29 déc. 2023

ART


Il y a
du fragile
de l'apparence
et de la mise
en scène
dans le terrible
devenant
en sa nuit
ce qui en feras ceci ou cela
 le contexte
de ce qui se nomme
la vie
en phase de lumière
sur le peu 
de temps possible
donné
en ce qui est
quincaillerie
des us et coutumes
Montaigne
Poune
ou 
Bernhard
et
Ti-Gus
ou bien
Artaud
et
Tycounne
et puis
la nuit
en plein
jour
où là
les guides à profusions
pour le piquenique
ou la guerre
des choix infinis
mais
tous
convenus
fixés
ficelés
et ainsi que vive
cette chose
consumatrice
de la belle
au bois dormant
par les mots
à maux
du donnés
en ce lieu
dantesque
kafkaïen
cioranesque
ou pounesque
Alors
à chacun sa mort
sa vie
sous la coupole
des fins dernières
Et
 l'ART
ne dit pas
montre
(monstration)
du monde
en son agonie
de possibles
car toutes choses
finies
à été
au passage
du peu
de libre arbitre
qui en fait n'à jamais
existé
le monde
était peuplé
de ce qui tourne
en rond
en sa folie
mortelle
L'ART
de 
TOUT
TEMPS
le temps de
 l'ART
n'est pas celui du
commun
qui passe s'en
VOIR
et les rognures
des musés
amusant les foules
ou encor
la propriété
privé
et bien
Le peintre
le sculpteur
ou watt ever
de la situation
présente
indique l'heure
réel
du leurre
de ce qui est
en masse
en ce que veut
la
MORT
déguisée
en toutes les morts
et que seul
l'ART
va capter
et se le faire voir
en passant
Ici
toutes les ruses
de
 l'ART
vont être employées
pour tenter sortir
de ce mirage
 aux alouettes
Mais non
personne
ne sort vivant
de cette
dévoration
observée
le seul indice
EST
ce 
VOIR
que donne
L'ART
le reste ne seras qu'
OUBLI
infini
Donc voyons
bien
Lascaux
ou 
la balle dans la tête
de
Vincent
et vers les milliards
de quoi que qui
de la reproduction
des mortels
écrasés
de pyramides
de buildings
de maisons cossues
et les nids
en vérités
de
L'ART
allant avec les bottines
de vent
Qu'est ce que
L'ART
ceci
petit dessin
tenant
à l'écart
la 
MORT
et ses doublons
troublons
ensembles
et se laisser
pasteuriser
le virus
du commun
des guerres entre eux
pour mourir
euthanasiés
en sang tous
ART
de quoi
tenir
quoi
pourquoi
l'un 
fait danser
la mort
l'autre
la regarde en face
l'autre
perd au combat
et tous ces passeurs
sonnant l'alarme
en guet
de traits 
traces signes
osant tenir
la lumière
sur l'abysse
du peu de temps
pour ce faire
sachant bien
la
MORT
et
L'ART
au passage
de cette beauté
mortelle
par
 L'ART
donné
Donné
en sensiblement
possible
de ce qui
EST
L'IL Y A




Et de cela
pas si mystérieux
que d'être
mais persister
pour
VOIR
sans les milles
diversions
qui tuent
ce qui peut bien arriver
de la lumière
en si peu de temps
de
L'ART
acquis
antre-nous
le
TENIR
mais voyer
devant
juste un petit peu
de
alors
quoi 
L'ART
pas là
et 
SEUL
au bout du
CONTE
sur ce qui
c'est
donné
en guise
cheminant
vers sa vérité
éternelle
osant
 la distance
l'écart 
main tenant
ouvert
la mise à mort
( métamorphose
ou destruction
de ce qui se donne
à 
l'ART )
C'est à dire
en plein dans la
MORT


En l'irréparable
et que 
l'ART
pour en tempérer
la
DOULEUR
que d'être
et 
TOUT
le reste n'est que
diversions
de là
cette présence
en
Axe-d 'Abraham
que 
L'ART
retient
malgré
TOUT
sans vraiment
fixer
le
occident
ou orient
ou 
TOUT
autre
contre violence
en ce qui se donne
à
VOIR
le silence
des grandes misères
animales
passant par ici
en tremblement
de détresses
perditions
et d'insensés
souffrances
à persister
malgré
TOUT
Joie
 des animaux
qui savent
en
VÉRITÉ
ils sont
mieux que la distraction
devant
la
MORT
des grands imposteurs
( politiques philosophiques
artistiques
et autres
glorieux de la réussites)
ICI
c'est de la misère
qu'il s'agit
et la
DISPARITION
est la résultante
de cette situation
pleine
d'entourloupes
et d'insidieux
monnayages
d'affraires
de maladies
de pyramides
à citées
des morts
sacrifiés
du mensonge
pavé de bonnes intentions
Alors
quoi
L'ART



... .
pendant que mots
se posent
en s'en trop savoir
que de l'emprise
présente
à tripoter
du sens
en inconnu
et 
( les dieux sont sévères
envers ceux qu'ils appellent )
phrase qui revient
et puis
quoi... .
LA MORT
ce silence
d'EFFROI
et
de
SEUL
perdant la
lumière
sur ce qui semble
une souffrance
insensée
et d'une méchanceté
infini
alors
tenir
et 
les larmes
animales
 des abandonné(es)
de la gestapos
tyrans
tous ces déguisés
de la fureurs
et du ressentiment
ces enrôlés 
de la
MORT
à contre
VIVRE
en don
d'AMOUR
antre-nous
passant en cette
vie
insaisissable
du
MOURIR


Ne Pas Dire


Elle savait
la
MORT
et
 l'ICI
l'abattoir
au jardin
des délices
l'on s'habitue
à
TOUT
à la main
assassine
un meurtre
une guerre
des chiens 
150 200
abattus
pour avoir
 fait confiance
au président
à lui
le même
UN
des uns
tripotant du tripot
au sous-sol
du goulag
et des aveuglés
consumés
en temps
de tant
monnayer
et contre
la
VÉRITÉ
d'Althusser
assassinant
la dernière
raison
marxophilosophant
le
monde
selon
l'EFFROI
en
PLEINE LUMIÈRE
abyssale
de la présence
en
TOUT
et pour
LA MORT
Un rituel
dès la mise en scène
à la pouponnière
MONDE
à déguster
au vert tendre
pour mieux te manger
mon enfant
ABATTOIR
Et après
quoi que qui
quo cul
LA PART
du
TERRIBLE
d'à chacun
sa mort
Alors qu'est-ce que
mourir veut dire
Idéologiquement
la justification
que d'être
POUR
l'insensé
de quelque chose
d'armé
 obéissant
au clan de lui
le même
UN
des uns
de la
MORT
jusqu'au dernier
L'ART
pour ne pas mourir
de la
VÉRITÉ




Et que peut ce tenir
au passage
inquiet et plein
d'angoisse
sur l'offrande
à diversion
pour un plus de lumière
et encor
qu'est-ce que cette
LUMIÈRE
là faisant
VOIR
tant bien que mal
et en pleine mort
dedans dehors
SEUL
et les aimé(es)
de bien vu
et 2 fois
plutôt qu'une
ART
ce qui fait le point
d'appuis
permet de doute
et d'errance
éperdument perdus
en cette histoire
us et coutumes
à l'avancé
technique et portant
à son comble
la
DISPARITION
que d'être
en toute conscience
de l'atroce
à quoi son soumis
les animaux pensant
sachant bien
le tremblement
CONSCIENT
devant la fin
QU'EST-CE QUE
peut 
l'ART
en la solitude
infinie
qui lui échoit... .
Tenir mais à quoi... .
Faire ouvre œuvrer
ouvrir encor
du possible
en 
VÉRITÉ
de
TOUT
est foutu soyons heureux
ou encor
ce
TOUT
en bloc
scellé
d'ayant été
quoi... .
ART
de lumière
sur un incompréhensible
destin
pas du
TOUT
pas Céline ou Levinas
pas de
Melville
ou du silence
pour le dire
ART
antre-nous
le perçu
l'aperçue 
le tenir 
en formes
styles
approches
par l'Oeil
main tenant
l'où vers
à
VOIR
se donner à
VOIR
antre-nous
les sensibles
et très amoureux
du
ICI
D'AILLEURS
ART
de partout
pour
RIEN
qu'être
à jamais plus
sur le radeau
de la mésuse
d'AMOUIR



Marelle
ancestrale
et des enfants
des chiens des chats
des animaux
de souffrances
voyons
VOIR
il faudra bien
TENIR
contre
MORT
seul
objet
de désir
est-ce qu'un sous-homme
et surhomme
un homme
et ou encor
tant de justifications
infinies
contre-dit
toujours
en fuite
cravachant
de la misère
se croyant
fort
comme 
lui le même
UN
des uns
dans la débâcle
du temps
d'histoire
racontée
par un tyran là
le diable par la queue
de la destruction
de pas lui l'autre
en un tous
pour la
 MORT
Des idées
au passage
guillotiné
de tous par tous
obéissant
à l'instinct
funeste
de la
MORT
( ART 
tous les nommer
ces fous d'ART
et d'eau fraîche... .
aujourd'hui 
disparus
dans les musés
amusés
des foules
distraites
en pleine
MORT
de la
MORT
morte)
AU PASSAGE



Image




26 déc. 2023

Regard


 

... .et en
Conte 
tenant 
la main
malgré
TOUT
ce faire avec
par 
le retenir
sa rage
consciente
... .
des dés pipés
de l'infame
état 
d'applaudies
des morts
consumés
pépères
mémés
de la salle affraires
et bien... .
de l'autre bord
ICI
MÊME
D'AILLEURS
en don 
de contre-don
du 
BOOM
final
en beaucoup
d'oiseaux
foudroyés
et les maux
furent
en mots
qu'effleurement
de ce qui n'était
que sombre part
de lumière
sur 
la
MORT
dedans dehors
la horde
complaisante
et commune
en
TOUT
gros paquet
bien ficelé
pour un caca
d'os
de No Way
Martinet
mais ceci
était avait été
en
DISPARITION
de la cul dur
et grotesque
érection
finale
Formellement
tranquille
et passant
outre
à la menterie
du festif
et des pas lui
LUI
l'autre
et ceci étant depuis
toujours
la misère
immonde
du peu de joie
d'ART
osant
tenir
et n'y ayant accès
que par particules
poussières
d'errance
en l'horreur
intenable
par petits dessins
donnés
TENIR
au feu
le 
MONDE
ILLUSION
infernale
d'affres
au compte
bancale
de l'impossible
quoi que qui
co cul
au lit de pro-cuistres
et 
Martinet
(qu'est-ce qu'ils
ont fait du ciel?
 La lumière verdâtre pèse
des tonnes)...'
et puis
Alors
c'EST
d'ABANDON
ce
TOUT
bâtit
sur des lubies
d'emmurées
Mais après
ce qui
EST
en double
en triple
quadruple
ou comme le veut
le piège
politique
ou bien
le passage
d'ART
ou encor
par les chemins
du compost 
elle
lui
et des tas d'autres
le même
UN
des uns
condamné(es)
à de pour
dans la nuit
épaisse
en plein jour
VOIR
la
BEAUTÉ
 d'EFFROI
disparaître
et 
du noir
ancestral
innommable
en milliards
de trilliards
d'ennuis
de morts
repris
et rerepris
encor
rerererere pris
Infini
ICI
MÊME
D'AILLEURS
en point d'appuis
de coeur
cassé
pour
le vrai
invisibilisé
par
la
MORT
qui marche
et fait des affraires
et circule
déguisée
en l'état 
d'autophagie
univers
là encyclopédie
du rien
du
TOUT
fossoyant
la mort
et ses légionnaires
de la
Joie
de l'instant
en
TOUT
entrepôt 
des corps
pour le dr Tulp
et le gang à 
quoi que qui
cocufiant
l'en faire
de l'histoire
agents tripant
de la bouille à baise
bien tranquille
sous la houlette
de feu 
le rocher de la vierge
au du trou
de la plage
aux festin de bobette
Alors
ses jolies cocos
de la vérité
de la
MORT
TENIR
est ce chemin
ouvrant
l'advenir
sans parachute
et sachant bien
mémoriser
cette chose
du hasard
que d'où ça sent 
le
TOUT
et ses tremblements
TOUT
en disparitions
devant le mensonge
(envoûtements
sorcelleries
avancées  
des sciences
et du malheur
camouflé
par la manipulation
des ventriloques
 de la morts
tas d'elles
ou encor
le perd la chaise... .)
Alors
oui la couleur
de mes rêves
oui la lumière
du coeur
la bonté
dans le crépitement
des morts
en des vérités
de bonnes intentions
... . 
LA MORT
et... .
QUOI 
le réel
consumant
des ce que veulent
follow de guide
en 
Jonestown
et ses joyeux
No Way



Il y a
mais quoi... .
Cela relève
du
SEUL
ART
posthume
depuis
la faille lumineuse
et ses postromantiques
appels
anonymes
insaisissables
7 vies
au
Nulpart
de ce qui se heurta
à la
VRAI VIE
parmi
la scène shakespearienne
du lieu
SACRÉ
pour un plus
ajouté
aux sacrifiés
de
L'EFFROI
L'ART
EST
la part
DONNÉ
du
SACRÉ
sans connaissance
s'objectivant
dans la crasse
mondaine
et scientifique
des bonnes intentions
Alors
OUI
qu'est-ce que le
réel
convenu par la somme
assommée
par l'imposition
de la fracture
à bébelles
DISPARUE
en c'est
TOUT
comme lui
le
UN
des uns
en sa 
MORT
morte
ART
de socles et poussières
de
faire le tour
de la terre
étêtée
de sa 
MORT
et devenant vent pire
en sa 
MORT
morte
et sans dessein
ALORS
ceci
 L'ART
EST
ce point d'appuis
et n'est sur
TOUT
pas ce que pense
la
MORT
OEIL
s'Oeil
et f'Oeillant
la marre 
guerre 
de la faim
des tant go
fauchant
là lui
le MÊME
UN
des uns
les épelés
sans appel d'offre
et peu importe
la hauteur
de son trône
et bien
qu'elle histoire
Ronde de nuit
de jour
Ici Rembrandt
au musé
des fins dernières
ou 
Delacroix
encor
les milliards
au grappin
de
 l'ART
ou
la
 MORT
histoire
ou conte
de la traversée
du miroir
encor
de 
l'EFFROI
de
 l'État
ou encor
les tragédies
de
Lascaux
Friedrich Gaspar
encor
tous en fait
un faire 
VOIR
la lumière
éclairant
la misère
et la souffrance
consciente
du leurre
envoûtant
l'écroulement
d'AMOUR
et la perte
de la
SEUL
raison
d'être
VIVANT
en son passage
Cheval
de
Nietzsche
asperge
de 
Manet
soulier de Vincent
Dedans
Dehors
au seuil de l'abysse
de là
L'ART
d'atteindre
le nid
le banc
le
seul(e)
SEUL
au cri
terrifiant
de ne pas... .
Qu'un 
SILENCE
d'abattoir
sur
TOUT


Art


... .
La
MORT
et de 
TENIR
sachant bien
qu'elle règne
sur la place
du
ciel et de l'enfer
par ce qui se donne
et que 
TOUT
appelle la vie
Et cette parenthèse
en temps
compté
comptable
et trier
du
JEU
avec l'autre
lui le même
en pleine lumière
l'Ukraine
l'autoroute
les virus
et en plein festif
sous le gros état
No Way
en la mort
déguisée
en guide
miche pain
et entourloupes
pour le bien
le mal
et la race de monde
grugeant l'os
main tenant
la lumière
en contre-mort
pour un petit
dessin
de marelle
en les chéri(es)
et sous la tenaille
de la
MORT
dedans dehors
et retenir
l'horreur
donnant l'heure
exacte
du temps alloué
au théâtre
et au double
d'Artaud
à Rosset
TOUT
cso
ou
foutu
ou
le règne
de l'empathie
choisie
dedans dehors
sans motif
motivation
ou 
SEUL
fragile
à merci
du gros loup louve
dévorant
au plus fort la dent
avec dentier
après l'Adam
du fruit défendu
pour un ensemble
microbiens
monde
ou
PAS
Alors
la lumière
sur
TOUT
et la
JOIE
au tomber
en connaissance
de cause
Au fond
oui
en l'insaisissable
douleur que d'être
pour
un petit dessin
de vive mémoire
in memoriam
Que l'image
en sa vérité
celle de la main
posant
le trait
de lumière
en indiquant
sa position
de terreur
d'effroi
de
VOIR
l'abyssal
position
des matières
brassées
remuées
triturées
d'un insensé
rythme
à massacre
et confirmant
le
VOIR
de
L'ART
depuis le début
où 
l'ART
à retenu
l'observé
au passage
vers sa fin
Instant
illuminant
la 
VÉRITÉ
 du
VOIR
SILENCE
de l'image
et dupliquer
par les mots
du oui du non
et des positions
historiques
et opportunistes
mais qui ne change
pas
LA VÉRITÉ
du
MASSACRE
univers
Du plus loin
qui se pense
au plus près
qui se donne
Alors
et bien
un ptit dessin
sur l'emmurement
du passage
du temps
insipide
et caduque
en mode
OUBLI
éternel
et la présence
en
VÉRITÉ
de
L'ART
chemin sang chemin
vers
Nulpart



S'Oeil
tombant
sur la f'Oeil
en l'infini
perdition
'' Quand ce peuple pourras
penser et rêver
on lui donneras l'art
qui fait penser et rêver '' *
Alors du mur
murmurant
en la limite
du
VRAI
LA MORT
de là
et pour laisser passer
la
Marelle
jusqu'au ciel
d'antre-nous
les rescapés
de l'éclair
et proposant
de la diversion
pour dessiner
un trait
tenant main tenant
sachant bien
qu'il
EST
voulu
l'AMOUIR
et que l'on meurt
de la perte 
lumineuse
de voir
VOIR



À dessein
main tenant
ce qui advient
une fois
pour toute
dans la
MORT
ce peu de misère
pour
VOIR
l'ÉTAT
de ce qui
EST
de la souffrance
exorcisée
par l'infime
dessin
de coeur cassé
TOUT
AUTOUR
du
TOUT
rendre visible le visible
la liberté
étant
 de mourir
vivant
en plein tombe haut
et 
d'à jamais plus
la vie
dans la
MORT


Moreau *