Il y a
du fragile
de l'apparence
et de la mise
en scène
dans le terrible
devenant
en sa nuit
ce qui en feras ceci ou cela
le contexte
de ce qui se nomme
la vie
en phase de lumière
sur le peu
de temps possible
donné
en ce qui est
LÀ
quincaillerie
des us et coutumes
là
Montaigne
là
Poune
ou
Bernhard
et
Ti-Gus
ou bien
Artaud
et
Tycounne
et puis
la nuit
en plein
jour
où là
les guides à profusions
pour le piquenique
ou la guerre
des choix infinis
mais
tous
convenus
fixés
ficelés
et ainsi que vive
cette chose
consumatrice
de la belle
au bois dormant
par les mots
à maux
du donnés
LÀ
en ce lieu
dantesque
kafkaïen
cioranesque
ou pounesque
Alors
à chacun sa mort
sa vie
sous la coupole
des fins dernières
Et
l'ART
ne dit pas
montre
(monstration)
du monde
en son agonie
de possibles
car toutes choses
finies
à été
au passage
du peu
de libre arbitre
qui en fait n'à jamais
existé
le monde
était peuplé
de ce qui tourne
en rond
en sa folie
mortelle
L'ART
de
TOUT
TEMPS
le temps de
l'ART
n'est pas celui du
commun
qui passe s'en
VOIR
et les rognures
des musés
amusant les foules
ou encor
la propriété
privé
et bien
Le peintre
le sculpteur
ou watt ever
de la situation
présente
indique l'heure
réel
du leurre
de ce qui est
en masse
en ce que veut
la
MORT
déguisée
en toutes les morts
et que seul
l'ART
va capter
et se le faire voir
en passant
Ici
toutes les ruses
de
l'ART
vont être employées
pour tenter sortir
de ce mirage
aux alouettes
Mais non
personne
ne sort vivant
de cette
dévoration
observée
le seul indice
EST
ce
VOIR
que donne
L'ART
le reste ne seras qu'
OUBLI
infini
Donc voyons
bien
Lascaux
ou
la balle dans la tête
de
Vincent
et vers les milliards
de quoi que qui
de la reproduction
des mortels
écrasés
de pyramides
de buildings
de maisons cossues
et les nids
en vérités
de
L'ART
allant avec les bottines
de vent
Qu'est ce que
L'ART
ceci
petit dessin
tenant
à l'écart
la
MORT
et ses doublons
troublons
ensembles
et se laisser
pasteuriser
le virus
du commun
des guerres entre eux
pour mourir
euthanasiés
en sang tous
ART
de quoi
tenir
quoi
pourquoi
l'un
fait danser
la mort
l'autre
la regarde en face
l'autre
perd au combat
et tous ces passeurs
sonnant l'alarme
en guet
de traits
traces signes
osant tenir
la lumière
sur l'abysse
du peu de temps
pour ce faire
sachant bien
la
MORT
et
L'ART
au passage
de cette beauté
mortelle
par
L'ART
donné
Donné
en sensiblement
possible
de ce qui
EST
L'IL Y A
Et de cela
pas si mystérieux
que d'être
mais persister
pour
VOIR
sans les milles
diversions
qui tuent
ce qui peut bien arriver
de la lumière
en si peu de temps
de
L'ART
acquis
antre-nous
le
TENIR
mais voyer
devant
juste un petit peu
de
LÀ
alors
quoi
L'ART
pas là
LÀ
et
SEUL
au bout du
CONTE
sur ce qui
c'est
donné
LÀ
en guise
cheminant
vers sa vérité
éternelle
osant
la distance
l'écart
main tenant
ouvert
la mise à mort
( métamorphose
ou destruction
de ce qui se donne
là
à
l'ART )
C'est à dire
en plein dans la
MORT
En l'irréparable
et que
l'ART
pour en tempérer
la
DOULEUR
que d'être
et
TOUT
le reste n'est que
diversions
de là
cette présence
en
Axe-d 'Abraham
que
L'ART
retient
malgré
TOUT
sans vraiment
fixer
le
LÀ
occident
ou orient
ou
TOUT
autre
contre violence
en ce qui se donne
à
VOIR
le silence
des grandes misères
animales
passant par ici
en tremblement
de détresses
perditions
et d'insensés
souffrances
à persister
malgré
TOUT
Joie
des animaux
qui savent
en
VÉRITÉ
où
ils sont
mieux que la distraction
devant
la
MORT
des grands imposteurs
( politiques philosophiques
artistiques
et autres
glorieux de la réussites)
ICI
c'est de la misère
qu'il s'agit
et la
DISPARITION
est la résultante
de cette situation
pleine
d'entourloupes
et d'insidieux
monnayages
d'affraires
de maladies
de pyramides
à citées
des morts
sacrifiés
du mensonge
pavé de bonnes intentions
Alors
quoi
L'ART
... .
pendant que mots
se posent
là
en s'en trop savoir
que de l'emprise
présente
LÀ
à tripoter
du sens
en inconnu
et
( les dieux sont sévères
envers ceux qu'ils appellent )
phrase qui revient
là
et puis
quoi... .
LA MORT
ce silence
d'EFFROI
et
de
SEUL
perdant la
lumière
sur ce qui semble
une souffrance
insensée
et d'une méchanceté
infini
alors
tenir
et
les larmes
animales
des abandonné(es)
de la gestapos
tyrans
tous ces déguisés
de la fureurs
et du ressentiment
ces enrôlés
de la
MORT
à contre
VIVRE
en don
d'AMOUR
antre-nous
passant en cette
vie
insaisissable
du
MOURIR