28 juil. 2023

Post-Proématique


Enfin aile 
et pas eux
les collabos
exterminés
des... .
Qu'est-ce que
l'ART
des vers gondés
en temps
sortie 
du bon dieu
et de la peau câlisse
humant 
le paradis
de la bande
débandée
depuis
la fin du jour
ou pas âme qui vive
dans l'atome
des disparus
depuis
le commencement
de l'histoire
des fins fit nos
thing to do
des fonds
marins
décapités
et chauffer
a-blanc
ICI
VOIR
le début du
MONDE
par la faille
céleste
du
COEUR
tenant lieu
sur socle
d'ayant vu
antre-nous
l'épave
au
 s'OEIL
d'infini
candeur
cheval nietzschéen
sur les îles de sables
après 
TOUT
du malheur
mécréant
le désert
de lui
le même
UN
des uns
barbare
et foudroyer
par l'indice
sans mot dire
de la 
VÉRITÉ



Espace
en
 s'OEIL
des mords 
d'Adam
de là
de toujours
il était
la fin
au jugement
du juge et parti
apocalypse
d'homme
fait de faits
pour la
MORT
dès la 
NATURE
natures
grooooouuuu... .
et exaucer
de la fin
des temps
chiffrés
1 deux trois
quatre
5
2025
alors
Au
Ô
ho!
au 
eau 
haut
ommmmm
ni en le nez
gogolien
où prend pied
aux pies
trois
 14 seize 
au vent
devant
le
PARADIS
qui 
EST
TOUJOURS
ICI
MÊME
et prendre le verbe
à la racine
du figuier
enténébré
par la
DISPARITION
de
 l'embellie
épiphanique
naïvement 
soufflé
de perdition
Enfin
la lumière
fut


Après Tout


Loin... .
loin si loin
du vrai
de vivant mort
et mort vivant
de quoi que ce soit
en fait
croyant ceci cela
tantôt non
et bientôt
enfin
fin
de quoi 
en somme
en
 UN
là planté
pour mourir
d'abattoir
TOUS
aimés
hais
aussi
en mix me up
la patente 
à gosses
de machines
à tuer
pleine 
lumière
Ça embrigade
histoire
de passer le temps
son tour
prenant l'autre
en d'autres
agonies d'attentes
machins
choses
en magie
d'envoûtés
de cons sacrés
des mots arts
art-ô
vain si
ou encor
vingt cent milles
autres soleils
tournant 
l'effondrement
des fonds
marins
des tas d'autres
apocalypses
et le serment
des oracles
de 
Collin
et pour la prédation
du meilleur
en tournedos
d'infinies
naïvetés
amusant
la tiraille
armées jusqu'aux dents
en son 
tube digérant
lui
le
même
UN
des uns
d'à jamais plus
au doigt et à l'oeil
pour
des prêches
pêchant
des monstres assoiffés
de sang chaud
bouillant
de vivance
au conte
du proématique
en posthume
d'AILLEURS
ICI
MÊME
'' Notre personnalité sociale 
est une création
de la pensée des autres '' *
et ici
même
en guerre mieux
passant
du livre
aux livres
et aux lèvres
des chéri(es)
d'AMOUR
hors la horde
sang t'y fier
car des oiseaux
tombent
en massacres
de bruissances
ni vus ni connus
au noir 
du troué
d'éternuité
au mot tel
Cadicoït 



 ... . qu'est-ce que
l'ART
c'est belle et bien
et c'
EST
aussi
PEU
 que 
TOUT
pour
par faire
la part
des choses
et donner
à
VOIR
qu'il nous faut
du
s'OEIL
au 
sol'OEIL
sur la parois
du passage
au vert
 tige
des forêts
 à celui
de l'abysse
au chaman cloîtré
de pape
 au thé
hier
de mains
au jour
noirci
de la 
MORT
oubliant
le
sidérant
que d'être
ICI
MÊME
instant
à naître
et clore
au vent
éparpillant
le
CONTE
au bout de l'histoire
d'il y à 
fort
longtemps
ART
arraché
au mur
des lamentations
exauçant
la venue
de la durée
de ceci
plutôt que cela
imageant
  Proust
en
 Joyce
et
Beckett
ou
encor
des masses
en chapeaux
képis
casques
bérets
offrant
 là
des fleurs
des bombes
du dire
à redire
à contre
MORT
dedans dehors
tenant 
 l'uni-vers
encadré
d'art
et de lumière
Alors 
le reste
 pont 
sable
au bout du conte
Qu'est-ce que
l'ART
après
TOUT



Proust *

26 juil. 2023

Tête


Art
de ce qui
en relève
de ce 
JEU
de jeûne 
si près
des morts
aux chants
funèbres
d'antre-nous
la lumière
en faille
au sortir
de l'enfer
Dante
Joyce
LUI
le même
UN
des uns
la nuit
transfigurée
part
de joie
allouée
aux horribles
travailleurs
et des poètes
après 
TOUT
et de la 
post-proématique
pour 
la fin nihiliste
en forme
de chaosmos
Qu'est-ce que
l'ART
suite
à la
MORT
déguisée
en milliards
de facétieux
guidés
par l'instinct
d'en finir
avec 
TOUT
pour néantiser
la 
VRAI VIE
ICI
MÊME
au passage
d'AMOUIR
et de
 re-connaissance
de désir
tenant 
l'esprit
hors la horde
à guéguerres
pour des peanuts
fratrie
mort tu erre
à  des fins
d'extermination
Nature
natures
Alors
avec
Villon
la balade
avec eux tous
les sacrifiés
d'abattoirs
et de bbq
des étales
où il faut
 que ça saigne
encor
et de la misère
qui d'errance
en insignifiance
et tremblement
devant ces espaces
infinis
et du
 s'OEIL
à l'aube
récitant
des émotions
d'effrois
et
d'élévation
devant la
BEAUTÉ
du
PARADIS
antre-nous
entrevu


Et bien
quoi l'éternité
les mères
allées
avec la peau aussi
des banques routes
sur le temps
des pâquerettes
au raz du sol
si do ré
des tournesols
aux labours
du coeur semant
les parcelles
exaucées
de lumière
ICI
MÊME
sur le socle
de la
VIVANCE



Tout discours
alentour
autour
dedans dehors
de
 l'ART
 créant
du donner à voir
au passage
de la lumière
chutttt....eeeee
une crisse de chute
sans parachute
pour un ptit dessin
en passe
partout
'' Nous courons
sans souci
dans le précipice... *
et à dessein
au
 s'Oeil
du retour
infini
à la souffrance
éternelle
du grand
 recommencement
MONDE


Pascal *

l'Effleure


Alors soit
posthume
avant l'arrivée
des doubles
triplant
l'engouffre
par où
 l'Effroi
capte
filtre
ses morts
arrache
infecte
les chairs
mangées
ayant dévorées
du vivant
sur bbq
des feux
d'ignorances
et cendres
noircies
des trous
 noir
d'en
Somme
et des 
c'Yeux
crevés
des cris
d'enfants
aux mains
du Diable
au vert
et les... .
chimères
monnayées
de pas lui
l'autre
pas eux
ceux-là
 Ô
quel affraire
et
 stragédie
du dernier repas
des tombes
Ô
du fiel
et du sang terre
de ruines
en juste
retour
du lieu
des épelés
d'Apocalypse
Ô
trait d'union
délivrant
la création
du monde
du joug de l'histoire
et sa fin
de qui est pris
qui croyait prendre
évanouie
en sa froideur
éternelle
Ô
doux 
suis-je
Ô
d'où
ça parle
s'écroulant
du sang
 doute
et tremblant
dit 
comment
est tu certain
de quelque chose
à dire
du mal d'horreur
du coeur
libéré
du prix
de son battement
chronométré
'' Vivre tue '' *
autant 
que veut le vent
qui vient
devant
l'avant
devançant
le spasme
effleurant
l'éternité
d'instant
fatidique
au couloir
d'Harpies
ténébreuses
sur la débarque
des rives
 postproématique
Bien évidemment
la
MORT
en face
change les fusils
d'épaules
emporte le regard
balais
en
SEUL
tenant lieu
d'imperceptibles

ICI
MÊME


Oracles
battements d'elles
de mers
calcifiées
d'outrages
... . non en vain
de froide
 et terrifiante
advenue
pavée
de sangs séchés
d'air ignorant 
l'espace
des cendres
et tantôt dévoré
par chez pas qui
lui le même 
UN
ou bien
nothing to do
encor
des écritures
tenant sans permission
sans 
commandement
qu'obéir
à l'obéissance
des larmes
du déchirement
de l'âme-esprit
d'antre-nous
de ce qui
EST
de la musique
en fin
de piste



Plâtre De Paris
(2008-9)

Que de sottises
en mots à maux
pour 
TOUT
dire
redire
l'infini
de quoi au juste
neige sable
boue
marécage
sordide
perception
monde
Paradoxe
contradiction
blablatage
verbillage
d'il était
quoi
en la grande marmaille 
entrevue
par la faille
où se piétine
milliards
de particules
plus ou -
moins ou +
de petits gros
et d'entre
2
jouant de la marelle
en somme
faire accroire
diversions
sans fin
DE QUOI
bâtir débâtir
rebâtir
Rien ne se perd
rien ne se crée
se transformant
le temps
caduque
histoire
de dire
qu'au bout du
CONTE



Socles
 Et
 Poussières

... . et des effleures
dedans dehors
antre
sur
TOUT
de 
l'ART
avant
après
pendant
que meurt l'infini
givré
de l'univers
pascalien
d'où ça parle
au 
s'Oeil
vertigineux
du
 LIEU
hors le commun
dénominateur
du 
UN
des uns
au don
sans contre-don
en forme de petits
desseins
sur la
 TABLE
à dessins
de main tenir
le désir
désirant
désirer
le feu de paille
de la courte 
vivance



Aquin *