14 mai 2024

Cercl'Oeil



De ce passage
en la faille
mort tu erre
et bien... .
Le
Coeur
et les chéri(es)
marier vous
dit le peintre
espagnol
sur son lit défait
par le
MORT
et les grands penseurs
du langage
là où
Godart
porte son nom
faut
VOIR
( Platon
Aristote
Pierce
Austin
Chaussure
Wittgenstein
Chomsky
Bourredieu
etc )
Mais 
Boileau
pas mal
ou encor
le désensorcellement
de l'assurance
 des entrailles
en fin
de party
Jouhandeau
alors
proématique
sans le gouvernement
des maux à mots
dires 
ce qui de la mort
d'à nous deux
ou bien
l'adieu
à sa tête
désentêtée
de ce que l'amour
toujours au 2ièmes 
degrés
après bien après
 mal armé
et les triés
du spectraque
quotidien
de pas lui l'autre
de l'histoire
de l'oeil
là où
Bataille
lâche
sa pluie en salves
de larmes d'Éros
Tenir consiste par le tiret
entre
l'avant et l'après
TOUT
des beautés
transcendantes
d'AMOUIR



Et l'errance
sur le bord
du
DIEU
quoi qu'en pense
le penser
qui n'est pas
seul
en se
SEUL
le plus
GRAND
que dire
et que 
VOIR
Peut-être la
musique
et ses larmes
Schubert
où encor
l'exaucé
musical
Qu'est-ce qu'un 
EXAUCÉ
posthume
au son
inouïe
d'apaisement
cérébrale
Et bien
l'Ange
de Klee
cette détresse
d'abandon
infini


Le temps de l'homme
est ce qu'il
est
et pas plus
il naît
compté
L'ART
n'à pas le temps
Et l'aujourd'hui
en vérité
n'existe pas
et ce qui se nomme
réalité
est la réalité
de la
morte
et de ses terribles
inattendus
Enfin
insensé
l'oeuvrage
comme un chat
domestique
devenu sauvage
qui se lèche
de liberté
retrouvée
à bout
d'À TENIR
et d'y tenir
à l'AMOUR
malgré
TOUT



11 mai 2024

Noway (1)


TOUT
ce justifie
et la
SOMME
de vérité
en peinture s'évapore
et le festif
plastifié 
des synapses
alors soyons très
heureux
TOUT
tourne à la débandade
et le rire
exultant
de 
MORT
conservant
en son sein
la main basse
sur la
NATURE
natures
reproduisant
infiniment 
les matières
en son infini
désêtre 
 Osant le cantique
atomique
ou
totalitaire
des collabos 
de la
MORT
esthéticomomique
de l'à venir
moléculaires
avec une mutation
mort tue erre
en masses
offertes
en tribun
mots nés taires 
sur une musique
de Louis Ferdinand
Céline
''Être seul,
c'est s'entrainé
à la mort '' *
ou en mourir
au bout de la nuit
pour un château 
etc cte tec
En fait point de ceci cela
ÉPONGE
et question
monsieur
LA MORT



'' Il suffit d'écouter 
le vent
pour savoir 
si l'on est heureux '' *
et par le visible
VISIBLE
posthume au trépas
L'IL Y A
change la charge
de reproduction
et va lumineux
en sa nuit
d'amouir
... . il y a de ceci
cela arrive
encor
entre-deux oreilles
amoureuses
mais que veut dire
encor le même
'' L'art est la magie
délivrée
du mensonge
d'être vrai '' *
et sans contradiction
et sans porter
ombrage
au donné
de l'
ICI
MÊME
d'AILLEURS
en des questions
aux réponses
impitoyables
au non sens
piège
et enfer
 déniant
l'encerclement
du
TOUT
par l'affront
à la 
NATURE
qui reprend
sa nature morte
et va vers 
l'innommable
trou noir
où 
plus effroyable encor
que le
DIEU
mort
exactement
L'ENFER
 la fin
des temps
cet dépression 
mélancolique
en son
TOUT
totalitaire
Alors
 l'ART
l'esprit
reprend
 la parois 
de 
l'ESPRIT
(Je suis sain
d'esprit
je suis saint-esprit)
dit le peintre
en la somme
de lumière
absorbée 
de la transcendance
inversée
Fait moi un dessin



Ces mots
en phrases
jouant
 proématiques
sous 
le joug d'amouir
et de l'autre
côté
du filet
 grappinné
d'autoroute
fixé
par l'attrait... .
curieux des déroutes
Alors
autre
 ressenti
modo
pour les blattes
sur le mur
d'un songe
de 
Samsa
retenant
Kafka
de les taper
avec une bombe nue 
clé ère
de la machine
à mouroir
d'aussitôt né
heideggérien
Pas mieux pas pire
qu'une révolution
sur le dos
d'un éléphant
rencontrant
le tigre
borgésien
Jungle
de
Rousseau
au musée
des muses 
ouvertes
derrière le bbq
métaphore
d'il y a caché
le fascisme
évidant
des trippes
étêtées
par la dévoreuse
et terrifiante
insensibilité
de ses consentants



L'ART
est un 
Jeu
Sérieux
et très à risque
pour le détenteur
de la vrai vie
en passant
après bébellisation
festive
et l'inconsolable
désir de dévoration
Et voyant bien
la lettre
volée
d'Edgar
et le mépris d'ambition
en place
du seul'Oeil
s'Oeil
au grand'Oeil
des 
JOIES
d'AMOUIR
'' ...nous nous aimions
d'un amour qui était
plus que de l'amour '' **
ou encor
le beau de l'air
et des 
TOUT
à été
dit
et redit tenant
la perpète
VERBE
hors le
UN
des uns
en 
SOMME


De l'eau 
de là
Noway
et le corps beau
des beautés
homériennes
sifflants
l'embellie
des sortilèges
envoûtants
l'histoire
de 
Joyce
l'attaché du poteau
la bite sous le bras
de Jacques
et le retour 
à la création
posthume
d'Ithaque
Alors voyant 
le grand désordre
et les décombres
après 
TOUT
Ulysse
qu'Argos reconnu
des dieux
et bien voici
Fait moi un dessein
d'AMOUR
sur la frêle
fatigue du jour
papillons
d'éternités
signant l'éternel
séjour
nietzschéen
pour
PERSONNE
passant devant
le
Cyclope
de la
MORT



Adorno *
Poe **

N'Eau Et... .





Stèle
pour
Saïs

Et 
L'ART
après
TOUT
vous savez
le lien de la terre
mère
de
 l'Ô
de
du tenir
sur s'Oeil
abyssal
pensant 
à
Poussin
Boileau
et de faits
et gestes
du manque de tendre
Alors
que la loi
de la mère l'oye
Ravel
et ses kitchs
pour 
Kundera
des champs
et les pissotières
propices
en haute mer
à la vague
Hokusai
et la voix à défaut
de sujet
porté
par la bienveillance
des chéri(es)
hors la horde
en taire
sur un air
de 
Dion
suicidé
des coeurs
musiciens
en l'embrassure
mathématique
et les célestes
Élégie

ICI
D'AILLEURS
'' Car la pauvreté
est comme une grande
lumière
au fond du coeur... '' *
IL Y A
par cette affection
ce
DON
la vie à besoin
contre
MORT


... . la loi
de George
et jusqu'au dernier
bruit
qui fait tant peur
aux oiseaux
et des mécréant
d'en
Somme
pas lui évident
les stigmatisés
du bbq
de la misère
où 
la mire
vise
l'amour
n'atteint
pas le plus grand
que soi
et les choses clairs
ne sont pas celles
que comprend
le tant go
de la cruauté
d'avoir compris
après 
TOUT
en fait
LA MORT
attise 
le sang des mouches
tirées
à bout portant
avec un canon
des matières
en chamailles
de poussières
dedans dehors
par le
UN
des uns
et d'où vient le vent
le grain de riz
le coeur 
de l'oignon
alors la proématique
occupe
encor
l'émotion
de la mise au monde
des sacrifiés
de la monnaie
vivantes
Klossowski
ou en corps
Balthus
et les chéri(es)
Enfin c'est pour voir
après
TOUT


'' Demain les dieux..'' **
et de des questions
en phases 
terminales
vers l'immense
mélange
univers
et des milliards
de petites morts
corps esprits
participant
à l'ensemble
du donné
inquantifiable
et à chacun
son lot
Tel 
EST
ce qui
fait hors de
TOUT
doute
l'autour
de 
l'ART
et
LA MORT
morte
posthumant
la 
Stèle
du temps
en sus pendu
par la lumière
bien aimée
et terrible


Encre De Chine
et crayon
sur papier



Rilke *
Hölderlin **

10 mai 2024

Art Mouir


Art A Tenir
comme 
cycle
de la terre
et
memoriam
Et plus 
car hors
cela
et comme 
LA NATURE
NATURES
va vers où
elle 
s'absente
en son innommable
disparition
qui
est sa reprise
du 
TROU NOIR
où s'évanouie
la 
BEAUTÉ
de rose de
Personne
Celan
ou
Rilke
 Duchamp
ROSE
de cela 
qui s'en va
innommée
d'
ABANDON
pour un éternument
de la technique
l'apeurant
de naître plus
nommée




TENIR
mais
Oui
MAIS
L'ART
pour en sortir
de la
VÉRITÉ
assaillant
les pierres
et les poussières
devant 
les vents
de terre heures
odeur
de nature morte
en souffrances
par temps
exécrable
impriorités
de survivances
et faux chemins
vers l'abysse
festivalier
enfin
t'est mort
là t'est vivant
vivant mort
mort vivant
LA MORT
EST


Et la mer
sans arrêt
et
 Trenet
trainait 
la
Poune
et la poésie
sur la scène
inchangée
où meurt
la
MORT
morte
après la 
DISPARITION
des choses
et puis des êtres
ou encor
après moi
le désert
et le malheur
d'où il est né
Sociétés
du crime
du faire semblant
du mensonge
du grand remplacement
pas celui des peuples
en masse
ou encor
UN
des uns
fasciste 
totalitaire
de lui l'autre
non celui
de l'histoire
des échecs idéologiques
et de l'Histoire
humaine
après 
Dieu
Alors l'en faire
est pavé
de mort absolue
ni dieu ni maître
ou encor
la gnose niaisant
avec le coeur
en tête
de pas eux 
mais le soleil
brilleras demain
à la flamme
 d'une chandelle
bachelardienne 
et 
la réalisation
occidental
du
Dieu
 mort
réalisé
en
UN
des uns
SEUL
et éternel
LA MORT
morte
réalisée
en son crachat
RIRE
et
RIEN
n'à eu lieu
ni vu ni connu
en
Somme
aggloméré
magmas scories
pour le dernier repas
repus
anthropophagie
de son illusoire
main mise sur la
NATURE
qui en à décider
autrement
de ses poussières
d'étoile morte
et pleines de poussières
Alors
comment
L'ART
va t-il
en sortir
de l'esseulement
du peuple qui
manque
et ce
SEUL
devant
LA MORT
éternelle
en vérité
Occident Orient
idéologies
métissées
 de 
Gandhi
Mao
De Gaulle
Hitler
Staline
et des restes
du
TOUT
technicisé
Off
Alors 
L'ART
pour ne pas mourir
de la
VÉRITÉ
de la
DISPARITION
en un passage
poéticocliqués
d'art à gonds
des portes de l'enfer
où ment
le retrait
du monde
en caducités
citant la semaison
en toute bonne foi
et alors
proématique en mieux
disant dite
et portant l'urgence
à la résurrection
du cadavre
humain
vers sa toute simple
culpabilité
que d'être
né 
pour un dessin 
à dessein
de tenir
hors l'enceinte
de l'innommable
errance abyssal
prédation
en tombant
NATURE
natures
mortes
réalisant sa métamorphose
infinie


Il Y A
eu seras
l'en 
JEU
de la vrai vie
antre
L'ART
et
LE PLUS GRAND
que
TOUT
Leurre n'est plus
à la voyance
La conscience
en gradation céleste
est ce contre
MORT
L'ESPRIT
de vivance
secret
mystère
élévation
du
JOUR
in memoriam
d'une 
Histoire
de lemmings
et l'aveuglement
des travailleurs
pour
LA MORT
LE CAMP
FUNÈBRE
pas pour tous
ce
NATURE
natures
pour la commisération
de la misère
de l'innocence
terrorisée
maintenue
au fixé de son sort
par les pas lui
l'autre
de la revanche
du veau d'or
sur l'appropriation
rusée
de pas eux
de la fin des temps
mais lui
le religieux
des fêtes galantes
du laisser venir
les petits enfants
que  
Gilles
Gaspar
Rouault
quelques fois
Klee
en métissage
idiolecte
pour et vers
de vertes réalisations
'' Le voisinage du blanc
rend lumineuses les taches
très colorées '' *
ou encor
du noir les couleurs
et la réalisation
orgueilleuse
n'
EST PAS
elle est sous l'emprise
du savoir pouvoir
de quoi que qui
le fragile
l'impuissance
de
L'ART
devant 
LA MORT
 de la lumière



Cézanne *