23 juil. 2023

Tri-Âge


Plâtre De Paris
(2008-9)

Le Couple


Plâtre De Paris
(2008-20) 

La Nef


Plâtre De Paris
(2008-9)

Balzac


Plâtre De Paris
(2008-9)

Là Quand
L'Érection


Plâtre De Paris
(2008-9)

Le Canapé
et
Son Modèle
Olympia
ou encor
pour les intimes
Des Lires
Sur
 La Sculpture


Plâtre De Paris
(2008-9)

La Mère
Au Fond
de l'avalée
Bas relief
Ô 
reliant
l'antithèse


Plâtre De Paris
(2008-9)
Le Coq
Offrande
à
Brancusi



Plâtre De Paris
(2008-9)


La Sainte-Victoire
ou
La Mise
en
Croix
du paradoxe



Au Chant


La danse
en 
la 
Nature
natures
tripotant
de l'an 
Somme
pour
en sortir
des délices
de la guerre
 du vent
de la terre
qui à besoin
 de son sang
guidant le peuple
sur radeau
de la mésuse
ou encor
de bien d'autres
formes
de la
MORT
en commun
toute freudienne
après-tout
APRÈS-TOUT
alors
soit
et que la lumière
fut
le fruit
des entrailles
au chant
du signe
et des nids
d'espace
infini
par petit dessin
indiquant
l'utopique
participation
à l'oeuvre
de la
Vrai Vie
hors des corps
mourant
sans appel
d'offre
et de demande
Qu'est-ce que
l'ART
après-tout
Et bien
la
Somme
et le
TOUT
d'en faire
un
PARADIS
d'AMOUR
et d'eau fraiche
pour l'ensemble
des émotions
pour 
TOUT
dire
'' il faudrait comprendre
que les choses
sont sans espoir
et être pourtant
décidé
à les changer '' *
Alors
Nature
natures
dedans dehors
et sceller
noeud gordien
de dieu
seul
 sait
le pourquoi du programme
d'Apocalypse
prétentieux
et voulu
par ses forces
de 
MORT



Pensées
pour
Saïs
et l'horreur
d'avoir
été
portée
au mur
décapitée
du passage
par milliards
d'étêtés
Chérie
SEULe
antre-nous
Exactement
triste
et toujours
éperdument
perdu
vers
Nulpart
en avançant
sur une musique
de
Collin
pour nous
juste
l'instant
précis
où 
d'où
vers
hors chant
des leurres



Fitzgerald*

21 juil. 2023

Art Et Sa Fin



Ici
d'AILLEURS
pour quelques temps
déjà
trop
tard
un sauve qui peut
où personne ne se...
Cela aurait pu être
comme ceci
Pourquoi le sans
pourquoi
des morts
passés
repassés
oubliés
à jamais plus
Ceux d'ici aussi
tantôt
L'OUBLI
éternel
des êtres
d'à jamais
maintenues
et puis lâchés
dans l'univers
infini
des poussières
L'EFFROI
mystérieux
du passage



Pas plus
des froides
leçons
schopenhaueriennes
 des vents
 tempêtant
 d'absurdes
 douleurs
silencieuses
et d'atroces
attentes
exterminatrices
d'amours
cassés
d'inattendus
déjà
ICI
MÊME
sous peu
après
TOUT
'' Peut-être
 sommes nous
tous morts '' *
et pour 
TOUT
dire
sur la
MORT
toujours
et 
RIEN
que ça
Température
chez le sang chaud
près du 
sol'Oeil
où la cuisson
en petit dessin
à dessein
de noui
pounesque
et arabesques
Autant rien dire
que dire des sottises
quand là
la vérité
SACRÉ
au fond d'un trou
le même
ramassant
les mises de fonds
sanguinaires
sur la pyramide
du passage
chuchotant
à l'oreille
de l'univers
la réponse
avant d'arriver
au
JE
tu il 
nous vous tuent
de la terre
rouge
comme une poire
de Daumier
concombre
futé
au pays
d'il était
temps
de
TOUT
en
ART
effleurant
raz la pâquerette
de madame
atomique
bombant
de la vrai vie
TOUT
CONTRE
Schopenhauer
au festival
d'atrocités
d'exultations
nihilistes
et tenant
devant
 l'AXE-D'ABRAHAM
et ''...les dernières
paroles sont
pour les imbéciles
qui n'en ont pas dit
assez '' **
ART
de la tirailles
dans l'assiette
 miséreuse
sous le couteau
de l'Oeil
au aguet
apollinairien
des ajouts
lumineux
sur le triage
de la 
VRAI VIE
d'AILLEURS
ICI
MÊME
TOUT
EN
main tenant
le pinceau
à la main
retenant
ses larmes 
érotiques
pour la belle 
Victoire
sur 
le s'Oeil
du temps qu'il fait
de l'homme ayant 
perdu la mémoire
sur l'autoroute
à péage
de ci c'est lui
c'est l'autre
Fin de l'ART
en
SOMME
et pour
en sortir
du captage
bougonnant
de 100 mensonges
en simulacres
d'autant 
en emporte
'' mon métier et mon art,
c'est vivre. '' ***
Ou bien
l'interdiction
de mourir
sous peine
d'amende
éternelle 
ou une poupée
vaudou
encor
poussières
sur socle



Oui
... .
l'ABANDON
et
vers ce qui seras
de
 l'OEIL
radieux
et certain
chemin faisant
liés
épiphanique
aussi
d'enfances
reconnues
d'autres
NOUS
SEULes
au
PASSAGE
de la traitrise
de l'espèce
car il n'y en à pas
pour
TOUS
enfin
lire 
et délirer
de se donner
l'air d'aller
au-dessus
de la 
FIN
TOUT
ce justifie
de la 
DISPARITION
des disparus
de quoi que qui
cocus
des corps
payants
de mourir
dévorés
par la tête
étêtée
attendue
par
NATURE
natures
Têtes
 à Mort
étêtées
de lui le même
UN
des uns
ART
et sa 
FIN
la disparition
nihiliste
s'étale
au murmure
de l'abolition
du
SOL'OEIL
des vers gondés
à la rive
des départs
antinaturels
pour l'
ICI
MÊME
d'AILLEURS
post-nihilisme
écervelé
populaire
et comme 
UN
pour le reste
et bien
que la lumière
fut
EST
de la
BEAUTÉ
avant toute chose
Alors
qu'est-ce que 
l'ART
oiseau
noir
de
 l'ARCHE
de
 No-Way
contre
Tic-Ta-Nique
et la représentation
abyssale
de la 
Sainte-Perte
hors sujet
bordant
les limites
du 
PARADIS
ART




Socrate *
Marx**
Montaigne ***

Exhalaison


... .des signes
tranquilles
chutttt.... .
'' Le pénis ne ment
jamais '' *
en fin
l'érection de la grotte
dedans dehors
sidérant sidéral
exultation
MONDE
pour eux
lui le même
UN
des uns
et la poursuite
en effeuillant
l'OEIL
en travers la fixation
de marbre
univers
et pleine
de grâces
et la couleur
du fruit
des entrailles
infinis
ou 
comme le veut
ce temps
exécrable
et prétentieux
de la grenouille
et du boeuf
en des couleurs
de l'autre bord
de la terre plate
et ennuyeuse
du chez pas quoi
des ampoules
aux pieds
 nickelés
du bbq
des festins de bobettes
et d'autres
insignifiances
en attendant
 Godot



Chérie
les coeurs s'éteignent
pendant
que le
PARADIS
rugis
d'abandon
passe
au noir
devient
insensiblement
indifférencié
DONNÉ
dans la lumière
d'AMOUR
épiphanisé
de
 l'ESPRIT
d'antre-nous
en traits
de berges
préparant 
les barques
solaires
d'AILLEURS
à partir
d'ICI
MÊME



Ô
mers
... .et ses sortilèges
évaporés
du temps
caméléons
envoûtements
céleste
et d'informes
présences
du cso
diffusant
le trop tard
on y était
pour temps
un billet
pour
ICI
MÊME
juste
ICI
Saïs
c'étaient nous


Szasz *