être
le criminel
ne serait
pas coupable '' *
en cette folie
d'être l'assassin
d'AMOUR
Vivre
et tuer
la
VIE
par toutes
ses facettes
labyrinthiques
et insensée
présence
'' tuer
est un état
de notre doeil
nomade... '' **
Mais est-ce possible
cette échappée
hors
le malêtre
sans la conséquence
du
JEU
sérieux
d'aimer y croire
par ta
MORT
ton chant
funèbre
Entendre
'' Aimé comme je fus;
à mon côté repose/
l'image
tout en pleurs
du monde
harmonieux '' **
Impossible
de ne pas
te reconnaître
moi sans je
pas vers vous
ses assassins
de raisons
'' ...
Et ton coeur
le
TOUT
autre
pauvre donnant
sa faim
insaisissable
saisie
en sa fin
de donation
contre damnation
en son
LIEU
Appuis
RIEN
tenir
c'EST
LÀ
Qui casse
la baraque
à émotions
et rejoint
la vérité
du
MONDE
sanguinaire
Sortir
chemin
perdu en avançant
Beauté
Pourquoi
des poètes
en enfer
RIRE
en larmes
entre deux
éternités
la lumière
d'une joie
tremblante
infiniment
fragile
et
LÀ
Dostoïevski *
Rilke **
... .et enfin
le flou artistique
du n'est pas
FLOU
qui veut
De quoi ça parle
LÀ
D'AILLEURS
ICI
de ces choses
milliards
de vont mourir
d'à chacun sa mort
Rainer
et le chaosmos
de James
et ceci
de la musique
et tes marques
sur la paume
(écrire n'est l'affraire
que de la
MORT)
citer le peuple
qui manque
n'est que la valise
pour
le retour
des tueries
en la seule
conscience
innommable
d'antre-nous
sacré
Perdurer
d'effleurement
combattant
solitaire
métissé
d'instincts
de la bête
lumineuse
de la pellicule
théâtrale
ART
et de pierre fendre
la mer gelé de
K
'' La poésie
est aux sentiment
ce que la philosophie
est aux pensées '' **
Le
JE
n'est que le sentier
dépris
des déterminations
spinozistes
et des ismes
en séismes
sidéraux
noyés
des larmes
armées
jusqu'aux dents
appâtées
d'AMOUR
au trou noir
de l'indicible
VIVANCE
allant
NULPART
d'attendre
EFFROI
d'inattendu
en blanc
de
NUIT
pourquoi
tenir
reprendre
retour
OÙ
VERS
OÙ
doux verrous
à la clef
du sol
'' Je n'aime pas
travailler
mais j'admets
que les autres
travaillent'' *
pour
Henri
Stèle
qui
AIME
sur poussières
d'aimances
SANS
cents
la
leçon
de
Saïs
MORTe
tenant
LÀ
pleine lumière
se dévoilant
au combat
d'ÊTRE
perdus
d'avance
100
je main
en des signes
débloqués
d'en faire
mentir
le diable
à 4
Dieu sait quoi
de lui le même
UN
des uns
ou les balivernes
autour
La fissure
des mouches
au beaucoup
d'épelés
des créations
de la tour
de bébelles
En qu'est-ce que l'Art
en vide sanitaire
ces bombes
de la multitude
de chairs
en fumier
enfumé
de crache en l'air
DISPARUS
Pensant céleste
la joie
exauce
la
VRAI
vie
insaisissable
lumière
Contre-Nature
noirci
de blanc
bonnet
blanc
justifiant
la justification
de conservation
dans les peaux
mis en pot
de chambre
derrière le rideau
des mises en plis
échomomiques
scintillantes
d'avaler
l'ennuis
soumis
à la
MORT
morte
Abandonné
d'abandon
en la
VIE
transattente
crevant
du déjeuné sur l'erre
des envoûtés
du festin
de bobettes
sur la toile
entoilée
de la pomme
changée
en
Cézanne
couvre-toit
du répit
en l'inquiétude
qui sait... .
La Mort
veille
cache à dire
la
VÉRITÉ
de son jardin
d'Âmouir
Adamov *
Style
faut pas rire
à dire vrai... .
du lieu
commun
d'un vouloir
vivre
mimétique
éternelle
atteinte
prédatrice
moléculaires
darwiniennes
...'' qui laisse
la mort de côté
ne pourras
s'affranchir
de la guerre '' *
Tuez
juge et parti
contre
petits
dessins
contrariant
le
TOUT
univers
En
FIN
quoi... .
être grand
à la hauteur
d'échasses
de qui que qu... .
farceurs
protéiformes
Appropriation
posthume
pensé
d'innocences
assassinées
d'incompréhensions
de
Nature
natures
Un trou
creusé
comme un pieux
dans la complicité
trahie...
par le grégaire
du
UN
des uns
envers le don
de
LUMIÈRE
Nous marcherons
en
TA Nuit
d'inquiétude
sauvegardant
le fil
du peu
sur portée
des tendres
essences
Musique
OÙ
antre-nous
serons
qui
de la mort
donnons
TERRIBLE
cassant
l'innocence
d'AIMER
Mais tenir
main tenant
hors les faits
du vers où
vampire
empironne
les en faires
infinis
Alors
des restes
offrande
d'effleurement
retenue
par les pierres
qui pleurent
notre présence
embarrassante
DISPARITION
La Mort
s'énerve
capte
l'indécente
engouffre
de sa mise-bas
s'enivre
de sa
FIN
héritée
de lui le même
UN
des uns
promus
s'Oeil
pour
d'Oeil
de peines
et de misères
ALORS
'' Le désordre
est bien puissant
quand
il s'organise '' **
et de ce qui
dès le début
se montrait
le trait du traître
et à
l'OEIL
l'OUBLI
de mes morts
aimés
Patocka *
Suarès **
Paradis
fils qui eux
des ensevelies
compost
à la lettre
atterrée
de la terre
et du ciel
c'est sans repère
des masses
cadavrissées
bourreaux
se justifiant
entre-eux
dévoreurs
d'amours donnés
d'AMOUR
François
les oiseaux
surpassant
la raison
somnambule
de la
MORT
au saignement
épongé
du dessin
d'après-tout
Après
le mot cri
coeur cassé
pas idée du
Dieu existe
mais je ne suis
pas croyant
RIRE
Orchidée
des toasts
sur passage
surpassant
lover passe
l'impossible
LÀ
ICI
AILLEURS
juste
RIEN
... . sans sang
s'en offre
de toutes évidences
contre dits
pour un maux
de main pleine
de larmes
armées
leçons
silencieuses
infernales
maintenances
résipiscences
à dessins
ces
TOUT
EST
Ceci arrive
va comme ceci
MORT
sous formes
multiples
détournées
d'arrêts
par dessin
de l'ART
bitte
de passage
tu toi
tu tue
toi
MORT
EST
simple
à dessein
Tout
ce qui n'est
PAS
m'attire
à dessin
des morts
par craquements
de coeur
avalé
de la dépense
d'ENFER
invisible
lâcheté
infini
SILENCE
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