Série
d'une centaines de gouaches
faits de la main
à parois en saut watt
William
Claude
Wolfgang
Schulze
et moi et moi...
ÉMOI.... .
et en tête
Nicolas
pas Jean... .
Fallait bien débuter
... . l'apprentissage
initiatique
et les chemins de créations
Dès le départ
au commencement
la main à la parois
du crime
ou du plus ardu
imprimé la main
du Conte
en ocre
laissant vivre
et ne préférant ne pas
les baleines
Basques
et l'huile à lampes
éclairant
en lumière
le
TOUT
branché au fil
à la patte
sans mises en terre
que cendres et poussières
pour le
Gilles
de Watteau
et les voyages
pour se taire
devant les soleils
à penser
la
MORT
celle
dedans dehors
(et ses collabos)
du peintre
en jaune et le cerveau
roussit
d'Antonin
sonnant le glas
de l'Europe
et ses vieilleries
à leurre du thé
et des frasques
débilitantes
de m. mde.
le
TOUT
et la famine
universelle
du temps
perdu
pour l'étirement
d'ayoye
tu fais mal
Bref
Tant de morts
et toujours les mêmes
mangeurs de pommes de terres
et celles
d'Irlande
à la limite
sans pommeau d'or
Alors oui
histoire
Bref
et ses retour en
Boum
plus rapide
qu'un virus
... . allons allons
Ces bombes
c'est quoi ç'est
fourberies
de Scapin
derrière chez-nous
y a un étang
trois beaux canards
et l'ingérence innommable
de Char
(n'est pas trop aimé)
qu'elle importance
le temps
qu'ils nous restent... .
ou bien ou bien
l'existentielle
et la gang à
Jean Paul
et Simonne
TOUT
ça pour dire
et retenir
qu'on ne change pas
de monde
et bien... .
TOUT
est en
TOUT
fixé
et bloc de marbre noir
percuté
par des atomes
de ses propres
croc-mignons
encor la mer allée
sous le soleil
de
Bernanos
et la tirelire
de
Bloy
ou encor
Malraux
le religieux ou pas
Enfin
oui bref abrège
et coupe court
à
TOUT
ça
Sortir
de l'en faire
bourrant les muses
à musées
de circulez
y a rien à
VOIR
et parler pour dire
que le temps
de la vrai vie
et bien
c'est de lire
dit
Kundera
qui ne dit plus
car sa maison
d'édition
l'à évincer
pour un bout
200 ans parait-il
L'attente
et l'oubli
dernier titre
et on repasseras
TOUT
ça pour l'image
et son
SILENCE
merveilleux
Sur le bord
de l'abysse
l'amour
et qui n'est
que cendres
et poussières
en passant
(la
MORT
et ses acolytes
en formes de poires
à Daumier)
TOUT
en lumière
celle qui donne
du coeur
à l'Oeuvrage
TENIR
de riant en toutes
les couleurs
et la
BEAUTÉ
massacrée
du jamais pareil
toujours pareil
en sa métamorphose
de la grand soupe
univers
Et le bombardement
de la
FIN
là où les musées
n'amuseront plus
Alors
Ah!
les gentils
petits
dessins
des fanfans
sans
Gérard
et les tulipes
et bien... .
Oui tenir
la ligne en trait
d'entrain
au wagon de queue
pour là quand
les spermes
vireront au noir
dans le ciel rouge
comme une orange
Du texte
sans ponctuation
et du style
mon chair
plein de faôtes
et de la forme
et de la
BEAUTÉ
que d'être
pas certain
que d'y naître
car un peuple manque
dit
Paul
Un jour
commun
à la table
de dissection
du passage
pas sage
et aquoibonisme
où nous étions
aux joies
superficielles
ayant sous les pieds
des corps
encor
aux airs viciés
de pétroles
et de suifs
entassés
à la pompe
funèbre
des automaobiles
et ses suites
mortelles
ridicules
de là le rire
des dieux
de Lafontaine
et la grenouille
le bœuf
emboucanant
du m'à tu vu
au trépas
de quelque chose
faisant tressaillir
le diable
au vert
le demain
indécrottable
naïveté
d'une histoire
sous influence
et
shakespearienne
et le doigt
dans le sable
sur la rive
prêt à partir
'' Le bonheur
c'est de passer
à côté du pire '' *
sans oublier
le bout
le
TOUT
au boute
de vers le piège
de
Bachmann
après
TOUT
et y en à eu d'autres
et en corps
et encore
encor
mais d'éternel oubli
Encre de Chine
sur papier
Fabriano
2024
Céline *
