26 févr. 2024

Stèle Pour Alain Lestié


( Il produit 
sans s'approprier,
Il agit 
sans rien attendre,
Son oeuvre
 accomplie,
il ne s'y attache pas... )
dit le Tao
On peut le dire
d'Alain Lestié
enfin
Art en l'assiette
assiégée
de la 
MORT
ce mot
EST
aimable
car la lumière
en à besoin
TENIR
la main se fermant 
sur l'air du temps
Mais les larmes
alarment
le coeur
en tous lieux
au plus noir 
demeure
la vive mémoire
des aimé(es)
que ça
TOUT
le reste est errement
manipulable
à escient
et déguise
le n'importe quoi
en 
MORT
complice
TENIR
et malgré
TOUT
il y a
la force faible
d'être
entièrement
dévoué
à sa présence
d'embellie
Alain
me dit
(Maintenant
nous sommes liés
par notre travail )
ma reconnaissance`
à cet ami
de l'autre côté
de tous les océans
main tenant
Gratitude
Alain




Ce n'est pas
 sa démarche
ce n'est plus 
la mienne
mais à été
est
et puis vers 
notre
patrie
Nulpart
pas plus pas moins
avec la main
à l'oeuvrage
infini
Et des stèles
pour ses amours
retenus
et remplis
d'assurances
Cela ce regarde
mais sans voir
seul 
alors vient
un moment
l'Oeuvre
éblouie
de sa 
VÉRITÉ



De l'autre côté
ici
MÊME
et bon qu'à ça
la lumière
donnée
de toujours
à attendre
encor
Et
 l'ART
pour main tenir
contre la
MORT
sous toutes ses formes



Dessin


Approcher
le peu sous sa propre
vérité
les gros
en dessous
et des anonymes
pour ne pas
blesser
l'embellie
qui n'y petit
aux semblants
de pas du
TOUT
à l'agonie
des abattoirs
de pas lui
l'autre
et enfin
ramasse
l'assiette
et les brigues
ma tu vu... .
Alors 
que la monde
c'est 
Martinet
et là dedans
la tête
des vrais bien relatif
et bien et bien
il y auras
en nombre infini
du et sans pourquoi
milliards
et des mots échappant
à la chappe de plomb
des morts
déguisés
en la 
MORT
aux abattoirs
de 
Music
et des enfants apeurés
mais blottis 
d'étouffements
dans les bras des lâches
Et ce
TOUT
de la marmaille
coincé
et prisonnier
du chaperon
rouge
et des suites
du songe et mensonge
des milles 
Franco
d'où
le
TOUT
meurt en pleine lumière
de
L'ART
impuissant
devant 
l'EFFROI
observé
depuis la nuit
de tant de larmes
sur la
BEAUTÉ
innocente
offerte
à la
MORT



Deux Têtes
sur triangles
(bronze sur acier soudé)

Têtes d'histoires
et bien vues
alors être
à l'affut
des répliques
disquettes
en triplions
quadruplés
du multiples
fabriqués
pour mourir
Alors et bien
collabos les mêmes
contre vie
la vrai 
qui est ailleurs
dit
Arthur
et revenant
qu'est-ce que
L'ART
ici même
en la faille
éclairée
de l'énergie
des trépassés
d'AMOUR
et ce mot
qu'importe le sens
dans tous 
l'essence
c'EST
LE
MAÎTRE
absolu
Amoureux de l'amour
ou pas
amouir
et au risque
du
TOUT
ventriloqué
de ses guides
UN
des uns
de la tribu
des farceurs
prédateurs
sans sanctification
et qui se crisse
du
TOUT
en
TOUT
et pour
TOUT
UN




Art et la question
du sang des brebis
sur la broche
des souffrances
aux feux
et des bourbiers
d'ignorances
PAS POLITIQUE
ou
TOUT
est politique
et ce tout
posé là
a la mesure
de la destruction
univers
trou noir
et tenir
là-dedans
melting pot
et poupées russes
politique... .
Non
ART
et la détestation
du
SACRÉ
sa crée
pour 
l'IMAGE
sur la parois
la même
vers le vertige
l'EFFROI
et le grand tremblement
devant la maître
absolu
hégélien
LA MORT



Dessin


25 févr. 2024

Vieillart


Plâtre De Paris

Voir et passant
par le chameau
au trou
de l'aiguille
et des mailles
à baleines
en
et les chants
qui ne sont en vérité
que des repères
chants d'oiseaux
de peintres
sculpteurs
artisans
de la vérité
en
ART
et le cul de la chaise
de
Montaigne
et des écrits
des chants 
baroques
ou encor
... .
maintenir
l'intenable
légèreté
lucide 
en
mots arts 
ou 
l'évanouie 
insensiblement
vers les verts
cézanniens
de la géométrie
de notre père
à tous
Dire importe peu
pas... .
La donne
EST
Alors
l'ART
est de
SILENCE
et des mains tenants
la lucide
lumière
sur 
l'EFFROI
d'ABYSSE
pascalien
ou des cavernes
d'ossements
Mains aux parois
du
PASSAGE
Alors décidément
la
MORT
EST
ÉTERNELle


Et les mots
du
VERBE
en cercle
hégélien
et du penser
l'esprit
des langues
de feux
Vieille ART
et du 
chaman
aux anonymes
des cathédrales
et du temps
des âmes
bien nés
Arthur
et la gangrène
ou encor
Cervantes
recouvrant
la
MORT
des partances
vers 
NOWAY
ou 
Nulpart
La question
du 
VERBE
EST
ou bien
le murmure
de l'infini
s'éteint
et la main à la parois
et bien au prochain
en trop peau
 logue


Anthropogravure 
... . des choses
s'évaporant
par tant de misères
animales
et le corps
cri avec 
les morts
ceux qui en pleine
lumière
refusèrent
la sentence
éternelle
Alors
les îles
galantes
en partances
désarmées
et plein de larmes
Qu'est-ce que
L'ART


Et des râles
et les sons
les sœurs 
carmélites
de
Poulenc
sur un texte
de Bernanos
y à de ça aussi
dans la musique
et des larmes
sur tant d'ignorances
et que les silences
qui mystère
tiennent
la portée du vent
Qu'est-ce que
 l'ART
sans la souffrance
ameutée
QUE DU VIVANT
et de l'éthique
et 
TOUS
les quatuors
de 
Beethoven
tous
martèle la solitude
du 
VIVANT
enfin
quoi la muse
à la lyre
et les rêves
aux atlantes
retrouvées
Bref 
sur le seuil
de l'infini
où cette vie
en toutes les morts
déguisées
le peu des signes
sur socles
de poussières
l'ART


Verticale


Verticale
et des lignes de larmes
maudites
du besoin
des paradoxes
d'amouir
et du passage
pareil
aux jungles
et des mythes anciens
ayant repris
d'autres formes
et d'autres 
EFFROIS
Conte
de misères
et d'abandons
des chéri(es)
Aimer
et des repentances
comment sous les pieds
où marche
le monde
ne pas se rappeler
le foudroiement
de l'imprévisible
entre les morts
lui pas lui
l'autre
Y a t-il de la vie
avant la misère
et les graves séparations
Et bien
LA MORT
règne
et la lune et mars
avril mai... .
n'y changeras 
pas grand chose
que de la fientes
sur le compost 
ART
posthume
comme toujours
main tenant
l'Oeil
sur
le S'Oeil
de la feuille
musicale
de Schubert
ou
Schumann 
et des métamorphoses
mortelles
et sans guides
autant dire
aveugle folie
qui vient
hors la faille
de lumière
visible
VISIBLE



Et des percepts
dantesques
affraires
ou encor
le beau de l'air
avec 
la nuit transfigurée
ou bien
dire la vérité
sur 
TOUT
ça
des en sommes
pour 
la révélation
de l'ignorance qui tue
en fait
machine
darwiniennes
en contre-vie
sang contre sans tenir
la main
haute
au-dessus
du piège
et du destin
que la
MORT
commande
Alors le
 sans sang
 offrande
et dédier
à l'aveugle
errement
devant le gouffre
du radeau
de mésuse
oubliant les fêtes
galantes
et les chapeaux de
Renoir
alors c'est
l'embarquement
pour se taire
devant l'
EFFROI
qui échoit
toujours en subtiles
trop tard
DISPARITION
d'AMOUR



Envoûtement
du coeur
et des casses
joies
du songe
et mensonges
de ce qui est
de la mortelle
et innommable
folie
trop humaine
redondant la mort
à volonté
des sujets
pour une mise
en atome
sur socle et poussières
RIDICULEs
manigances
des casettes
pour la banque
de chairs
au besoin
d'épuration
d'eux non l'autre
lui le même
UN
des uns
devant 
le dernier
rire jaune
de s'attend pas à ça
le meneur mené
maître
Jonestown
ou encor
de la
MORT
sous ses orgiaques
POUR
assassiner
la création
de la lumière
la beauté
DES ANIMAUX
noblesse
oubliée
des sages
mais pas du malfrat
jaloux
DISPARITION
sur le bbq
d'OUBLI


... .pas nuagiste
pas préfère
exactement
avec la baleine
et Jonas
ou encor
Enfin
quoi... .
TENIR
dans la mâchoire
de la
MORT
en toute ses prétentions
sur la tablette
du boucher
guillotinant
les hurlements
de pas lui l'autre
enfin
quoi c'est la vie
toute en asperge
de
Manet
griffant le tableau
plutôt
que torture
sur le dos
de... .
que dieu me veille
absout
je t'aime
je te tue
alors
qu'est-ce que
L'ART
offrande
en ne tirez-pas
camarades
Alors l'abattoir
des abattus
abattant au passage
TOUT
ce qui se bat