La Mort
morte
et la vie
perception
d'il y a
alors
OÙ
d'OÙ
vers
OÙ
Face à l'abime
il y a
cette fin
ce dernier effort
pour main tenir
QUOI
Faire le mort
pour de vrai
avec le temps
la
DISPARITION
est
disparue
et la main tenant
de
L'ART
de tenir
TOMBE
et main tenir
la lumière
de l'insaisissable
présence
au temps
éphémère
en si peu
de poussières
restantes
La Mortvie
de quoi
de sa lumière
jeu
incessant
pour un petit
dessin
stèle
happée
par la teneur
infinie
de
VIVANCE
après
TOUT
et
QUOI
la question
demeure
ouverte
à dessein
fragile
indicible
misère
tenant
lieu d'un petit
dessin
Arrachement
de ce qui
ne ce peut
qui
EST
justifié ou pas
quelque chose
d'un déterminisme
inconscient
irresponsable
État
de
Faits
guerre
Nature
natures
et
l'ART
désaxant
la
MORT
le vent entre
le geste
et l'arrêt
donc bien
inutilement
inutile
en son paradoxe
découvre
son lieu
de
BEAUTÉ
entre deux nuages
éclairant
l'alpha
et l'oméga
de
l'AMOUR
histoire
des îles
au coeur
du monde
à
RIEN
pour un à côté
à
Conter
Et des cris
chutttt....
en dessous
des misères
et le fait
de se savoir
entouré
Mais comment désespéré
quand il n'y à plus
d'espoir...
et bien
aux larmes
citoyens
Pareil
à ce qui
se décompose
pas un homme
mais du dessins
d'offrandes
pour
RIRE
avec
Saïs
antre-nous
rêvant
sous les décombres
de
Nature
natures
Et l'inattendu
de
QUOI
d'éphémères
brisures
d'après vie
en
SOMME
un lot
d'absence
résister
de
QUOI
IL Y A
QUOI
c'est
terminé
de terminer
Et
TOUT
se diras
pour
TOUT
et ... .
Maldie
SEULE
Saïs
Sans oubli
qu'oublié
le mot
Mais maux
c'est
2
et SEUL
c'est
TOUT
et c'est pas
mieux
de l'autre bord
de la
Mort
au fond des vents
terre
à taire
Sans leurre
à croire
et on crois
et
EST
la mémoire
repliée
sur le pli
à répétition
infini
De quoi au juste
de quel monde
celui de lui
le MÊME
UN
des uns
ou encor
des cendres
de tous les amours
perdus
sortis
du magmas
du
DIEU
insaisissable
à
ÊTRE
Théâtralisant
sans lire
le corps
beau
d'Edgar
la machine à machin
chose
et du chemin
pas d'ici
d'AILEURS
après
TOUT
Attendre
encor
la mémoire
revient
toujours
mais laquelle
la sienne
la leurs
ou de nouveau
leurre
en heure
ou l'épuisement
mortel
infini
d'oubli
sans masque
de
l'ÉPAISSEUR
d'à jamais
plus... .
Après
nul
et non advenu
Quoi ou juste... .
Hors les signes
appelant
les mots
encor
et en corps
histoire
d'un conte
à dire
Mais d'où
vient
l'éclaircie
qui signe
hors de lui
tant de choses
Avant après
que sont devenus
pendant
le vent
mauvais
les amours
disparus
Enfin
quoi
Lieu
donné
en suite
de quête d'en vain
hors
malvie
et ses psychodrames
ventriloques
du dedans
dehors
l'appel
de la grappe
de la vigne
poursuivant
l'abandon
de la vérité
vrai
Dévoilement
du prix à payer
pour un peu
s'approcher
par milles astuces
à la dire... .
espaçant
la dure sentence
qui
EST
la MORT
Ludique
et
pragmatique
si l'on veut
ou encor
etc sortir
prendre l'air
quel erre...
au jeu du libre
malheur
qui est venu
de partout
sans relâche
Faire avec
encore
L'homme
est le cancre
de la terre
son compost
et sa nature
dégradante
et sa
DISPARITION
est la fin
de la chauffe
du fumier
compostant
le
Paradis
qui s'apprête
après
TOUT
à reverdir
le
retour
de
l'Éternité
Obéir
à sa mise
à mort
constance
univers
imperceptiblement
BOOM
et
l'impondérable
EST
NÉ
de l'agonie
à sa
FIN
de l'esprit
un détournement
de
terre
Stèle pour Saïs
Signes
pour la poursuite
d'antre-nous
les chéri(es)
'' Comment peut-on
être si loin
de ce que l'on à
de plus près'' *
la distance
du désert
ses mirages
l'oublie
et les diableries
guerrières
toujours justifiables
c'est pas eux
leurs mains
et... .
l'Axe-D 'Abraham
en petit
dessin
Art
Aile
à
TOUT
donnée
posthume
de
Zède
à
Nimot
ce
SILENCE
animal
qu'est-ce... .
Des larmes
à coucher
sur le sol
infecte
et méprisable
de
Nature
natures
le soi
qui pense mal
que
MAL
EFFROI
de ce
JE
empêtré
de prétention
Tu y était
ce décèlement
d'AMOUR
incompréhensible
quelque chose
d'AILLEURS
éternel
en notre
NUIT
qui seras
inéluctable
perdition
amoureuse
épiphanique
antre-nous
chéri(es)
après le
TOUT
SEUL
Valéry *
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