15 févr. 2024

Extinction ( Pour Thomas)



Après 
TOUT
tenir encor
en 
ART
et main 
tenant
non pas le
TOUT
mais
le toujours
passage
antre-nous
OUVERT
en et comme le veut
le temps
qu'il fait
sur cette pauvre
agonie
terrestre
saccagée
par de drôles
de virus
mais le propos
tenir
encor




Chemin
initiatique
passant en travers
le feu
de tous les ravages
garder
la vivacité
amoureuse
du battement
d'aile
de la
VIE
pour les chéri(es)
autrement
y pas 
AUTRE
garder 
l'Oeil
pas crever
et l'autre ouvert
sur
 l'EFFROI
et la commisération
du
TERRIBLE
en 
ABYSSE
qui attend
et se maintient
actif
alors
L'ART
qu'est-ce que c'est... .



Plâtre De Paris
en vive mémoire
Il s'agit toujours
du 
passage
et le prix est exorbitant
et le secret
seul le
SECRET
le
SAIT
main à l'oeuvrage
en
ACTELIER
et cela débute
bien avant la naissance
et de même qu'après
TOUT



Là taire
et ses milles milliards
de colocataires
un ensemble
transformant
la boule bleu
en une autre belle couleur
digne
des planètes
de Holst
autant qu'en veut
la
MORT
humaine
trop
et 
sa maitresse
la terre mère
nourricière
infinie
de travailleurs
au noir
autant que veut
les larmes d'éros
Art-Ô
parlait de spermes de guerre
en fait
c'est la métamorphose
du
TOUT
et sa
DISPARITION
après 
TOUT
L'apprentis sorcier
sur le mont chauve
et ses milliards
orchestrés
de tapeux de pieds
Oui sauvons la taire
et ruines babines
avec au pupitre
et à la baguette
nul autre
que lui
le même
UN
des uns
tyran le diable
et le carrousel
et sa guéguerre
monétarisée 
la bite sous le bras
Jacques
JACQUES
et d'en avant dlà vent
les instruments
des sérials killers
créés pour ça
Sauvons la planète
et sa misère
qui ne finiras jamais
dit
Vincent

Misère Errante ( À Daumier)


L'art il ne s'agit
que de la main
à l'oeuvrage
Le lieu
et bien comme dit l'autre
est très peu propice
à la création
à part
Alain 
Lestié
mort
au combat
les autres pour ce qu'il en est
la collabos 
n'à pas perdus
 ses volontaires
les mêmes
UN
des uns
milliards de photographes
un 
Frank
Alors
Amis partons sans bruit
laissons là
l'univers
et sa bouillabaisse
et les frottis
du temps pestilentiel
du  
bruit qui va finir
et
de la
NATURE
natures
à ses devoir
ruinant
le pauvre
embellie
de
Vincent
et de quelques autres forçats
du on repasseras
alors la
FORME
le
STYLE
et le
RYTHME
chiffré
Klee tapant du pied
et à l'attention
de ses merveilles
mettant en théorie
de 
l'ART
la 
BEAUTÉ
résiduelles
pendant
 que guerroyeurs
et destructions
optent pour les tranchées
appelés
par la terre qui à
besoin de son sang
Le slogan
étant sauvons
LA TERRE



Petit bateau
dansant sur les flots
et des pensées
pour la mer
et ses instincts
contre périls
contre mort
osant tenir
 garder la forme
le rythme
et le style animal
en la grande soupe
des mers
 monde
darwinienne
et bien le réel
et son réveil
quand arrive
la faim le froid
et la 
grande dévoreuse
L'Insensé
demande
 à 
l'ART
d'y mettre son trait
traitant
d'un traité
au-delà
du bien du mal
et de jouir
de la lumière
en pleine nuit 
où 
le
TOUT
se prend pour rien... .
RIRE
l'apocalypse
sous le règne
gravé par
Goya
en la maison
assourdie
au noir
d'une érection
digne
 du précambrien
fossilisé
en son orgasme


... .de ceci découle
l'Art
en la faille maintenue
depuis la nuit
de tant de misères
à garder
l'ouvert
dans la marmaille
ventriloquée
pour un dessein
sous la faim
des faims festives
d'Hamsun
ou encor
du couloir
métaphore
du règne
animas animus
Donc peindre
dessiner
comme la voie
la main à
 l'OEUVRE
de
L'ART
en c'est peu
et c'est
TOUT
un petit dessin en sus



Passer
sous
SILENCE

14 févr. 2024

Visible


Et de cela
spiralé
vers
les faits 
défaits
de madame
Caraco
et sans bruit
car la main
repart
d'où aile
est venue
La réalité
de lui le même
UN
des uns
encor et des yeux
TOUT
le tour
de la tétête
étêtée
et bon qu'à ça
Les choses articulées
et bien
fichues
de tourner le cerf
veau abattu
dès la naissance
et mis en étalage
aux yeux de tous
Ces bêtes
nourries au sot
de l'homme
qui mange
pas lui l'autre
car la
MORT
c'est pas... .
N'existe que pour
nourrir
l'autodétruire
du monde selon
mappe
Et
les maquis
art
des reprises
du destin
des beaux ors
de 
TOUT
dans... .
le débranché
de choses et d'autres
et créer
pour 
Pas rire
de
Pompéi
sous le pavé
des ossements
qui n'attendent
que peu 
de la vie
qui reste
et le nombre
ne change rien
à l'affraire
le climat nourricier
et prédictible
alors
Quelques éparpillements
encor
et comprendre
faudra demander
si les choses congelées
résistent
aux dernier
du mot
du camp
Bref
de ce côté
l'exploration
de la phrase
et ses beautés
stylistiques
alors on est pas tous
des Kundera
des Roth
Bernhard
contemporains
des Jouhandeau
Léautaud
et la gagne
nobélisées
du boum
et la dynamite
et bien
parle moué
d'un choux
hiboux
et de la bouse
de m. Lachapelle
et ses genoux
... .
Qui à lu les Troyennes
du cheval
de Nietzsche
où le
CAPITAL
à bout de souffle
de 
god-art
enfin
Alors ce texte
parmi
TOUT
et bien 
le comité
de lecture
(l'invisible)
visible
car le
TOUT
est la somme
de son conditionnement
Oh... .
Toutes ces turpitudes
en sciences
dictées
par la fin
exactement
où commence
la phrase
On ne peut plus écrire
à manière 
devenue
un maniérisme
 circonplexe
sur le toit
de l'errement
d'un paquet de monde
sur l'autoroute
virtuel
du temps débranché
de la vrai vie
ICI
juste 
et
 D'AILLEURS
du monde y en auras 
en maudit
à dévoré
et à être mangé
en la patente
bien rodée
de l'éternel
etc tec cte



Faux pas
c'est mieux
que pas 
de la baleine
en filet
Moby Dick
les vies dansent
sur la corde
raide 
en de beaux draps
Aujourd'hui
comme hier
on ne sait plus quoi
manger
Et bien
alors autrement
la bouille à baise
L'ART
SILENCIEUX
si lent c'yeux
et pas du
TOUT
seul
mangeant
l'infini
vouloir
devenir
le but sans but
de la
CHOSE
remplir le frigo
avant la fin
des tant qu'à faire
TOUT
un roman
qui est sans sujet
et de plus en plus
débilitant
redondant
de la méprise
de la vrai vie
qui 
EST
après 
Proust
dans la lettre
et sur
TOUT
dans le
VERBE
Mon dieu
c'est quoi ça
Point d'interrogation
du temps à perdre
perdu à 
TOUT
prendre
en forme
de memoriam
histoire de dire



Angle
décadré
et inutile
mise en coin
De toute façon
personne
 ne comprend
vraiment
quoi que ce soit
voir
Bernhard
et demander
à sa compagne
vieillie
se qu'elle bien rie
de l'haut triche 
et de la mozartium
et les villes attenantes
Prise aux mots
( suivre la parade)
sinon
quoi que qui quo
cul par terre
et part 
de 
Rezvani
ou 
Juliette
Huot
pour la prolongation
de l'attente
des nouveaux arrivants
de Mars
ce béni des dieux
s'allouant
l'infini
projet
d'en finir
une fois
pour toute
Car 
L'ART
tire à sa faim
du désir
de père et tuer
la
NATURE
natures
en sa 
BEAUTÉ
d'embellie
d'art à gonds
pas surréel
pour 5 cents
visible
VISIBLE



Soi Dit En Passant


Oiseau 
fugace
remerciant
De Vinci
ou 
D'AILLEURS
Ne rien dire
car ce qui le devrait
ne se diras
pas
car la vérité
n'à aucune raison
de se dire
car
TOUT
est là
dans les faits
dit madame
chose
la mer
à tous éternellement
chauve
'' ...rien n'est sérieux
en ce bas monde
que le rire '' *
et ce qu'il y à
de plus que cela
le moteur réel
de la création
et bien
c'EST
d'ÊTRE
pas au-dessus dessous
des lois
au contraire
de la loi
mais
en 
CRÉATION
quand on accouche
faut pas demander
d'être pompier
alors
cela continu
sans autres
limites
limitant
le nombres
d'assassinés
à son plus petit coefficient
zéros sous 
le permis frost
et des mises en formes
pour sauter avec style
et ardeur
toute 
nietzschéenne
congelant
l'envie de rejoindre
la horde
et sa consumation
au ravage
des étals
et des mises à morts
L'ART
dans ses douleurs
maintient
sa fin
à son minimum
tenant
par
 l'AXE-D'ABRAHAM 
les mots pas gentils
et 
l'histoire
étant faite
que d'oublis
alors 
toutes
les visions
s'annulent
au bout d'une vie
Évidemment
ceci n'est pas
à comprendre
car il n'y à pas
de loi 
obligeant
cela
Du moins pas encor



L'ART
est provocation
le mot
art et or
la dorure
autour d'un 
Rembrandt
de
 Vincent
20 cents
mais aucune
motivation
en se sens
et le pourquoi
reviens au
TOUT
'' Jamais on à aussi
peu, jamais non plus
on à aussi mal peint '' **
et les musés
vidés
de ses croûtes
Rembrandt
Vincent
RIRE
Alors ça se parle
depuis les grottes
TOUT
est
grotesques
Il faut bien
VOIR
et lire
de rire
de soi
dit en passant
ART


Flaubert *
Jean Clair **