'' Il ne m'arrive rien '' *
Enfin
quoi
le silence
désœuvrant
de la création
de ce qui se gausse
de la droite gauche
d'avancer en arrière
du cri
de la langue
où
rien ne se passe
que de détruire
le
RIEN
que de le dire
impunément
étêté
de lui le
MÊME
UN
des uns
contre personne d'autre
que l'orgueil
de savoir
l'ex tasse de thé
on coupe court
au bonheur
de la malédiction
du la rousse
et du compte
de quelque chose
à redire
du squelette
du géant
beau prés
où brouté
le verbe au reprise
en cycle clique
néantisant
le né en ti-jean
comme de vent
le coure est plein
de ce que l'on sait
depuis art-ô
et la
disparition
des ires
désirant
le père no way
dans la cheminée
du martinet
Ceci est la fin
infinie
dodu
mâchant
dlà gomme
au tranchée mince
du cervelet
en sauce reprise
parler en bien ou mal
Alors
le conte
final
encyclopédie
péteux de broues
en cycle pot de pisse
c'est à boire
qu'il lui faux
Parler pour
TOUT
en
TOUT
TOUT
C'est vrai
la vérité
c'est vrai
vraiment ça
lui le même
UN
des uns
fourré par
TOUT
infiltré
du club
trié
sans la prise
de taire
nietzschéenne
ou encor
'' le surhomme
est un idéal prématuré
qui suppose l'homme '' **
bon qui que quoi
co cul
à boniche
magouillant
le festin
de beau bette rave
de la rat dit
celle
qui vient
après
TOUT
En vérité
VRAI
Allons qu'on prenne... .
RIEN
et
TOUT
et un va et vient
de flipflopflaps
terrestrement
éternel
en
Faits
d'un fourre
TOUT
mais pas que... .
de la
Vérité
il y a
l'Art
mais qu'est-ce que
L'ART
ICI
D'AILLEURS
et
TOUT
de même
en somme
et les sommets
JEU
sérieux
et hors la bande
à
filons
des mots
en maux dits
de la clique
à que cane
sur la parois
du
tome haut
des élues
éludant l'innocence
gaspérienne
gilésienne
d'être ou pas
du trépas
de l'oignons
et du grain de riz
dans la foire
opportuniste
des fins dernières
aux têtes étêtées
des Samsa
pour un temps go
encyclopédique
guidé
par ses peaux de pisses
autant va la cruche
à la fin
qu'elle
Kraus
les cruches
Alors
il était de tous petits
pelotons
en régis ment
et pour
TOUT
dire
et le fruit de vos
entailles
chutttt... .
(une crisse de chute
sans parachute)
Passons balai
et stalkernisant
la dame au camé
de la vie
en p-rose
c'est extra
une glace
sur la plage
devant le rocher
de la vierge
enfantant
le passage
au trou
du fond
d'Aragon
et Boby
et la maman
des poissons
dans le bocal
matissien
en cri
de
Munch
sous la roulette
rustre
en pipes
magritsiennes
agrippé
'' Vos seins sentent
la faim et vos fronts
la sueur '' ***
Dedans dehors
en débandades
redite
en queux
de poison
de la raie
de la bitte
sous le bras
de la casse
des parts
de quoi que qui
co cul
'' La lune
est le rêve
du soleil '' ***
ou bien
en vérité
l'enfer
me ment
Hölderlin *
Kraus **
D'Aubigné ***
Klee ****